• L'Insoumission d'Oriale.

    Des murmures, des regards qui se baissent, le silence sembla répondre au troubleur de fête

    .- Hum gronda le Maître des lieux…que veux tu insinué par là Ultrik?

    Veux tu dire que mon courroux devrait être sur mon fils…malgré le fait qu’il n’a rien fait de mal? Que le piège tendu, l’était aussi bien pour lui que pour moi ! C’est cela qui te chagrine?

    Tu aimerais que je tue tout ceux qui ont participé à cette mascarade…à cette violation de droit ! À cette fête organisée dans ma propre salle de réception?

    VOUS tous mangeant, buvant dans mes plats, goûtant mes vins, mes salaisons mes viandes et légumes mis de côté pour une certaine réception? C’est à cause de cela que tu oses dire que moi, ton chef Suprême , ton Roi, ton Commandant, je baisse ma garde…je fais preuve de couardise, c’est cela Ultrik?

    As tu lu les pensées de mon fils Ultrik?
    Ultrik fit non de la tête le regard toujours réprobateur. Il fusilla de celui ci son Roi, il allait de nouveau ouvrir sa bouche quand Galog lui demanda

    -Pourquoi m’avoir remis ce message Ultrik s’il ne venait pas de mon père. Tu savais que l’on courrait tous à la mort en violent ainsi la salle de réception de mon père. Pourquoi nous avoir menti et mis en péril?

    Ultrik écarquilla les yeux maudissant Galog d’un geste si rapide que l’oeil humain n’aurait pu le décelé, il envoya deux lames d’argent sur son Roi. Galog se mit devant son père recevant les lames à la place de celui qui comptait pour beaucoup dans le coeur du jeune homme. Il s’effondra sans une plainte.

    Talentis se Leva lentement. Ses yeux ont la couleur du feu crépitant. L’air glacial l’entoure faisant frissonner ceux qui se tiennent non loin de lui.

    Ultrik ricana se pensant supérieur aux autres , il lança des menaces vers son Roi.

    -Tu as banni chaque membres de mon peuple les vouant à la mort. Tu As massacré la dernière lignée qui fut la mienne pour, te tenir ici sur ce pâle trône de bois. Tu n’es pas digne de l’honneur que tous te porte.

    Le fiel coulait le long de la bouche d’ultrick. Talentis le regarda attendant un geste de la part de cet homme qui, se croyait le dernier de la longue lignée des Brasmer…oubliant que sa famille, ses enfants sont présent dans la salle et que de ce fait , de part sa propre bêtise il les voues à la mort.

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    Oh des cris il y en avaient Encore…ce n’étaient plus le mêmes tous tombèrent face contre terre sauf son propre fils qui, hautain , le fixait de son regard d’ambre pur.
    Francine était tapie sous un large fauteuil…son petit corps tremblant de peur et rien que pour cela, galog allait souffrir mille morts.
    Père vous rentrez plus tôt que prévu. Vous venez de ruiné ma petite fête.
    Savez vous père l’âge que j’ai atteint aujourd’hui?

    Oh le fanfaron ! Pour qui donc se prenait il? Il osait toiser son propre géniteur, son maître et cela sous le regard de ses soldats, de ses femmes de ses filles
    Il le laissa parlé puisqu’il avait des choses à dire, autant le laisser finir. Bravant le regard de feu de son père galog osa sourire, et se ré_assis dans le fauteuil de son père.

    À peine Avait’il posés ses fesses sur celui ci qu’il explosa. Enfin, il eut l’air de comprendre. Regardant les débris du fauteuil, il remporta son regard troublé sur son père.

    Père, j’ai souillé vôtre trône, j’ai trahis vôtre souveraineté…je ne m’étais pas aperçu que ce fauteuil était le vôtre. Père croyez moi, jamais je n’aurai osé faire cela…mes yeux étaient emplis de bonheur face à cette fête donner en mon honneur.

