• magique non?


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  • Moi Jordanna Elwood dix neuf ans depuis deux mois . Bac en poche, sans cession de rattrapage . Si j'ai mon bac à cet âge là... c'est parce qu'en étant enfant, j'ai subis deux interventions chirurgicales. Ce qui a forcément impacté ma scolarité. Bref, cela c'est du passé. Mes parents sont Anglais, moi je suis née en France. Pourquoi? Eh bien en vacance à Marseille puis à Paris, enceinte de  huit mois, j'étais d'après ma mère impatiente alors, j'ai pointé mon nez trop vite, trop fort et bing me voila.
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    Française de parents Anglais, la famille des deux côtés ne furent pas ravis de ce petit tour, que voulez-vous! on ne peut contenté tous le monde! A cause de cela, je ne suis pas aimer. Petite j'en eu de la peine; en grandissant, j'en pris mon parti. Maintenant je suis libre... mes parents m'ont aider afin d'avoir mon petit appartement, vingt huit mètres carrés, une chambre, une salle d'eau, w-c à part, petit salon, cuisinette, bon une toute petite pièce qui me sert de bureau, en clair! Je suis bien chez moi.

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    Fille unique , je n'abuse pas de la gentillesse de mes parents. Bien qu'ils m'ont expliqué que l'héritage reçu de la part de la  grand-mère de mon père, veuve de guerre, Mamie Marceline Decrez donc mon arrière grand-mère paternel, je fus surprise quant il m'apprit que celle-ci m'avait légué une somme rondelette, que je percevrai chaque mois un chèque de deux mille euros afin de ne pas dilapidé trop vite cet avoir


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    En clair, je pourrai bénéficier du reste à mes vingt cinq ans. Quand je sus le montant exact de ce don, les yeux sortir de leur orbite, quelle nouvelle! Je compris mon arrière grand-mère et je l'en remercier presque chaque soir. Ainsi, c'est l'esprit tranquille que je pu choisir la direction que prendraient mes études. Je voulais être vétérinaire, avant que d'aller rejoindre mes parents en Angleterre, je reçu trois courriers conséquents. J'étais ravie, c'était des documents à remplir... j'étais admise dans trois université. Une à Lyon, une à Rouen et la dernière... En grande Bretagne.


    Je remplis les trois, je fournis les documents demandés puis je filais chez mes parents afin de passer deux à trois semaines avec eux. J'avais fait suivre mon courrier ainsi si j'avais une place dans l'une ou l'autre université. je pourrai répondre plus vite. J'espérai vraiment que celle de Grande-Bretagne serait la première à me répondre à me proposer une place. Mes recherches m'ont montrer que deux universités étaient vraiment dans mon classement de préférence. Lyon et la Grande- Bretagne.

    Mes parents furent heureux de me voir. Ma famille? Elle, elle le fut moins. Ils ne m'aimaient pas plus qu'avant. Mes cousineux me détestaient cordialement. Ils ne s'attendaient pas à ce que Grand Mamie me lègue une petite fortune.
    Pensez-vous! Cela faisait une somme de moins à se partager entre eux. Les faux culs!


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    Heureusement, ils ne s'imposèrent  pas. Mes parents eux en étaient mal pour moi/ Mais d'un câlin, je leur affirmai que cela ne me faisait rien . Juste que j'aurai aimé comprendre ce ressentiment négatif à mon encontre et là, mes parents se regardèrent avec le sourire aux lèvres...oui... c'est clair! Il y avait anguille sous roche! Mais tous le monde le sait, le plus vilain des secrets comme le plus beau, finissent toujours par être connus. Donc! Cinq jours avant mon départ pour Paris, je reçus le courrier de l'université situé en G-Bretagne avec un rendez-vous avec l'équipe encadrante/ Etonnée j'en fis mention à mes parents.

    Mon père prit soin de lire entièrement mon courrier puis il tendis celui-ci à ma mère qui blêmi avant que de me rendre ce qui visiblement n'était pas une bonne nouvelle pour eux. Mon père poussa un gros soupir, il croisa ses bras signe chez lui que sa décision était prise et qu'il n'y aurai aucune négociation. Ma mère était très pâle, elle tremblait, son regard était celui de la biche aux abois. Je ne comprenais pas ce qui pouvait les mettre tant mal à l'aise. Ou était le contrôle british... Et c'est ainsi que j'appris une chose presque horrible et le pourquoi de cette haine que me vouaient la famille.

