Grolt n’était pas né roi, non, son père et le père de son père ont toujours servi leur propre roi avec cette sagacité, cette force, et cette persuasion qui en ont fait des guerriers et des conseillers très intelligents. Et les rois aimaient  les avoir aussi bien en temps que paix qu’en temps que guerre à leur côté.

Les mères de ces êtres hors du commun n’avait en générale qu’un seul enfant, leurs matrices se fermaient dès la naissance d’un super enfant. Si par un hasard elles avaient une fille, il leur était alors possible d’avoir un autre enfant et c’est là que commence l’histoire de Grolt car…Marna sa douce et farouche femme pu non seulement avoir un mâle dès sa première grossesse mais…l’histoire démontrera qu’elle réussi le tour de force d’avoir une autre grossesse à risque certes mais…une fabuleuse naissance de jumeaux.

Grolt trouva Marna alors que jeune homme célibataire depuis  plus de trente sept ans , aucunes des femmes des trois tribus ne voulaient s’unir à lui. Il errait donc le coeur meurtri, les pensées  folles et le désir de fonder une famille de plus en plus forte en lui.Ses pas l’emmenèrent vers la haute cascade du monde des terres interdites et là aux pieds des petites cascades, il vit une forme ensanglantée qui gémissait et bougeait avec difficultés, cherchant à se mettre à l’abri ayant sans doute entendue le pas pesant de Grolt.

Grolt renifla et son corps se tendit. Il chercha ,trouva un long bâton de chêne ,s’avança jusqu’à la forme étendue.D’un geste sûr mais sans cruauté, il titilla la forme qui gémit de plus belle. Une femme, cette forme toute de chair brûlait et sanguinolente était une femme, jeune sans aucun doute, mais qui donc lui avait fait subir cette douloureuse punition? Grolt émis un son puissant, la colère grondait dans sa formidable poitrine, son corps se tendit et il ferma ses yeux.

La puissance  gonfla  dans ses membres et il éclata dans un grondement de tonnerre. La nature elle même lui répondit… un coup de tonnerre… un éclair tomba sur la grande cascade. Grolt rugit… et de nouveau un éclair fulgurant puis, le bruit du tonnerre. Un fracas des pierres qui tombent, la  grande cascade fut engloutie et depuis ce jour là…elle est rester fermée,personne n’a jamais pu faire rejaillir ses tonnes d’eaux grondantes.

Marna faiblissait de plus en plus et Grolt sentait sa forte poitrine qui palpitait au son de celle de Marna, sa femme elle serait sa femme, de ça il en était sûr donc, hors de question que son petit coeur cesse de battre. Ne voulant pas lui faire peur, il roucoula comme il le faisait pour diriger le bétails de son père.

Le corps de Marna  se détendit doucement, tout en roucoulant un peu plus fort, Grolt, la saisit et doucement, il l’emmena aux travers des eaux et des champs puis, il trouva sa grotte d’été et il y déposa son petit fardeau toujours roucoulant. Marna glissait dans le néant alors Grolt gronda un: » Femme, tu restes avec moi, luttes femme pour nous, donnes nous une chance d’être heureux, je vais t’aider femme mais…j’ai besoin de toi. Ne m’abandonne pas femme! » La douleur envahit les membres de Marna elle ne pu que grogner un oui dans un souffle de douleur.

Grolt sourit et lui dit: » Femme de ma vie, je vais te prendre au mot, montre moi ta force femme et je te ferais voir la mienne. » Grondant il lui dit: Femme, je dois te laisser ici, je vais chercher des herbes et du bois, tu ne pars pas, ici femme tu es dans mon domaine personne ne te fera de mal, reste ici femme,je reviens sur ma vie,je fais le plus vite possible, luttes femme pour moi, pour nous ». Il se pencha sur elle et avec une très grande douceur, il baisa sa bouche,il n’y avait que ça de propre, que ça qui n’avait pas subis d’atrocité

.Elle souffla un:’Toi! c’est toi mon homme? » Je t’attends. » Il rit doucement et avec tendresse,il lui dit: » Je reviens ma femme dors sans crainte. il fonça ,elle entendit ses pas puissant et pleurant de douleur,souriant d’espoir,elle pensa: » lui,il me protégera,lui mon homme.  le sommeil l’engloutit.
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La jeune femme venait de se réveillée et elle regarda avec effroi cet étrange endroit. Un vague souvenir lui revint en mémoire et elle chercha à s’asseoir. Une douleur sourde l’envahit aussitôt, apeurée elle regarda ses mais et la peur s’insinua en elle. Brûlées, elles étaient presque noires, et la douleur qui s’éveilla alors qu’elle cherchait encore à se mettre debout , la cloua au sol.

