• Anfrani et Lyberti

      
     Anfrani! Anfrani! Ou te caches -tu? Anfrani! bien puisque tu ne veux pas me voir aujourd’hui…je viendrais un peu plus tard ou après demain peut-être… Anfrani! 

    _ Oui. 
    Ce oui murmuré si bas qu’il en donne des frissons d’angoisses intenses à tout le monde…mais Mâa n’y fit pas attention. Mâa était au-dessus de cela. Anfrani ne l’avait toujours pas compris

     

     

    ._ Anfrani! Je déteste lorsque tu fais cela et tu le sais très bien. Alors, cesse s’il te plait..
    _ Mâa c’est toi qui vient me voir alors, accepte ma façon de te recevoir  ou part. Mâa se dirigea vers la porte qui coulissa lentement …Anfrani cessa aussitôt son petit jeu.

    Mâa ne riait pas. ses paroles une fois dites, elle le faisait et ne revenait que rarement en arrière au grand dame d’Anfrani.

    Anfrani apparut sur la gauche de Mâa qui la regarda apparaître avec un petit sourire de dérision.elle questionna Mâa: » Dis moi Mâa pourquoi tu n’as pas peur de moi toi!
    Pourquoi tu es la seule à venir chaque jours me voir. Discuter avec moi est-il si stimulant pour toi?
    Moi, je me trouve si banal, raconte moi Mâa pourquoi je suis ici, enfermée dans cette grande cage dorée?


     

    _ Il y a beaucoup de questions aujourd’hui. Je te sens nerveuse Anfrani est ce le changement de climat voulu par nos Pères qui te rend si irritable? 
    _ Je ne sais pas Mâa ce que je sais, c’est que j’ai envie de liberté. Je voudrais respiré un autre air que celui auquel je suis habituée. Je voudrais volé dans les airs comme ces bêtes que je vois sur mon visio-tel. Entendre le souffle du vent. Le bruit de l’eau, sentir sur ma peau la pluie et regarder les arbres en feuilles qui dansent au grès du vent mourant.

    _ En bien Anfrani, je crois que ma venue va te ravir.

    Page Deux.

     

    Encore un instant et je repartais sans te proposé cette visite.

    _ Une visite Mâa! quelle visite, a qui? Ou?
    _ Oh oh oh… dans le dôme bien sûr Anfrani, tu sais que nous ne pouvons en sortir. Mais, j’aimerai te présenter quelqu’un qui a besoin de ta présence. Anfrani disparut ce qui mit Mâa de fort méchante humeur et Anfrani le perçut.

     

     

    Riant doucement, elle se montra de nouveau. Cesse Anfrani, cesse!

    _Tu n’as pas peur Mâa…Toujours cette façon basse de parler qui mettait le plus fanfaron de tous en panique; il n’y avait pas de qui, n’est ce pas!

     

     

     

    _ Bien sûr que j’ai peur anfrani, tu le sais pertinemment, tu le sens et tu joue avec mes nerfs. Mais je ne craquerais pas si c’est cela que tu attends de moi, tu peux attendre longtemps…alors cesse. Et Mâa posa sa main sur la figure d’Anfrani qui sursauta.

    Comment faisait Mâa pour savoir  ou elle se trouvait? Cela restait un mystère pour Anfrani et les mystères, elle détestait ça.



    _Tu sais toujours ou je suis Mâa?
    _ oui, je sais ou tu te trouves à quelques pas près.Veux-tu oui ou non rendre visite à Lyberti Anfrani?

    _ Lyberti Mâa! Cela me rappel quelque chose. Mon coeur vient de ‘agiter en moi. Dis moi un peu plus e choses sur Lyberti Mâa. Je veux le connaître, je veux savoir ce qu’il fait ici…lui comme moi, me ressemble t-il Mâa, est-il mon frère, un ami?

     

     

     

     

     

    _ Si tu es d’accord Anfrani nous en parlerons le long du chemin. Il faudra juste que tu m’écoutes sans m’interrompre…ainsi, tu auras assez de détails sur Lyberti pour pouvoir juger si tu veux le connaître,

     

    , ou pas. Mâa attendit que la jeune fille-femme se décide et donne ou non son accord et, pendant ce temps là…toutes les portes du vaste complexe se fermèrent.