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  • Pages Neuf.

    Une petite mise au point.


    Je lui sert sa grande tasse de café. je ne dis rien mais mon cerveau carbure sec. Je sort une assiette, un verre, des couverts, une serviette. Je partage la salade. Alian salive puis gronde un=" Dis voir Vincent tu as besoin d'aide peut être?" un grognement lui répond. La chasse d'eau suit puis l'eau qui coule et enfin Vincent un peu rouge apparait...les traits un peu tiré.
    _ Allez les mecs on mange, il se fait une petite faim. Le repas se déroule sans fausse note c'est même un plaisir de les avoir tous les deux à ma table.
    Ils se marrent quand le désert arrive. Ils se goinfrent...je débarrasse la table, leur offre un café. Je me fais un thé vert. L'après repas est agréable puis subitement, c'est la fin de l'accalmie. Vincent toise Alian...ses yeux vert sont aussi foncés que s'ils étaient noir.
    _ Pourquoi tu m'as frappé ainsi? Alian le regarde bizarrement et Vincent n'est plus si à l'aise qu' ' il l'était un instant auparavant.
    _ Tu voulais entré chez Arthur, je savais pas qu'il t'attendait ou pas.
    _ Ben fallait  me le demandait, je t'aurais expliqué que oui Arthur m'attendait. je lui ai téléphoné juste avant. T'es naze tu sais ça! Alian gronde un
    _:" Il est à moi, pas à toi compris?"
    Bin merde alors, je l'ai pas vue venir celle-là.


    Vincent reste  scotché , sans voix, il se tourne vers moi qui suis hagard...il regarde à nouveau Alian puis grinçant lui répond:
    _" Il n'a pas l'air d'être au courant le petit, t'es sûr de toi  l'ami?"
    _"Oui ", grogne Alian c'est mon compagnon.
    Je pose la main sur le torse d'Alian. Il me regarde avec une lueur dans les yeux qui me fait fondre
    ._ Calme toi Alian , Vincent est un ami sur qui je peux compté et je suis son ami sur qui il peut compté c'est ainsi depuis que j'ai commencer à travaillé pour l'agence...Vincent m'a prit aussitôt sous son aile. Il m'a plus d'une fois sorti d'un sacré bourbier.
    Il a prit ma vie entre ses mains, je lui ai rendu la pareil quant il en a eu besoin. Je sais que je peux me fier à lui, tout comme lui  il peut se fier à moi, c'est important d'avoir confiance! Tu comprends Alian?



    Il ne me répond pas, sa main touche la mienne.
    _ Bon les garçons un café?
    Leurs regards me donne la réponse, je leur sert une rasade, je sorts les digestifs Armagnac, cognac, Jet 27 et 30, deux petits verres en cristal vestige d'un ancien cadeau. Et là, je sais que les langues vont se déliées, que et que la pilule va être difficile à avaler ...mais, je suis prêt et Alian me soutien je le sent dans mes tripes. Aprés quelques lampées et claquements de langues, mes bouteilles ont bien baissées. Vincent me redemande un café. Alian refuse et se sert un Armagnac du 20 ans d'âge, c'est pas mal pour moi mais pour Alian...j'ai un gros doute.

    Une brisure en moi.

    Vincent m'explique  ce qu'il sait de l'histoire avec Alban. Suis-je certain de vouloir écouté cela? Non pas vraiment ,mais on n'arrête pas un Vincent un peu charger...alors bin je vais écouté et voir.

    Page dix.
    Rappel et frissons.