Une plainte, longue, d’ou la douleur prenait sa vraie source sortit tout droit de sa pauvre bouche. Elle resta ainsi, presque inconsciente et la lumière qui vint chatouillée ses pieds la fit hurlée de douleur. Elle se mit sur le ventre pleurant toutes les larmes de son corps, elle frissonnait et  le sel de sa transpiration trouva les sillons que les brûlures avaient provoqués et de nouveau elle hurla.

Elle perdit connaissance alors qu’au loin un homme de forte taille et très impressionnant ainsi qu’une vieille femme arrivaient en courant. L’homme eut beau hurlée la pauvre femme n’entendit rien, la forte douleur, la fièvre et la peur l’avait vaincue, elle s’en allait, elle ne pouvait tenir la promesse qu’elle avait faite à cet homme, cet homme si bon, si doux, cet homme qui l’a voulait.

Il lui avait dit de l’attendre, de se battre,de  lui montrer sa force et elle…elle, elle  laissait son corps, son esprit succomber et face à  la douleur, elle la laissait  l’envahir, l’emporter au loin, son souffle se fit ténu et l’homme s’approcha d’elle.

_ » Femme! je suis de retour, ouvre la bouche…femme ouvre ta bouche, je vais t’aider, ta force femme! Tu as promis, ouvres ta bouche! » La vieille femme arriva  et retenant la main de Grolt elle lui murmura: » attends mon petit, attends elle doit ouvrir les yeux sinon elle pourrait suffoquer, il y a un autre moyen mon petit laisses faire Lasmara, pousses toi petit! ». Grolt gronda mais, il lui laissa la place.

 
Il ranima le feu et fit chauffer de l’eau. Il savait que sa grand-mère allait en avoir besoin. Il mit quelques unes de ses plantes secrètes. Un fumet tournoya autour de Grolt._ Grolt mon petit, te serais tu tromper d’herbes? _ Non Mara non j’ai mis celles qui aide les brûlures à se résorbées mais ça pu l’enfer hein!

 
_ Oui petit oui comme tu dis! La vieille femme marmonna  sa bouche émettait de bien drôle de bruits. Grolt s’assit et attendit les ordres de sa grand-mère. celle-ci se redressa soudain et pleurant des larmes amers, elle demanda à Grolt si vraiment il la désirait au point d’en faire sa femme. Grolt sursauta et le regard noir fusilla sa grand-mère de celui-ci puis…il comprit, cette jeune femme avait en elle un terrible secret et lui, en l’épousant serait le détenteur de son secret était-il prêt à se battre pour lui, pour elle?

Les yeux presque éteint de Lasmara le fixaient et il ne chercha pas à se dérober. Prenant conscience de ce fardeau,il répondit_ Mara, tu me connais, je ne prends pas mes décisions à la légère, je veux la femme, elle est mienne, je l’ai reconnu sitôt que _ Tu dis que tu l’as reconnue!

_ Oui Marna, oui, c’est ainsi, mon coeur à cesser un instant de battre puis il a de nouveau marqué le tempo avec le sien, et là, j’ai ressenti un immense bonheur. Puis, la douleur m’a envahi et j’ai compris, c’était sa douleur à elle que je ressentais, je devais aller te chercher,je n’avais pas le choix on serait mort tous les deux alors…oui, oui, oui, trois fois oui Marna, je la veux.

_ Bien petit, bien, j’ai compris, tu vas souffrir avec elle, tiens toi prêt elle va avoir besoin de ton immense force et toi, tu vas devoir puiser en elle. Si tu veux qu’elle vive, tu dois toi aussi vivre, ne laisse pas le désespoir t’envahir, ni, le déshonneur  te garder en lui, il sera puissant mais saches le…c’est elle qui pensera à tous cela, combat là avec force, tu es mon petit et je veux que tu vive compris!

 
Les yeux de Marna étaient froid, dur et sa voix tranchante. L’air de la grotte se refroidit et Grolt se mit à grelotter tous comme la jeune femme. Le combat de Grolt pour sa future femme commença sous les yeux dur, froid de sa vieille grand-mère.
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Tout le désespoir de ce monde envahit l’esprit de Grolt. Ses frissons atteignirent un point ou, il pensa que rien ne pourrai l’en délivrer.Comment sa future femme pouvait-elle endurer cette torture? Grolt parvint à la regarder et ses yeux se fondirent dans ceux de la femme qui haletante le fixait intensément.

Mara leur offrait son aide avec des herbes et des boissons qu’elle parvenait à leur faire avaler en humidifiant leur bouche desséchée.Cela dura deux long jours puis, vint le désespoir, une autre forme intense de torture prit possession de l’esprit déjà fatigué de Grolt et…il savait que la femme était torturé de la même façon il pria pour que cela cesse rapidement. Durant ces deux autres jours, il connu tout de la jeune femme et, son amour grandit encore plus.