     

    Toutes personnes vivantes fut contrainte de regagner leur quartier ou résidence. Une douce mélopée flotta dans l’air. Anfrani l’écouta et bondissant sur ses pieds, dansa en riant comme une petite folle. Après tout elle n’a que seize ans pensa Mâa tendrement.

     

     

     
    _ Ils ont peur, ils ont peur, ils vont se terrer dans leur quartier. Je vais pouvoir dégourdir mes jambes et toujours souriant, elle donna son accord à Mâa. Elles attendirent que la mélopée se termine et qu’une autre se fasse entendre.

     

     

     

     

     

    Alors Mâa actionna une série de chiffres qu’Anfrani mémorisa sous le regard attendri de Mâa. La clef ne sera plus la même sitôt fini les onze chiffres. Ceux-ci seront immédiatement remplacés et une nouvelle lettre accompagnera cette série de chiffres.

     

    La porte coulissa lentement et Anfrani attendit que Mâa lui donne la permission de sortir de ses appartements. Vaste ils l’étaient cent soixante mètres carrés rien que pour elle.
    Grande chambre à coucher avec vues multiples, salle-d’eau et vasque, toilette séparé. 

     

    Cuisine et lieu de détente plus une pièce ou elle pouvait faire le sport de son choix. les portes étaient blindées, les fenêtres en maxiliane triplex…impossible de traverser et les murs l’étaient aussi. Musiques, films, elle avait tout…sauf la liberté et des amis. Mais pour ceux-ci…

    _

     

     

    Lyberti Mâa?
    _ Oui ma chérie, lyberti est comme toi…mais il est mâle et toi femelle.
    _ J’avais compris Mâa, oups pardon Mâa, pardon.
    _ Bien. Lors de ta naissance, il y eu un grand bouleversement …le dôme quarante cinq s’effondra. L’air devint poison, les hommes, les femmes moururent dans d’affreuses souffrances sauf toi et ta mère. Toi,  les hommes des dômes soixante -cinq et soixante-quinze, te trouvèrent dans une petite capsule de survie ou tu dormais paisiblement.

     

     

     

    Ta mère fut trouver plusieurs jours plus tard, elle était ensevelie sous un mini dôme de réserve et lorsque les hommes la trouvèrent; ils crurent qu’elle était morte, tant sa couleur de peau était étrange. Mais, lorsqu’ils introduisirent de l’oxygène, elle se colora et respira doucement. Elle n’était que légèrement blessée et c’était sans gravité.



    Ses seins étaient gonflées de lait…alors, les hommes l’amenèrent aussitôt au dôme trente_cinq ou nous sommes encore aujourd’hui et le plus, dans cette étrange histoire…c’est que les hommes revinrent plus tard avec un autre enfant un garçon d’à peu près ton âge Anfrani. Alors ta mère vous donna le sein et vous avez grandit ensemble.

     

     

     

     

    Page Quatre

    Vous deveniez beaux, forts pas très sages et on s’aperçut que tu étais toi plus hargneuse que Lyberti. Pour vous aidez à mieux vous développez et pour évitez que votre esprit ne s’enferme en vous deux, les Pères décidèrent de vous adjoindre trois enfants.

     

    Trois pour toi, trois pour Lyberti. Lui, il en fut heureux et les prit sous sa protection en faisant d’eux des amis mais toi Anfrani … Toi tu entras en fureur et tu les déchiquetas, tu les dévoras devant les autres enfants. Nous ne savions pas à l’époque, nous ne savions pas. Les  Pères t’enfermèrent avec l’ordre formel de ne pas te laissé seule. Mais voila!

     

    Personne ne trouva grâce à tes yeux. Tu es une guerrière, une Spakzie, trop farouche, trop…bref. On t’envoya ta mère que tu n’avais pas vue depuis presque un an. Au début tu fus heureuse et puis arriva un beau matin ou tu te mis en colère. Personne ne comprit pourquoi cette fureur en toi se déclencha mais, ta pauvre mère fut atrocement mutilée.