    _Petit écoute -moi, Alban  a merdé grave. Heureusement qu'Alian a fait le ménage, les dix filles sont sauve, le Lounge est fermé pour l'instant , on sait bien que ce bar mal famé ne va pas rester fermé longtemps, que d'autres pourris  vont prendre la place des anciens. Il souffle prend une gorgé de son Jet 27 puis relance.
    _Alban a merdé avec cette gonzesse. Une taupe dans son commando d'élite et il n'a rien vue venir, rien compris, mis en danger plus de personnes qu'il n'en est permis...et tous ce qu'il trouve à dire... c'est que tu as fait une vidéo de sa petite se faisant tringlée par son ancien amant puis par lui...ça il a bien du mal à l'avaler! Tu vois, il reste bloquer sur sa merdeuse refusant de voir, de croire que c'est de la merde de première! Une espionne qui se sert de lui pour tous vous piéger.

    Il n'en démord pas...rien ne semble plus important que sa Lysie. On ne peut plus rien pour lui mais malheureusement
    , on risque de le revoir et pas dans le bon camp. Il se sent trahi de la pire des façons et surtout, il t'a dans son collimateur. la fille a disparues, envolée la pouffe dès qu'on est arrivés pour sauver les filles. elle s'est déjà dégotter un mec, mais là encore Alban a des œillères...Ouais petit on risque de l'avoir un jour contre nous.


    Il va falloir revoir nos façons de faire si on veut  éviter la casse.
    _Euh Vincent j'ai démissionné moi! J'en ai plus rien à faire de l'agence. Alban te l'a pas dit? Il m'a remercié, j'ai dis que je ne voulais plus avoir cette pouffe dans mes pattes sinon je foutais le camp...Eh bien, il m'a regardé et m'a dit froidement qu'il attendait ma lettre. En sortant de l'agence, j'ai posté ma lettre...en tournant au coin de la rue Grancel, je suis tombé sur Lysie ...et sur la suite. _Okay Arthur Alban n'est plus aux commandes, c'est moi qui tient dès à présent les rênes  et moi, je refuse ta lettre. Je t'augmente, tu prendras  tes ordres auprès de moi ou de Kil.

    _Qui est Kil?
    _Ah euh...Kil est mon second.
    _ Ton second? Je dois le prendre comment?
    _Alian Kil est un mec super, il ne marche jamais sur les plates bandes des autres.
    _En clair...il est gay C'est ça?
    _Euh oui, ça pose aucun problème  pour les hommes qui sont sous ses ordres!


    Le regard  d'Alian est froid, enfin glacial serait le mot juste. Il toise Vincent et celui-ci est vraiment mal à l'aise, il sait pourtant que Kil m'a déjà harcelé au taf...alors maintenant qu'il me donnera des ordres...me pourrira t'il la vie? C'est cela qui m'attend à l'agence? Je ne dis rien mais Alian sent bien que quelque chose me dérange dans cette histoire de prise d'ordres. Froidement il assène un...
    _ Tu donneras les ordres à Arthur, il te rendra compte mais pas à ce Kil, c'est compris Vincent?
    _Bin écoutes, ça va pas être si évident, je suis souvent en mouvements...Kil reçoit mes ordres puis il les dispaches aux autres, c'est comme cela que ça fonctionne!

    _Tu veux Arthur?
    _ C'est sûr que je veux le petit. Il est bon dans son travail, j'ai besoin de lui!
    _ Alors tu feras en sorte qu'Arthur reçoive tes ordres via le téléphone, un mail, à toi de voir. Moi aussi j'ai des comptes à rendre, mon travail me prend beaucoup de temps mais...j'en aurai pour mon compagnon toujours!
    Eh bien! Me voila bien moi!

    Page Onze
    Coup de sang.

    J'en demandais pas tant, un compagnon oui...un sur protecteur non. Que va faire Vincent? Et moi, que dois-je faire? Me taire, prendre part, après tout, ils parlent de moi, de mon bien-être, de ma vie...tous comme si je n'était pas là! Suis-je donc cette marionnette qu'ils semblent se partagés entre eux? 
    Je prends mes clés, je sorts sans rien dire, qu'ils fassent ce qu'ils veulent...j'ai à voir ailleurs. Je fonce vers le port , j'y ai mon bateau...un petit coin tranquille que personne ne connaît, je gare mon bolide dans son box... là je récupère les clés du bateau quelques effets que je laisse afin qu'ils ne prennent pas l'humidité. Des denrées non périssables , de l'eau plate, café, thé, sucre, miel, confiture, biscottes et quelques conserves puis je rejoins mon petit havre de paix.

