• Drôle d'histoire, Drôle de moment. Pourtant, cette journée je l'ai cataloguée comme étant malgré tout exceptionnelle. Oui on pouvait vraiment le dire, j'explique. J'avais laisser la place à tout ce troupeau, braillant, beuglant, maudissant puis explosant dans des rires de hyènes furieuses ( et non rieuses), pour finir en vilain jeu de mot pour ceux et celles qui passaient à côté encore cette année.
    Deux ans que je suis ici dans cette ville immense ou tout un chacun se moque éperdument  de son voisin mais aimant tout de même  écouter les commérages des uns et des autres. Là j'étais dans l'attente de lire mon propre nom sur la longue liste...je devais faire preuve de patience. Les garçons qui ont le verbe haut, les chevilles plus grasses mais moins que leurs têtes, les postures de m'a tu vus sur le retour, se croyant le nombril du monde étaient présent et monopolisé la place.

    J'avais fait faux bond quand vendredi soir les filles du dortoir m'avaient invitées à l a grande fête qui clôturerait  cette dernière année bien trop laborieuse pour certains (nes), exceptionnelle pour d'autres; bref! Les bons élèves qui n'ont presque rien à faire car, leurs cerveaux retient tout et ceux, qui galèrent parce que le leur demande beaucoup plus d'effort, voir, écouter, rires en voyant ceux et celles qui serviraient de mascotte finale...( en clair  un pauvre garçon, fille, qui allait subir railleries sur railleries, rires et gestes déplacés, voir plus!

    Non très peu pour moi. Je fis celle qui acceptait plus pour avoir la paix que, par désir d'y aller, sachant pertinemment  que je partais dans moins d'un quart d'heure chez mon oncle à la campagne...pour un w-e de repos et cela , me convenait à merveille d'ou l'extraordinaire journée à venir! La ferme de mon oncle servait d'école, les enfants, les parents issues de grandes villes venaient pour se détendre, pour apprendre un peu et surtout , goûter  à presque  tout quitte même à y mettre la main à la pate et les pieds dans le fumier. Ainsi leur rejeton pouvait à leur tour faire une belle ballade sur le dos conciliant d'un beau poney.

     
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    Je fais souvent cela, j'aime être utile à la ferme, mon oncle compte sur moi, les enfants m'aiment bien cela aide! Il faut les voir, fiers comme tout, je faisais des photos et celles- ci plaisaient  et les parents les achetaient en souriant devant le minois brillant de joie de leur fils, ou de leur fille. Le soir, un feu de camp, un grand  barbecue de la musique puis les étoiles à regarder allongés sur une toile protectrice car les citadins, n'aiment pas les petites bestioles alors en clair! De vraies belles soirées souvenirs puis les petits dans les bras, ceux qui avaient louer un gîte, une chambre d'hôte s'enfermaient pour la nuit le sourire aux lèvres.

    Il y avait eu du monde et quelques élèves étaient venus accompagnés de leurs grand- parents ou parents pour d'autres. Un moyen comme un autre de laisser  au loin  le cerveau qui avait surchauffé durant ces dernières semaines. Chacun fit comme si ou comme ça, juste un signe, un sourire, une photo quand juchée sur le grand percheron gris cendré , je le faisais avancé de son pas lourd tirant la carriole ou plusieurs têtes aux rires banane fixaient le-dit percheron avec des étoiles dans les yeux.

    Le soir à la  traite, ils vinrent se mêlant aux autres, écoutant les questions tout en opinant du chef puis, ils écoutaient mes réponses; soudain fier de me connaître, j'étais moi- même très fière. Mon oncle aussi. Le travail avait porté ses fruits, les paniers de fromages, de légumes et de fruits étaient partis tout comme les pâtés, rillettes, saucissons, saucisses...oui, mon oncle était très contant, les semaines à venir étaient c'est du moins l'idée que je m'étais fait...  Je rentrais  au Lycée, Une bonne nuit de repos! Oh que oui, je l'avais bien mérité.Ah! Si j'avais su! Je serais rester chez mon oncle une journée de plus.