Elle avait été trahit de tant de façon, par sa mère, par son père, vendue par son frère, mise au poteau par les membres de son village, torturée par le mage médecin qui lui avait tout appris, puis brûlée par celui qui se disait son époux. Son bébé avait succombé à ses nombreuses brûlures et blessure à ,à peine deux ans, sont coeur n’avait supporté la douleur.

Elle le pleurait encore et ses larmes trouvèrent de nouveau les sillons des brûlures et intensifiers de nouveaux les douleurs. Grolt parvint à se soulever et avec force grognement, il lui prit la main. lui murmura: » femme de mon coeur, cela n’est pas de ta faute, ton enfant restera dans ton coeur, laisse-le partir et vit avec moi, tu seras mon amour, ma vie,jamais non jamais moi, je ne te trahirai lit dans mon esprit femme, vit avec moi ».

il s’écroula son subconscient lui offrant ainsi un court moment de répit. Elle souffla fortement, regarda les yeux froid de la vieille femme et lui offrit un sourire. Mana le lui rendit. Puis, elle laissa loin derrière elle toutes les douleurs, tous le désespoir, toute la haine et la fureur, elle garda le souvenir de son enfant dans un tout petit coin de son coeur et lâcha prise.

Le souffle de nouveau sain des deux êtres montra à Mana que le danger s’était éloigné. Cette femme était forte, très forte, et…il le fallait pour la suite de sa vie. Grolt lui possédait la puissance, la volonté et un karma farouche qui lui  serait utile lors de ces difficiles moment à venir. Marna versa quelques larmes puis farouche à son tour les essuya. Elle leur laissa le temps de reprendre ce souffle nécessaire à la vie.

Bientôt viendra le temps du renouveau, les corps guéris, l’esprit plus libre, le coeur presque libre, ils pourraient alors s’unir. Le rassemblement allait bientôt se mettre en place et les hommes et les femmes arrivaient déjà. Grolt sans le savoir avait élu domicile près de la grotte aux amours, là ou les êtres éprit venaient se liés pour la vie ou pour renouvelés leurs liens d’amour.Mana soupira, son propre amour venait d’arriver, elle le sentait il approchait de la grotte et il lui ferait la cour.

Regardant les deux êtres endormis, Mana pria encore, versa de l’eau sur le feu et des herbes douces, la senteur envahi l’espace. Grolt émergea, fixant sa grand-mère il chercha à comprendre._ Grolt, c’est le temps du lien, le temps de l’amour que l’on se voue. Ta grotte est le lieu saint pour les actes à venir, désolée mon petit, tu n’as pas beaucoup de temps.

Eveilles là et explique lui. Ici va retentir dans peu de temps des plaintes d’amour, des odeurs dues à l’amour, les sens vont s’éveillées et nous ne pourront empêchés ce qui va arriver,préviens là petit. Là-dessus Mana s’en alla laissant Grolt seul.Il saisit le bras de la jeune femme, elle gémit et se lova tout contre lui éveillant sans le vouloir son désir.

_ Femme écoutes -moi, je n’ai pas beaucoup de temps, je ne veux pas te faire de mal, nous pouvons fuir si tu le désire et revenir plus tard . Femme! tu m’entends?_ Aime-moi Grolt, aime-moi, donne-moi ta passion, offre -moi la vie. Elle lui dit cela dans un souffle ou tout sentiments se révélés et Grolt y répondit._ Femme! je veux être ton époux, veux-tu de moi?_ Grolt, je veux tout de toi, ici, maintenant et pour l’éternité. Ses yeux mauve s’ouvrirent et se fixèrent sur ceux de Grolt._

Je dis cela, je pense cela, moi Saless femme nouvelle, je te  veux Grolt pour époux.Aimes-moi Grolt de l’amour qu’un homme vrai offre à sa femme. Grolt la souleva . Ils quittèrent la grotte . Ils s’en allèrent tous deux se mélangés avec les autres couples.Ainsi, ils seraient unis parmi ce tous nouveau peuple unis dans l’amour.