    Cette fête offerte par vous même. Vôtre message père m’a empli d’une joie sans nom et voila que je viens de salir vôtre souveraineté. Pardon mon père, je vous demande humblement Pardon pour cette faute innommable

    Ma vie vous appartient père. Sur ces paroles, il mis ses genoux en terre devant son père et,lui offrir sa nuque. Il attendait. Une main très chaude signe du courroux de son père se posa sur sa tête.
    Il ne refusa pas le contact. Son père lisait dans son esprit. La lettre, la joie, la fête, Francine qui morte de douleur venait vers lui puis posait sa tête sur ses cuisses dans l’attente que sa main se pose sur celle-ci ou que le poignard s’enfonce dans sa chair mettant ainsi fin à sa vie

    Signe de soumission, de reconnaissance du statut de fils de son maître. Son offense n’en était pas une.
    La voix tonitruante de son père résonana. Tous comprirent qu’il y avait forfanterie, qu’une trahison venait d’être constaté mais que le fils, le dernier n’était pas coupable .

    Que la trahison venait d’ailleurs . Oui mais d’où?
    Une chose était sûre, son dernier fils était trop parfait. Il n’en revenait pas. Aucune ou pas de bassesses en lui de plus, il adorait réellement celui qui avait droit de vie ou de mort sur lui…autrement dit…lui son père.

    Il laissa retombé sa fureur, d’un geste apaisant il frôle l’épaule de son fils et lui dit: lèves toi galog il n’y a pas offense de ta part. Quelqu’un t’a tendu un piège ainsi qu’à moi même. Heureusement que toi mon fils tu as sut y faire face.

    PÈRE QUI a donc osé faire cela?
    Réfléchissant, il passa devant galog …d’un geste il remit tout en place de même que son fauteuil. Il ordonna que la fête se poursuive après tout celui qui avait ourdi ce piège était sans doute ici même.
    Le prendre tout en faisant semblant d’être heureux ne pouvait selon lui bien sûr que mettre l’autre en colère.

     

    Comme quoi les fous ont presque toujours raisons. Un guerrier bardés de cicatrices se leva et d’une voix grasse dû sans doute à l’alcool…dit…voyez mes frères, notre commandant laisse le déshonneur salir sa propre maison parce que c’est son fils qui l’a apporté…alors mes frères appréciez vous le geste du commandant suprême?

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    Il venait de rentrer d’un long voyage. Il était Bien décider cette fois à aller jusqu’au bout. Il tenait enfin sa victoire. Rien n’y personne ne pourrait alors se mettre en travers de son chemin.
    Il ricana la réunion s’était très Bien passer…toutes ces personnes aussi imbues d,elles même, n’avaient rien soupçonner. Sauf lui bien sûr.

    Mais, lui aussi il allait lui cloué le bec.
    Cela l’amuse. Il poussa la grande porte. Ou donc étaient ses gardes?
    Des rires, des beuglements, des cris stridents, des odeurs de cuisine…
    quoi! Y aurait il festin en sa demeure sans qu’il en soit l’instigateur?

    Qui donc avait osé faire cela sans son accord?
    L’un de ses fils,oui et il voyait Bien lequel. Une petite explication d’homme à homme s’imposait. Il franchit les doubles portes. La musique ne permit à personne de l’entendre , de le voir arriver tant elle était puissante sauf…Francine. Francine et ses yeux de biche, Francine et sa bouche rose, Francine et son corps de velours.

    Ah sa Francine venait de le voir. Son regard reflétait de l’effroi pas de la joie non, de l’effroi.
    Pourquoi donc?
    Il porta ses yeux de feu sur celui qui était vautré dans son propre fauteuil. Un affront qui, ne pouvait se réglé que dans le sang. Son dernier, celui qu’il voulait mettre entre les cuisses roses de Francine afin de lui offrir sa dernière revanche, celui en qui il avait placé tous ses espoirs…celui là venait de signer son arrêt de mort.
    Pourquoi?

    Pour qui? Pour celle-là même qu’il aurai dû avoir de toute façon
    Quelle arrogance, qu’elle débilité infantile! Son courroux explosa.
    Les tables, les chaises, la vaisselle de prix, les victuailles hors monde, le vin capitaux, les instruments hors de prix tout cela explosa sous le regard ébahis et tremblante d’effroi des hommes et femmes qui, l’instant d’avant festoyer à grand renfort de cris d’allégresse.
    y-l
    essai.

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