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    Voila l'Histoire...
    Oui voila l'histoire un brin difficile à avaler. Sortant à peine à peine du dortoir , j'avançais en mode un peu hors du monde afin de gagner la douche. Je me retrouvais soudainement encerclée par les trois filles les plus stupides qui soient,.. qui hilares, me fixèrent de bas en haut tout en se moquant doucement de moi. Bob, de bon matin, ce n'est pas vraiment une chose à faire surtout, qu'elles connaissent le petit caractère qui est le mien quand, je n'ai pas pris ma douche, brossés mes dents, habillée et surtouttt prit un petit dej digne de ce nom. Et là... elles attaquèrent billes en têtes.


    _ alors la Sainte- Nitouche? Comment va ton petit corps ce matin? Pas trop mal partout? Di moins à certains endroits bien définis? Dis voir M'zelle, je ne sorts pas ce soir avec vous! Allez, ne nous fais pas tes yeux de faucons, on nous a tous dit...alors ne fais pas celle qui ne sait rien...d'ailleurs ma vieille à la cafète tu vas avoir une sacrée surprise...on ne te dis que ça!


    Elles libèrent le passage. Qu'ont- elles encore inventées ?Après  avoir fait ce que je fais chaque matin, je file m'habillée j'aimerai  avoir de quoi manger. Il ne reste plus beaucoup de monde mais, les plus morfales sont rester et avec eux, il faut jouer des coudes si on veut avoir un peu de pain, de café, une pomme? Oui peut- être, les fruits  ce n'est pas ce qu'ils aiment le plus...maman n'est pas là our épluchée, coupée, la pomme n'est ce passs!


    J'ai faim! Cela revient de plus en plus souvent ces  temps ci, je ne sais pas ce que j'ai, le ver solitaire peut-être? Ou un virus avec les chevaux ?...mmm mmm voir un médecin, faire des examens et hop j'aurai ma ou mes réponses. Hum tout à mes spéculations, mes pas, me conduise au réfectoire. Il y a du bruit mais pas autant que les jours précédents étrange cela! Je pousse la porte, je la laisse se refermé puis j'avance afin de prendre un plateau quand...

    _ Alors la fille de glace, tu t'es dégelée dans les bras de Phil, de Marc, de Vlad et ou de Victor?! Punaise le glaçon! En fait t'es plutôt morfale! Tu es debout et visiblement en forme y a pas à dire, tu as bien cacher ton jeu. Mais pourquoi leur as tu fais du mal?

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  • De nouveau je m'éveille, la bouche pâteuse, le coup meurtri, endolori. Attachée, je suis encore attachée, liée, brisée pourtant, alors que j'émerge un peu plus, je me sents forte. La colère n'en est plus, ce qui reste de celle-ci, s'apparente plus à de la haine pure et dure. Je ne sais pas ce qui c'est passé pour que j'en sois arriver là, ni ce qui t'a pousser à me vendre à tes amis, tes copains. Nauséeuse, j'ai soif, faim? non j'ai dépassé cela. Mon corps est détruit. Je souffre mais je ne le montre pas.
    Ce qu'ils m'ont fait...n'est pas pardonnable. Gémir? Jamais faire la morte oui je sais le faire, ils ont abusés, frappés, pincés, drogués,  m'ont salis de toutes les façons . Des mots orduriers m'ont été jeter à la  face, ils ont pissés sur  mon corps, leur sperme à couler sur ma peau glacé , sur ma tête, mes cheveux en sont gras et sec. Ma poitrine n'est que plaies et bleus, morsures. Mon ventre et mes fesses ont subis la flagellations.


    Que c'est 'il passer dans ta tête?
    Alors que nous allions nous séparés, puisque nous étions parvenus au bout de notre histoire, j'étais confiante et heureuse de ce dénouement si facile.
    Oui nous nous séparions en bon terme et subitement...
    Tu as invité  en premier Xavier  à venir manger à la maison . Xavier a eu une drôle de façon de me regarder pourtant, mon jean, mon polo n'avaient rien d'indécent...Je me suis senti mise  à nue sous son regard. Tu lui as mis une tape sur l'épaule et vous vous êtes mis à discuter, me laissant de côté...cela ne me dérangea pas, j'étais habituée, tu le faisais à chaque soirée. Pourtant, ce soir là, j'en ressentis comme un pincement dans la poitrine. Le repas fut sympathique.
     