Grolt et Saless furent unis et dix couples devinrent le tout nouveau peuple de Grolt et de Saless, eux les avaient choisis comme roi et reine et leur vie allait commencer.
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Voila, ils étaient réunis, à venir le temps des explications et elles seraient houleuses car Grolt était promis. Lorsqu’ils rentrèrent au  village de Morsst le roi et père de Grolt, les villageois les accueillir avec des cris de joies, des nouveaux, des êtres enfin unis, des futurs petits le village en manquait cruellement alors oui, les hommes et les femmes et mêmes les enfants avaient le coeur en liesse.Le troupeau de Grolt était d’une grande beauté, des petits étaient nés doublant presque le troupeaux. Morsst était fier de son fils, si fier qu’il s’avançait vers lui les bras tendus quand soudain…son visage se crispa. Quelque chose s’était passé là-haut dans la vallée sacrée. Morsst regarda mieux le visage de son fils, il vit le corps de celui-ci plus souple, il n’avait plus cette tension qui ne quittait jamais ses épaules, ses traits étaient certes fatigués mais…il y avait une aura étrange qui se reflétait sur Grolt et Morsst eut peur.Il chercha alors le regard de Lasmara sa mère et celui d’Anlys son père et il les trouva. Ils se tenaient derrière une jeune femme d’une grande beauté. Elle se tenait juste un peu en retrait de Grolt et ses yeux ne le quittaient. Elle ne chercha pas de contact visuel avec d’autres hommes ou plus logique avec d’autres femmes non…elle se savait protégée,à sa place près de celui qui riait à gorge déployé et qui savourait son retour parmi les siens.Morsst gonfla ses joues, là…il y avait conflit. Comment allait-il réglé cette histoire? Grolt avait-il perdu la tête et sa mère et son père n’avaient-ils pas pour mission de veiller sur le coeur de Grolt? Morsst, sentit son coeur battre violemment dans sa poitrine, quelle guigne. Mon fils qu’as tu fait? Il s’avança vers son rejeton qui le dépasser maintenant de deux têtes et qui avait la force brute de trois gros taureaux.

_ Mon fils! Te voila de retour et regarde-moi ce troupeaux tu l’as fait fructifié au-delà de mes espoir fils!_ Père rugit la voix puissante de Grolt, père mon honneur est sauf et ma joie est immense. Père, je t’amène comme convenue le troupeaux et comme convenu dix bêtes seront à moi! Grolt venait de revendiquait devant le peuple sa part et ainsi, il se plaçait au même rang que le roi.

Morsst tiqua et son sourire disparu de sa face. Pourtant, il ne pouvait nier ce que venait de revendiquer Grolt, cette parole, cette promesse, Morsst l’avait énoncer devant les anciens lors du départ de Grolt. Il avait pensé à l’époque que cela maintiendrait son fils avec le troupeau, qu’il n’irait pas courir les filles, non, il n’avait pas penser que ce temps passer loin du village et des tentations aurait eu sur son fils cette soif de liberté, de s’éloigner du cocon de la famille.

La tristesse qu’il perçut dans le regard de ses propres parents lui fit comprendre qu’il venait de perdre son fils. Grolt ne changerait pas d’avis. Etais-ce à cause de cette femme? _ Dis moi mon fils qui est cette …femme? Grolt bouillonna de colère et cela fut perceptible par tous. Morsst recula et fronçant ses épais sourcils demanda: » Aurais-je insulté cette personne fils? Qu’est-elle donc pour toi? l’as-tu revendiquer?

Tu sais n’est ce pas que j’avais accorder tes noces avec le clan des Hommes du Nord. Tu t’en souviens n’est ce pas Grolt?_ Oui père de cela je me souviens. Je me souviens aussi de ce que tu m’as dit ce jour là: » si tu te trouves une femme digne de ton coeur, alors mon fils, tu seras libre de l’épouser. » Père je te présente et je présente à tous mon épouse voici Saless…viens près de moi femme. Grolt tendit sa main et Saless la saisit et s’y accrocha.

Elle avait perçut la colère de l’homme qui la regardait de ses yeux froids, mordant, il ne voulait pas d’elle, il était son ennemi elle le sentit et se tint tout contre son époux, cherchant sa protection. Grost le sentit lui aussi et il dit haut et fort.: » Puisque nous ne sommes plus les bienvenus dans ce village, Mon épouse et moi-même partons maintenant. Sans laisser le temps à son père d’émettre un jugement une malédiction ou peut-être une bénédiction.

Grolt pris Saless dans ses bras puissant puis, il fit demi-tour et partis en courant. Vingt bêtes s’enfuirent avec lui et personne ne pu les retenir. Seize couples suivirent l’exemple des bêtes et devant le regard noir de Morsst, les villageois s’en retournèrent à leurs occupations.

Morsst hurla sachant que son fils l’entendrait: » Ne reviens jamais, tu es maudit , tu n’es plus mon fils, que les dieux te foudroient toi et ta femelle. » Lasmara hurla un  » Non, tu ne peux dire cela mon fils, non! » Le coeur lourd Lasmara regarda Morsst: » tu viens de signer ta propre mort mon fils, les larmes qui coulaient le long de ses joues fendirent le coeur de Morsst. Qu’avait-il fait?
y-l.