     

     

    On tripla la surveillance à l’abri du Maxiliane nous te regardions et tu devenais chaque jours passant plus pâle, plus solitaire. Puis, j’apparus. Petit à petit tu m’acceptas. Mon enveloppe t’étais chère._

     

     

    _Oui…Mâa, tu ressemble à Mama Mâa mais…je sais maintenant que tu n’es pas vivante, pas humaine comme moi. Tu me ressemble plus que les autres, tu possèdes une force que non pas les autres.
    _ Non Anfrani, non.


    Tu es pour moitié humaine comme Lyberti. C’est pour ça que tu leur ressemble mais, tu as aussi la part de ton père et nous ne connaissons pas tout. C’est pour cela je pense que nous perdons un temps précieux et que tu souffres comme souffre Lyberti._ Et…tu es quoi Mâa?

     

     

    _ Un androïde à face humaine, peau et capteurs sensorielles activés pour que je donne cette impression de chaleur que tu aimes tant. En fait…je ressemble à ta mère, j’ai son odeur, sa chaleur, je possède ses connaissance, ses mots et sa douceur mais…tu peux me tuer si tu le veux; c’est pour cela que j’ai peur, si tu fais cela, tu n’auras plus personne auprès de toi.

     

     
    Et Mâa sait que tu dois être entourée d’amour. J’aimerai tant pouvoir te sortir d’ici…allez avec toi au nul-bar, faire les druggs, choisir ce qui te plaît. Voir un 

    Page Quatre.méga-store.Manger dehors. Voila ce que j'aimerais faire avec toi.

    _Mais, il y a toujours un mais n’est ce pas?


    _Oui…il y a toujours un mais ma chérie.
    _ Mâa tu es ma mère? un petit temps puis dans un soupir un oui ma chérie je suis là par cet androïde, je suis avec toi,. je ne peux venir en chair et en os comme tu aimerais que je le fasse._ Pourquoi Mâa? Ma chérie, ne cherche pas à savoir s’il te plaît, ne cherche pas à savoir. Viens allons voir Lyberti. Arriver devant  l’espace réserver à Lyberti  .


    Mâa le regarda avec affection et  Anfrani en fit autant.

    _ N’est ce pas qu’il est beau!  Anfrani écarquilla les yeux, beau! oui il l’était… à couper le souffle, elle se sentit soudain toute chose. Son ventre se contracta violemment, sa bouche s’ouvrit, sa poitrine gonfla.

     

    _  Oui murmura Mâa, je vois que tu es prête autant que lui d’ailleurs. Anfrani fixait Lyberti et ses pupilles se dilatèrent au point qu’un humain aurait hurlé de peur en la voyant. Lyberti quand à lui exhortaient ses  trois amis à partir, ceux-ci ne voulant pas l’abandonner arguant qu’ils avaient peur d’Anfrani et que Lyberti serait seul avec elle.

     

     

     

     

     

    Elle était capable de tout…ils le savaient. Ils se souvenaient d’elle. Lyberti fronça ses sourcils et ses yeux prirent une teinte que Bert, Phil et Alie n’avaient jamais vue…alors, ils sortirent un par un et la grosse porte blindée se ferma. Une douce mélopée titilla les oreilles d’Anfrani.

    _ Mâa!…
    _ Oui Anfrani?
    _ Mâa je me sens toute drôle, je ne sais pas ce qui m’arrive…mais je me sens sauvage.

     
    Page Cinq.

    _ Anfrani, garde ton calme juste un petit instant…Lyberti est un garçon calme, sensible, s’il te sens trop tendue, fébrile, sauvage, il peut refuser de te voir._ ce n’est pas cela Mâa, non ce n’est pas cela. J’ai envie d’être avec lui et là, la porte s’ouvrit sur un Lyberti Sauvage, sûr de lui, presque arrogant de virilité brute.

    Son regard se posa sur Anfrani et, il n’y avait aucune trace de peur, rien que de la force brute et Anfrani y était très sensible. Lyberti l’attrapa , fixa Mâa et ferma d’un coup sec la porte. Grâce à ses capteurs Mâa pu voir ce qui se passa. Elle fut étonnée de constater que Lyberti  était un homme dans tout les sens du terme.