    A la fin de  celui-ci, je me sentis fatiguée, déphasée. Ce sont les rires abjects qui m'ont réveillées. L'horreur avait débutée sous les coups de Xavier. Ses attouchements, ses  baisers brutaux  , ses mains caleuses, ses morsures, ses plaintes. Il a été le premier à me salir, puis tu es venu, souriant, le regard vicieux. Tu t'es approché de moi, je n'ai rien vue venir mais, j'ai sentis l'aiguille perforant ma chair avec brutalité puis vos rires gras se sont estompés. L'horreur à recommencer avec Pierre et Philippe. Je ne peux plus parler, un jour peut-être j'écrirais ce que j'ai vécu entre leurs mains mais pas maintenant.


     J'avais soif, mal partout, ma tête me donnait le tournis, la nausée, mon odeur soulevait mon estomac. Je ne voulais pas pensé, pas réfléchir. De la drogue encore et encore, à boire oui mais l'eau n'était pas pure non, elle aussi me semble t'il était porteuse de cette drogue que l'on nomme de l'oubli!
    Pourtant rien ne me fut épargné Xavier tous salaud qu'il fut s'inquiéta de ma santé. Il te disait que mon coeur ne pouvait pas supporté tant de drogue, qu'il fallait cesser de m'en donnait pour lui, mon esprit était à la ramasse. Rien de ce qui s'était passé, ne resterai dans ma mémoire.

    ************
    Deux.
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  •         Cinq**********             

     Menace en l'air...ou pas!
     

    Alian se tient debout devant le placard. Il tient un gros bol , il boit lentement. Il se retourne ses yeux sont rougeoyant , presque fixes, sa bouche rouge. Okay... beau mec se restaure. Il en a le droit n'est ce pas?
    _Dis voir Alian c'est quel groupe?
    __B positif me dit 'il pince sans rire.
    _Oh dis donc c'est intéressant!
    _ Pourquoi?


    _ Oh euh non pas grave. Je te laisse à ton repas. On se retrouve après, j'ai presque fini le mien. Dis je peux reprendre un café?
    Il me regarde puis me réponds...:" Autant que tu veux Arthur, dis moi...tu n'es pas dégoutté par ce que tu vois?
    _ Non, t'as le droit de manger, moi j'aime le café, les croissants, le beurre, la confiture aux cerises, celle aux mures et sureaux; alors tu vois?
    Il rit de bon coeur s'approche de moi, coule son visage dans mon cou , m'embrasse, je frisonne. Il le sent.
    _Tu as peur Arthur?
    _ Non Alian j'ai pas peur .Si tu avais voulu me faire du mal... ce serait déjà fait non?
    Possible tu as raison, c'est pas ce que j'ai envi de te faire Arthur, c'est pas ce que j'ai envi de te faire...bien au contraire. Appel ton patron, j'arrive.

    Quel homme! Je retourne vers la cuisine tout  frémissant d'avance pour ce qui allait venir juste après le petit déj. Je laisse un texto à mon boss en lui disant que je suis encore en vie et heureux de l'être, que je rentre ce soir comme convenu. Qu'il aurait un autre texto plus tard. Une promesse et une promesse non? Ben si! La matinée fut délicieuse. J'avis pas envi de partir mais Alian  devait aller travaillé et moi aussi donc... le trajet se fit en silence, un silence lourd de sens.

    Alors que pour moi c'était déjà écrit, je compris que pour lui, ce n'était pas si évident. Je ne pipais mots. Je savais fermé ma gueule quant il le fallait. Mon homme ne voulait pas de moi, eh bien, bientôt il comprendrait qu'il ne peut vivre sans moi c'est ainsi. Je ne pourrais vivre sans lui et pour lui, ce sera pareil ni plus, ni moins...en attendant, il me déposa devant le bureau.