    Mon tel vibre dans ma poche, je vérifie...oui, ils ont compris. j'enlève la carte sim que je laisse dans le box. Je prends le pré payé et je ferme bien à clé puis d'un bon pas, je file. Tout sent le calme, le chien féroce de Glen Repert renifle les crocs en avant. il reconnaît mon fumé, il remu la queue. Okay je peux passé. Je le flatte et lui offre un biscuit pour chien que j'ai dans mes réserves. Ce chien me rend bien service...je peux le gâter un peu.

    Mauvaise très mauvaise surprise.

    Enfin je suis chez moi, j'hume l'air iodé un peu imprégné de fioul et autres relents, je tire sur la barre...pas de barre ou est elle? Un corps me plaque contre le mur...je me débat, je braille. je parviens à me placé face à l'intrus... Quel horreur!

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  • Drôle d'histoire, Drôle de moment. Pourtant, cette journée je l'ai cataloguée comme étant malgré tout exceptionnelle. Oui on pouvait vraiment le dire, j'explique. J'avais laisser la place à tout ce troupeau, braillant, beuglant, maudissant puis explosant dans des rires de hyènes furieuses ( et non rieuses), pour finir en vilain jeu de mot pour ceux et celles qui passaient à côté encore cette année.
    Deux ans que je suis ici dans cette ville immense ou tout un chacun se moque éperdument  de son voisin mais aimant tout de même  écouter les commérages des uns et des autres. Là j'étais dans l'attente de lire mon propre nom sur la longue liste...je devais faire preuve de patience. Les garçons qui ont le verbe haut, les chevilles plus grasses mais moins que leurs têtes, les postures de m'a tu vus sur le retour, se croyant le nombril du monde étaient présent et monopolisé la place.

    J'avais fait faux bond quand vendredi soir les filles du dortoir m'avaient invitées à l a grande fête qui clôturerait  cette dernière année bien trop laborieuse pour certains (nes), exceptionnelle pour d'autres; bref! Les bons élèves qui n'ont presque rien à faire car, leurs cerveaux retient tout et ceux, qui galèrent parce que le leur demande beaucoup plus d'effort, voir, écouter, rires en voyant ceux et celles qui serviraient de mascotte finale...( en clair  un pauvre garçon, fille, qui allait subir railleries sur railleries, rires et gestes déplacés, voir plus!

    Non très peu pour moi. Je fis celle qui acceptait plus pour avoir la paix que, par désir d'y aller, sachant pertinemment  que je partais dans moins d'un quart d'heure chez mon oncle à la campagne...pour un w-e de repos et cela , me convenait à merveille d'ou l'extraordinaire journée à venir! La ferme de mon oncle servait d'école, les enfants, les parents issues de grandes villes venaient pour se détendre, pour apprendre un peu et surtout , goûter  à presque  tout quitte même à y mettre la main à la pate et les pieds dans le fumier. Ainsi leur rejeton pouvait à leur tour faire une belle ballade sur le dos conciliant d'un beau poney.

     
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    Je fais souvent cela, j'aime être utile à la ferme, mon oncle compte sur moi, les enfants m'aiment bien cela aide! Il faut les voir, fiers comme tout, je faisais des photos et celles- ci plaisaient  et les parents les achetaient en souriant devant le minois brillant de joie de leur fils, ou de leur fille. Le soir, un feu de camp, un grand  barbecue de la musique puis les étoiles à regarder allongés sur une toile protectrice car les citadins, n'aiment pas les petites bestioles alors en clair! De vraies belles soirées souvenirs puis les petits dans les bras, ceux qui avaient louer un gîte, une chambre d'hôte s'enfermaient pour la nuit le sourire aux lèvres.

    Il y avait eu du monde et quelques élèves étaient venus accompagnés de leurs grand- parents ou parents pour d'autres. Un moyen comme un autre de laisser  au loin  le cerveau qui avait surchauffé durant ces dernières semaines. Chacun fit comme si ou comme ça, juste un signe, un sourire, une photo quand juchée sur le grand percheron gris cendré , je le faisais avancé de son pas lourd tirant la carriole ou plusieurs têtes aux rires banane fixaient le-dit percheron avec des étoiles dans les yeux.