    Il bloqua Anfrani, l’embrassa, la caressa, la titilla, la força de telle façon qu’elle refusa le contact. elle le fixa avec fureur. Il revint à la charge, lui montrant qu’il était dans ce jeu plus fort qu’elle et elle ne sut que faire. Ses sens étaient trop sollicités. Il ne la laissa pas respirer, sachant que s’il le faisait…il serait perdu.

    Alors, il donna tout son savoir pour vaincre les dernières barrières d’Anfrani Et  lorsqu’il la sentit prête, il la déshabilla, la mettant à nue, rouge de confusion, ne sachant plus qui elle était tant ses perceptions étaient des électrons plus que libres, Anfrani demanda grâce et Lyberti l’embrassa sauvagement avant que de trouver et de forcer légèrement la partie intime d’Anfrani.

     

     

     
    Elle se braqua, il n’insista pas, la caressant, lui murmurant de drôles de mots, il la titilla, la cajola et quand une fois encore ses sens la rendirent folle…il fut en elle. Elle cria, il cria, leurs deux corps imbriquer serrés, luisant, haletant, frissonnant de désirs et de rage puis, une frénésie les consuma et l’acte charnel les dévora.

    Leur besoin devint plus doux, plus fort, plus profond, plus sensuel et le plaisir fut décupler. Cela dura une semaine puis, Anfrani le repoussa avec une rare violence. Il la laissa partir pantelant. Il comprit qu’Anfrani était de nouveau la féroce guerrière  Spakzie.

     

     

     

     

     

    Page Six.
    Anfrani se jeta dans les bras de Mâa.
    _ Tu ne m’as pas dit…_Quoi Anfrani, quoi ma chérie?
    _ Que cela pouvait faire mal.
    _ Ah! et c’est le cas ma chérie
    ? _ oui, un peu.
    _ Et alors!!_ Alors! Que c’est bon Mâa après c’est le ciel d’hiver plein d’étoiles, elles filent à la vitesses grand V. C’était lui le Conquérant, lui le guerrier et Moi, moi j’étais sa proie Mâa. et c’était bien..
    ._ Alors pourquoi partir comme une furie ma chérie?

     

    _ Parce que je suis  entière Mâa … je suis entière et c’est pour cela que Lyberti m’a laisser partir. Il sait lui aussi, sinon…je l’aurai tué Mâa. Un gémissement supra aiguë sortit soudain de la bouche fermée d’Anfrani.Ses yeux avaient la nébulosités de la sphère Andramos 15. Ce n’tait pas bon. Lyberti? Elle hocha sa belle tête et l’horreur se peignit sur son visage. Je compris que les compagnons de Lyberti n’étaient plus vivant.

     

    Lui aussi avait poussé un son inhumain je l’avais perçu mais, pas prêter attention et soudain…ma mémoire me revint.

     Le père d’Anfrani avait lui aussi eu cette plainte déchirante, inhumaine. Il avait essayé de me mettre à l’abri de prévenir le complexe, les Pères en appuyant sur le bouton rouge d’alerte au gaz mortel… Mais, la propagation avait été fulgurante. 

     

    Je me souviens…il m’avait mis dans un amas de maximétal et recouverte de débris de  toutes sortes..

     

     Il m’avait plongé dans un sommeil artificiel en me disant; que ma très lente respiration, serait ma force. Il avait prit une apparence extraordinaire et il emporta le bébé.Je crus rêver quand je vis dans ses bras deux bosses mais, ma vision était déjà floue. Mes perceptions plus que basses. Tous ceux qui vivaient dans le Dôme 45 avaient étés retrouver mort, la souffrance se lisait sur leur traits.

     

      Ils étaient noirs, certains n’avaient plus de parties basses…d’autres avaient les tripes à l’air…d’autres encore n’avaient plus d’apparences humaines. Les hommes qui les découvrirent ce jour là…firent des cauchemars pendant plusieurs années et certains en font encore.     Page Sept. 

     

    Certains ne voulurent pas d’enfants réalisant les dangers à vivre sur l’horizon de Mars. Les colonies étaient jeunes et bien protégeaient mais, il suffisait d’un élément extérieur pour tout détruire en un clin d’oeil.Mais là encore personne et pas Lioncid   n’aurai pu éviter cela Il le découvrit en même temps que nous.