    Je descendis sans un regard, sans rien dire, c'est pas la peine, mon coeur tambourine tel le fou  qu'il  est. Je sais que c'est pareil pour lui. J'entre dans l'immeuble, je me tape les trois étages afin de me vider l'esprit des derniers moments passés avec Alian. La porte s'ouvre sur Lysie, une Lysie goguenarde qui me toise de bas en haut avec dédain.

    Je lui rends la pareil, elle rougit, ses yeux virèrent, ses poings se serrèrent, elle les bloques contre ses jambes. Je souris puis lui tournant le dos  je pousse la porte et je ferme la porte. Mon regard se pose sur Alban. Il n'est pas en rogne plutôt contrarié et penné, je hoche la tête. Il sourit  j'en fait autant tout était dit. Le travail pouvait reprendre.
    Il y en avait à la pelle. Lysie avait encore merdé, à cause de sa foutue habitude d'aller trop vite, le vite fait, n'égale jamais le bien fait...chose qu'elle ne veut pas comprendre.
    J'espère qu'Alian aura plus de chance avec ses boss et qu'Alban va enfin lui secoué les puces à cette merdeuse. Après une heure à prendre des nouvelles de agents mis en place depuis presque quatre jours, Alban sait que le plan à foiré qu'il faut tout recommencer.

    La poisse total tous ça à cause d'une gamine trop sûre d'elle qui ne veut pas écouté les consignes...j'ai la colère après mon boss, mais encore une fois, je ne dis rien.
    Alban me fixe, il sait, soudain j'en ai ma claque, je risque ma peau à cause d'elle, c'est hors de question!
    J'attaque.
    _Alban, je peux te parler d'homme à homme?
    _Bien sûr Arthur, je t'écoute.
    _ Il est hors de question que je travail avec cette fille...mets là avec qui tu veux, moi j'en veux pas. Mon travail j'aime le faire bien, ça tu le sais, j'ai qu'une vie et là encore, je l'aime. Elle, elle n'aime rien, elle se fiche bien des autres alors si c'est pas possible Alban, je démissionne et c'est pas des paroles en l'air!
    _Ok Arthur, j'attends ta lettre.


    Il me tourne le dos. J'ai compris... sans un mot de plus, je ressorts. J'ai sur moi une lettre de démission. J'avale les escaliers, je me retrouve dehors, j'hume l'air frais du matin, les trippes à l'envers. Trois rues plus loin, je pousse la porte d'une poste. Je fais le nécessaire, ma lettre en recommandée  partira ce soir...Alban l'aura au plus tard jeudi en 3, nous sommes le 01/09/84. Je viens de démissionné d'un poste que j'aimais tous ça à cause d'une fille qu'Alban protège par dessus tout au détriment de ses coéquipiers, j'espère qu'il  reprendra très vite ses esprits! Avant que cette fille ne bousille tout dans l'agence.

    **********************
    Six
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     Cruelle découverte!


     Manqueraient plus que les gars se fassent descendre! Alban verra t'il cela avant que ce ne soit  trot tard? Je décide d'aller boire un café, il y a un petit bar  au coin de la rue Maselle. Je m'y dirige les mains dans les poches. Au détour du coin de rue, je tombe sur  Lysie qui main dans la main avec l'un des  videurs du  Lounge se fend la gueule... en expliquant comment son boss l'a accueillit après le fiasco qu'elle a déclencher. 

    Mon téléphone en main , planqué contre une porte cochère, je l'enregistre. Ce que j'entends me glace le sang. Elle explique que les filles vont partir faire un petit tour dans un camp afin de leurs apprendre la vie qui va devenir la leur. Elle se met à rire...j'envoie à Alban cette très instructive discussion puis je recommence  à les écouter. De nouveau Lysie se met à parler, le gars rit et lui dit_
    :" le boss a eu raison de te faire travailler en sous-marin. Comme taupe t'es vraiment bonne, comme camarade, t'es qu'une salope."