    Le soir à la  traite, ils vinrent se mêlant aux autres, écoutant les questions tout en opinant du chef puis, ils écoutaient mes réponses; soudain fier de me connaître, j'étais moi- même très fière. Mon oncle aussi. Le travail avait porté ses fruits, les paniers de fromages, de légumes et de fruits étaient partis tout comme les pâtés, rillettes, saucissons, saucisses...oui, mon oncle était très contant, les semaines à venir étaient c'est du moins l'idée que je m'étais fait...  Je rentrais  au Lycée, Une bonne nuit de repos! Oh que oui, je l'avais bien mérité.Ah! Si j'avais su! Je serais rester chez mon oncle une journée de plus.


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    Voila l'Histoire...
    Oui voila l'histoire un brin difficile à avaler. Sortant à peine à peine du dortoir , j'avançais en mode un peu hors du monde afin de gagner la douche. Je me retrouvais soudainement encerclée par les trois filles les plus stupides qui soient,.. qui hilares, me fixèrent de bas en haut tout en se moquant doucement de moi. Bob, de bon matin, ce n'est pas vraiment une chose à faire surtout, qu'elles connaissent le petit caractère qui est le mien quand, je n'ai pas pris ma douche, brossés mes dents, habillée et surtouttt prit un petit dej digne de ce nom. Et là... elles attaquèrent billes en têtes.


    _ alors la Sainte- Nitouche? Comment va ton petit corps ce matin? Pas trop mal partout? Di moins à certains endroits bien définis? Dis voir M'zelle, je ne sorts pas ce soir avec vous! Allez, ne nous fais pas tes yeux de faucons, on nous a tous dit...alors ne fais pas celle qui ne sait rien...d'ailleurs ma vieille à la cafète tu vas avoir une sacrée surprise...on ne te dis que ça!


    Elles libèrent le passage. Qu'ont- elles encore inventées ?Après  avoir fait ce que je fais chaque matin, je file m'habillée j'aimerai  avoir de quoi manger. Il ne reste plus beaucoup de monde mais, les plus morfales sont rester et avec eux, il faut jouer des coudes si on veut avoir un peu de pain, de café, une pomme? Oui peut- être, les fruits  ce n'est pas ce qu'ils aiment le plus...maman n'est pas là our épluchée, coupée, la pomme n'est ce passs!


    J'ai faim! Cela revient de plus en plus souvent ces  temps ci, je ne sais pas ce que j'ai, le ver solitaire peut-être? Ou un virus avec les chevaux ?...mmm mmm voir un médecin, faire des examens et hop j'aurai ma ou mes réponses. Hum tout à mes spéculations, mes pas, me conduise au réfectoire. Il y a du bruit mais pas autant que les jours précédents étrange cela! Je pousse la porte, je la laisse se refermé puis j'avance afin de prendre un plateau quand...

    _ Alors la fille de glace, tu t'es dégelée dans les bras de Phil, de Marc, de Vlad et ou de Victor?! Punaise le glaçon! En fait t'es plutôt morfale! Tu es debout et visiblement en forme y a pas à dire, tu as bien cacher ton jeu. Mais pourquoi leur as tu fais du mal?

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  • De nouveau je m'éveille, la bouche pâteuse, le coup meurtri, endolori. Attachée, je suis encore attachée, liée, brisée pourtant, alors que j'émerge un peu plus, je me sents forte. La colère n'en est plus, ce qui reste de celle-ci, s'apparente plus à de la haine pure et dure. Je ne sais pas ce qui c'est passé pour que j'en sois arriver là, ni ce qui t'a pousser à me vendre à tes amis, tes copains. Nauséeuse, j'ai soif, faim? non j'ai dépassé cela. Mon corps est détruit. Je souffre mais je ne le montre pas.
    Ce qu'ils m'ont fait...n'est pas pardonnable. Gémir? Jamais faire la morte oui je sais le faire, ils ont abusés, frappés, pincés, drogués,  m'ont salis de toutes les façons . Des mots orduriers m'ont été jeter à la  face, ils ont pissés sur  mon corps, leur sperme à couler sur ma peau glacé , sur ma tête, mes cheveux en sont gras et sec. Ma poitrine n'est que plaies et bleus, morsures. Mon ventre et mes fesses ont subis la flagellations.