    Les Fondateurs de son monde, ne lui avait rien dit concernant  sa maturation. Lioncid disparut ce jour là. j’appris plus tard qu’une capsule cépaletz avait disparue et que le vaisseau de Lioncid s’était éloigné de l’horizon.Aujourd’hui, Anfrani et Lyberti subissaient eux aussi le même changement et toute la base, le dôme, les vivants, risquaient d’être détruit.

     
    J’eus beau actionner l’alerte, je savais déjà qu’il était trop tard. Mon double se liquéfiait devant les yeux éberlués d’Anfrani. Elle aurai voulu me parler je le sentais mais, si elle ouvrait la bouche…tous ses gaz mortels sortiraient et plus personne n’auraient de chance de survie.

    Mâa n’avait plus que son squelette humanoïde et je perçus avec horreur que celui-ci était en train de fondre ( si on peut dire). Mâa lutta avec acharnement. Elle parvint à fermée et à verrouillée la porte blindée et Anfrani expulsa ses gazs en un instant… sa suite fut envahie puis, Anfrani disparue noyée dans les gaz.

     

     

    Un bruit assourdissant, un énorme crissement de métal broyé résonna dans mes oreilles via les restes de mâa. j’ouvris avec difficultés les yeux pour voir devant moi un Léoncid splendide.Il avait mûri, il était d’une grâce, d’une beauté époustouflante.

    mes sens s’éveillèrent et Lioncid rugit de plaisir…puis, il se ferma. Lentement me fixant, il me parla…

     
     
    Mâa comme tu es belle, pourtant Anfrani ne t’a pas fait de cadeau…elle t’a presque déchirée en deux. Si j’avais su, jamais je n’aurai laisser les choses aller aussi loin crois moi Mâa!
     
    Je murmurais un  » je t’aime Lioncid et je le sais…nous étions trop pris par nos désirs pour essayer de comprendre nos natures. As-tu appris de tes conseillers Lioncid?


    _ Oui Mâa, j’ai fais le nécessaire pour que cela ne se reproduise jamais mais, j’ai oublié nos enfants. Je suis si fier d’eux, de nous et en même temps si affreusement désolé que cela se reproduise de nouveau.

    J’étais en route, j’ai perçu le changement chez Anfrani, sa soif guerrière, son besoin de voir le ciel…de voler. J’espérais arriver à temps pour éviter l’accouplement de nos enfants mais…le vaisseaux à beau être supra puissant, tu le constate toi-même Mâa, j’arrive trop tard.


    Le nombre de mort est une déchirure pour mon espèce. La loi des Donmes va fustiger les membres éminents de Stratuze et le tribu  sera lourd. En espérant éviter la guerre, nos jeunes viendront travaillés dans les mines de nickel de krome, de Storzion et extraire la plus puissante des matières organiques que les hommes ont mis des siècles à trouver.


    Cela ne mène nul part mais…les terriens en ont besoin pour éviter que leur planète ne s’effondre. Quel gaspillage de vie . Mâa, dis moi quelque chose s’il te plaît!



    _ Nos enfants Lioncid, nos enfants?

    _ Euh oui Mâa, ils sont issus de nous deux.
    _ Non! Je n’ai eu qu’un enfant  et c’est Anfrani.
    _ Te souviens-tu de tout Mâa?


    _ Certes non, j’ai perdu connaiss…
    _ Oui Mâa et Lyberti est né à ce moment là. Tu les a nourris durant trois mois puis Lyberti fut confié à une nourrice c’est la loi de Donmes et la nôtre aussi puis…ils furent de nouveau ensemble vers quinze mois et ils grandirent vite à partir de ce moment là.



    Anfrani étant une guerrière avait en elle la cruauté naturelle de nos femmes…elle l’a montrer quand à 25 mois, elle a tuée les enfants...
     
    ses compagnons de vie, trop jeune pour comprendre qu'ils n'étaient pas comme elle,trop forte et sauvage pour réprimé sa violence...elle ne sut géré sa soif de sang. Sa colère quant ils ne voulurent pas jouer avec elle,à sa façon, fut pour eux la sentence que l'on connaît.
     à suivre.y-l.

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