    _Yvan! t'as pas à me dire ça! chouine t'elle vexée.
    Pourtant Yvan à fichtrement raison. Yvan rit et continu:" Ton patron Alban te fait confiance c'est ça? Tous ça parce que t'as couché avec? Comme quoi, d'écartées  les jambes pour les filles c'est d'un facile...Je pensais pas qu'il était homme  à se laisser coincé comme ça! Je le pensais plus fort."

    _ La chair est humaine Yvan et ma chair est douce. Il la palpe avec délice, s'y enfonce avec une joie sans égale tu peux me croire. Il jouit comme un ours, il braille tout comme.
    Yvan la colle contre lui,  l'embrasse, elle ne résiste pas au contraire , elle se frotte contre lui...elle l'aguiche. L'instant d'après, il la colle contre le mur, lui relève une jambe, il l'a fourre, elle couine puis halète, de petits bruits s'ensuivent. Je film le tout. Alban en fera ce qu'il veut. Ils ont à peine le temps de se rajustés qu'un Alban fou de rage se trouve devant eux.

    Lysie frime, elle ondule du fessier , fait la lippe.
    _Alban! Que fais-tu ici?
    Alban grogne. Yvan le regarde et d'un coup se met à rire. Alban frise la rage complète. Yvan ne s'en rend pas compte, je film. D'un geste rapide, Alban frappe la gorge d'Yvan, Lysie glousse comme une folle, le sang d'Yvan gicle. Il est mortellement touché. Ses jambes ne le portent plus, il tombe. Des râles s'échappent de sa gorge ouverte. Lysie  exulte se colle contre Alban qui à son tour, la plaque contre le mur et la saute. Ecœuré, je dégage, j'envoie ce que j'ai filmé à Beau Mec, il en fera ce qu'il voudra!
     
     
    Je rentre chez moi. Après un détour  par le petit magasin qui ressemble plus ( à un bouiboui )qui ne ferme jamais...Je fais quelques courses. Mes courses bien emballées, la rage au ventre, je me dirige vers mon appartement minable  mais au moins, je suis chez moi. Mon tic nerveux est de retour mauvais ça! Il y a quelque chose qui ne va pas. Je fais celui qui à reçu un texto puis je réponds. Faire celui qui discute au téléphone, je connais. J'ai ça dans le sang. Une  base de comédiens m'a bien aider même si ça ma coûter assez cher. Ouais je regrette pas ces semaines passées à apprendre des trucs nazes mais pour mon taf et pour le reste il y a beaucoup à dire ah ah ah.

    Je pose mes courses sur le sol puis perplexe je regarde mon téléphone comme le crétin que celui qui me scrute pense que je suis. S'il savait... Une odeur bien défini me fait battre le coeur. Alban est planqué chez moi...Pourquoi?


    ************
    Sept.
    ************

    Prise de bec et remise en place.
    M'a t'il sentit alors qu'il  s'occupait de sa petite pétasse? A t'il peur que je le dénonce à Vincent Lebour notre chef supérieur de sections? Trot tard  Alban, après beau gosse, Vincent est le deuxième à avoir reçu la petite vidéo. Le sexe raide,, je comprends mais pas qu'elle t'empêche de prendre soin de tes gars! Ah...tu veux savoir Alban! Conrad Mac Treuzer est le troisième à avoir une copie.

    Lui, il ne va pas te louper. Un bruit sourd, une cavalcade, Alban a encore lu dans mon esprit. Il est totalement fou de rage, il fonce sur moi tel le mammouth qu'il croit être. Un bras se met en travers de mon visage et du poing d' Alban. Alian vient de me sauver la mise...il foudroie  Alban de son étrange  regard, lui aussi est fou de rage.
    _ T'as fourrée ton épée dans une gaine merdique. Elle t'a salie à un point que tu ne saisie même pas! Arthur t'a prévenu mais ton gland est plus important que tes hommes, que l'esprit d'équipe qui vous liez à la vie, à la mort...tu es fini Alban, Arthur n'est pour rien dans tes mauvais calculs. tes calculs.