     
    Que c'est 'il passer dans ta tête?
    Alors que nous allions nous séparés, puisque nous étions parvenus au bout de notre histoire, j'étais confiante et heureuse de ce dénouement si facile.
    Oui nous nous séparions en bon terme et subitement...
    Tu as invité  en premier Xavier  à venir manger à la maison . Xavier a eu une drôle de façon de me regarder pourtant, mon jean, mon polo n'avaient rien d'indécent...Je me suis senti mise  à nue sous son regard. Tu lui as mis une tape sur l'épaule et vous vous êtes mis à discuter, me laissant de côté...cela ne me dérangea pas, j'étais habituée, tu le faisais à chaque soirée. Pourtant, ce soir là, j'en ressentis comme un pincement dans la poitrine. Le repas fut sympathique.
     
    A la fin de  celui-ci, je me sentis fatiguée, déphasée. Ce sont les rires abjects qui m'ont réveillées. L'horreur avait débutée sous les coups de Xavier. Ses attouchements, ses  baisers brutaux  , ses mains caleuses, ses morsures, ses plaintes. Il a été le premier à me salir, puis tu es venu, souriant, le regard vicieux. Tu t'es approché de moi, je n'ai rien vue venir mais, j'ai sentis l'aiguille perforant ma chair avec brutalité puis vos rires gras se sont estompés. L'horreur à recommencer avec Pierre et Philippe. Je ne peux plus parler, un jour peut-être j'écrirais ce que j'ai vécu entre leurs mains mais pas maintenant.


     J'avais soif, mal partout, ma tête me donnait le tournis, la nausée, mon odeur soulevait mon estomac. Je ne voulais pas pensé, pas réfléchir. De la drogue encore et encore, à boire oui mais l'eau n'était pas pure non, elle aussi me semble t'il était porteuse de cette drogue que l'on nomme de l'oubli!
    Pourtant rien ne me fut épargné Xavier tous salaud qu'il fut s'inquiéta de ma santé. Il te disait que mon coeur ne pouvait pas supporté tant de drogue, qu'il fallait cesser de m'en donnait pour lui, mon esprit était à la ramasse. Rien de ce qui s'était passé, ne resterai dans ma mémoire.

    ************
    Deux.
    ***********
    .Oh comme tu te trompais Xavier! Toi Alexi tu t'en moqua lui répondant que:" je devais subir ma punition jusqu'au bout, qu'après cela tu pourrais me regarder partir avec le sourire , sachant que je n'étais, ne serais ,plus qu'un déchet pourri. Que cela te donnerai la force de revivre mais que plus jamais, tu ne regarderai une femme avec les yeux emplis d'amour.

    Xavier te remercia pour être passé le premier puis il s'éloigna de toi alors que ta main, m'enfonçait l'aiguille dans le ventre. Ton sourire me reste en travers de la gorge, tu me gifla trois fois. Je n'émis aucun son. Cela, te mis en colère, tu me traitas de tous les noms, mots ordurier de ta connaissance.

    Le lit était si sale que tu finis par sortir de la chambre. Malgré le peu d'eau que tu me donnais à boire,  j'urinai quand même...ma sueur aigre, les odeurs des uns et des autres empuantissaient les draps, mon corps à l'agoni ne pouvait rien y faire. J'eus des moments  de flottement ce qui je le crois me permis de garder mon équilibre.

    Quand au soir  je te vis revenir avec Maxence et Léon je sus que j'allais subir plus que des sévices sexuels, dépravés, ils le sont au - delà de ce que l'esprit normal humain peut, le comprendre. Et oui, malgré la saleté , la puanteur, ils te dirent ces mots :" Merde Alexi tu nous offres un cadeaux de choix, elle est à point pour nous... t'es sûr mec qu'on peut lui offrir nos services? Elle semble menue, elle était plus potelée non?