     
    Tu assume mec et si tu t'avise de le toucher, les yeux argent d'Alian virèrent au noir le plus intense jamais vue. Alors, tu passeras les trois prochaines années à souffrir au-delà de ce que tu pense qu'un homme peut souffrir sans mourir. Tu as bien compris Alban?

    _ Mouais mec, j'ai pigé, le petit est à toi, c'est bien ce que je dois comprendre?
    Alian hoche la tête puis sans plus de façon, me saisit le bras, me pousse vers mon appartement et là, il me dit pince sans rire...
    -Vas chez toi, laves toi, mange, fais donc ce que tu dois faire pour venir vivre quelque temps chez moi...tu veux bien faire cela pour moi, je dois discuter avec ton ancien boss et ami.
    Abasourdi, je murmure un:" Non mais c'est quoi ce bordel? Je suis libre de faire ce que je veux, j'ai besoin de personne sauf de mon compagnon. Lui seul me demandera ce que tu viens de me demander, non mais!


    Furaxe, je me dégage de son emprise et raide je me ru vers mon petit chez moi afin de m'y sentir à l'abri. Les mecs non mais...pire que les gonzesses. Mon téléphone frémit dans ma poche, m'en fou! Je ferme ma porte à triples tours puis, je cale contre elle ma vieille commode. Je dépose mes courses dans l'évier, j'extirpe de ma poche mon portable. Ah! C'est Vincent voyons voir son message..." Arthur j'arrive d'ici dix minutes chez toi, du café serait le bienvenu...un petit quelque chose à grignoté si c'est pas trop demander, j'ai les crocs...c'est compliqué au bureau tu t'en doute un peu. J'espère ne pas te déranger, j'ai pas le choix ...ma nuit va être courte alors si tu pouvais me prêter la chambre d'ami, j'apprécierai!."

    Bin merde alors, il a sentit que j'avais fait des courses ce goinfre là! Il m'a fait le coup un nombre de foi que je n'ai pas compté mais bon, c'est un bon mec.
    Le café, ouf il m'en reste, je remplis le philtre, je mets de l'eau, j'appuis sur le bouton...il passe lentement, l'odeur est agréable. Je prépare une salade, deux tomates, du jambon de Parme, des haricots rouge, quelques cerneaux de noix, une vinaigrette relevée puis du poulet de que je mets à réchauffer doucement, une purée de pomme de terre, du fromage et en dessert...ben, à part...Oh tien j'ai de la glace, des bananes, du chocolat liquide...va pour un banana split...pas de crème fouettée  on fera avec ce qu'on a là!

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  •  La lune cherche son amour,
    qu'elle soit blanche, jaune, rousse
    ou rouge son éclatante beauté
    émerveille le coeur des hommes.

    A l'affût de ses moindres mouvements,
    aussi changeante que le coeur des
    femmes, elle disperse sa flamme, son
    éclat et illumine de son éclat la 
    noirceur de la nuit.

     Belle, mystérieuse, invincible
    et pourtant si seule, elle cherche
    par-delà la nuit et jusqu'au petit
    jour l'éclat de son amour.

    Elle s'amenuise, il arrive, éclatant
    de force et de chaleur,
    elle lui dédie son coeur pour un
    tout petit instant ,un court moment,
    elle se mire en ses rayons avant que
    de disparaître pour renaître à la
    tombée du jour.
    .
     

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  • Paul Van Ostaijen ,poète Néerlandais
    1896-1928.

    Sous la lune glisse la longue rivière
    sur la longue rivière glisse la lune

    Sous la lune sur la longue rivière
    Le canot glisse vers la mer.

    Le long canot des hauts roseaux
    Le long des prairies basses
    le canot glisse vers la mer
    Le canot glisse et passe
    Avec la glissante lune lasse vers la mer
    ainsi l'homme la lune le canot
    glissent-ils glissant compagnons vers la mer
    Pourquoi la lune et l'homme glissent-ils
    ensemble dociles sur la rivière
    vers la mer.


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