    Tu ricanas tout en leur disant que cela ne me faisait pas de mal et que oui tu en étais sûr...ils pouvaient y aller et tu finis par ces mots.
    -" Que la fête commence"
    La porte de la chambre se referma ma laissant attacher, sale, puante, entre les mains de deux sadiques. Philippe et Pierre sont pervers en tout mais ces deux là sont pire encore. Quand au petit matin ils me laissèrent pour morte, j'eus pour la première fois un hoquet de peur, de douleur, de haine pure et dure. Je frémis en entendant vos paroles.

    Tu entras sans vraiment poser ton regard sur moi. Une autre piqûre plus puissante, cette drogue là, je la ressentis coulée dans mes veines, brûlante, débilitante...Je n'avais rien pour me défendre de cette saleté. Ton rire cruel me resta en travers de mon esprit qui battait un peu la campagne pour tout dire. Puis, tu filas comme le sale con que tu es, que tu as toujours étais...me laissant seule. 

    Je vous ai entendu partir dans des rires, des souvenirs partageaient puis des murmures et plus rien. Seule, j'étais  enfin seule . Ma perception était plus que floue, j'étais détachée, oui j'étais libre... tu ne t'en es pas  rendu compte. Je devais agir et vite.


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    Trois.
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    Mon corps perclus de douleurs, faible, me posa un léger problème puis contre toute attente, il réagit à ma demande...à croire que la dernière drogue était différente des autres. Mon esprit carburait à plein tour. Je m'en sortirai. Je finis par sortir de la chambre des horreurs.
    Flageolantes, douloureusement consciente de mon état, je finis dans la douche. De l'eau chaude me lava en premier puis le champoing, le gel douche et encore le champoing, le gel douche. Quatre fois, l'eau devint tiède puis froide. Je devais réagir, ils allaient revenir j'en étais sûre.
    Les plus tordus voudraient encore se servir de mon corps jusqu'à la mort...je le sentais en moi.

    Moi oui moi je voulais vivre, oui mais, moi je voulais vivre.
     J'avais un autre but maintenant , un but qui allait me tenir debout jusqu'à ce que j'obtienne ce que mon esprit presque démolit réclamait. Des vêtements passe partout,  mes affaires, mes clés , un sac avec  d'autres vêtements, de quoi me laver encore et encore, l'argent mis de côté pour un voyage que toi et moi devions faire...mais qui fut mis de côté, cause...ton travail.



    Un bon  petit paquet d'argent qui allait me permettre de survivre quelques jours. Mes carnets toujours bien cachés ainsi que mes cartes bancaire et placements sur le long terme.
    Quelques documents qui me serviraient j'en étais sûre et certaine puis je fouillais dans tes placards. Quel con stupide tu es! 
    Tout  je fouillais tout mes servant, brouillant ce que je pouvais, le temps me manquait mes tes codes, mots de passe ça je les emportai avec moi. Du liquide? Là , j'étais étonné, de la drogue ( oui ça j'ai bien compris), des bijoux en or fin. Eh bien...tu trempes dans quoi toi?

    Pour bibi le fric, les bijoux, je refermai, j'essuyai  mes traces puis je filais malgré ma pâleur, ma difficulté à avancer droit... mes yeux complètement stone, je filais aussi vite que mes jambes flageolantes pouvaient m'entraînée...c'est à dire à la vitesse de l'escargot. Bref, je fuyais cet endroit maudit en les maudissant dans toutes les langues que je connaissais vaguement.


    Je marmonnais des mots étranges, n'en comprenant même pas la signification. Pourtant, cela me fit du bien. Droguée? Je l'étais au_delà du plus que raisonnable. J'espérai que personne ne se mette sur mon chemin. Il me fallait un véhicule, n'importe lequel tant qu'il était passe partout. Une voiture blanche, petit modèle me fit de l'oeil. J'empoignais mon sac et marchand d'une façon peu orthodoxe , je parvins jusqu'à elle. Ma main attrapa le système d'ouverture et punaise quelle joie! Je glisse mon bagage, mon sac à l'arrière, je referme sur moi la portière et je jubile pour la première fois depuis que l'horreur s'est invité dans l'appartement.


    ----------------------.
    Quatre.

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