• Dans leur petite boutique du Premier de l’An…ils vendaient des  » Premières Fois…Premiers Baisers…Premiers Dépits…Premiers Émois. » Leur commerce prospérait rondement, jusqu’au jour ou…une visite  et une demande étrange donna à Jean et à Amélie des sueurs froides. Cette demande les tourneboula tant et tant qu’ils se fixèrent et oublièrent de répondre.—Le Livre des Oublis….

     

     

    Jean et Clémence étaient heureux en ce petit matin frileux. Les deux amoureux qui franchirent la porte emmenant avec eux un courant d’air froid, semblèrent s’excuser tout en avançant à petits pas…un peu comme deux petits vieux. Clémence qui assise ce jour là sur son tabouret préféré, sourit en pensant que ces deux là devaient s’aimer depuis de nombreuses années. Émue, elle les regarda un moment puis, les laissa chercher parmi tous les objets qui étaient rangés sur les étagères.
     
    Ils examinèrent tout, ne prirent rien dans leurs mains, leurs yeux semblèrent être leur mode de recherche. Clémence se demanda si elle devait leur demander s’ils avaient besoin de son aide. Mais, les regardant avec tendresse, elle s’aperçut que leur mode de recherche leur était familier et que leurs petits hochements de têtes s’accompagnaient d’un tendre sourire. Ils firent ainsi le tour…Clémence fut sûre que ces deux là avaient tous vu.

     

    La jeune fille s’approcha de Clémence et toussotant, osa demander: » Madame! nous cherchons le  » Livre des Oublis »! elle regarda son compagnon, qui a son tour demanda: » Madame! avez-vous ce livre avec vous? Un ami commun Monsieur Spouzt nous a affirmer l’avoir vu chez vous est’il toujours en vente? Votre prix sera le nôtre. » Clémence surprise  par leur requête, leur demanda de patienter le temps qu’elle aille chercher son mari, qui était, le seul à s’occuper des livres.

     


    Ils lui sourirent de cette douce manière  qui fait le charme des amoureux. L’étincelles dans leurs yeux étaient merveilleuse à  contempler. Clémence se leva doucement de son tabouret _ oh! vous allez avoir un enfant Madame? La jeune fille ne put retenir sa question et rougissante, se tourna vers son compagnon…qui d’un geste, fit comprendre à celle-ci que ce n’était pas grave. D’ou venaient ‘ils donc! se demanda Clémence.
     
    Elle leur sourit et répondit avec fierté : » Oui …et ce petit sacripant bouge beaucoup en ce moment. Riant, elle appuya sur un bouton vert. Une voix se fit entendre…: » Oui! tu as besoin de moi! c’est urgent? _ Oui Jean, j’ai besoin de ton aide, nous avons des acquéreur pour un livre…peux-tu venir s’il te plaît! Au son de la voix de son épouse, Jean compris qu’il se passait quelque chose d’étrange…alors, laissant en plan l’ouvrage qu’il était en train de lire; il se pressa pour rejoindre Clémence…en arrivant, il fut éblouis par la douce lumière qui semblait émaner du couple.

     

     
     
     
     

    Il pensa en lui-même…comme ils sont beaux et si jeune!!! Alors, le jeune homme posa de nouveau sa question: » Monsieur, avez-vous en votre possession le  » Livre des Oulis » si c’est oui, nous aimerions vous l’acheter, si c’est non, ou si vous l’avez déjà vendu…pouvez-vous nous dire à qui? Monsieur Spouzt nous a assurer l’avoir vu sur une de vos étagère.
     

     


    Jean regarda Clémence et un affreux soupçon sembla peser dans son regard. Clémence le lui renvoya par le biais de son regard le même doute et, la même suspicion. Comment allaient’ils faire? Ils étaient si jeune?
    sur une idée de P.Perat.
    y-l.

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  • » Un classique est quelque chose que tout le monde voudrait avoir lu
    et que personne ne veut lire ».


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  •  » En créant un monde, en l’inventant, le créateur le découvre. »

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  • Dates de 2013 à 2018
    merci de votre visites.


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  • _Sol! viens vite.
    _Hein! euh qui ça?
    _Sol s’il te plaît ,j’ai si peur…viens.
    _Je veux bien, mais ou?
    _10 bis Avenue Apollo treize;il me fait peur…Sol viens…
    A l’autre bout du fils, la personne ayant reçu cet appel,ne sut évidement pas quoi faire…le message était pour un ou une sol quelque chose,le numéro ne s’étant pas afficher,il était plus difficile de le rappeler que faire! Autrement dit, moi, je ne sus que faire et ma décision devait être rapide puisque une jeune femme se trouvait en grand danger. Je passais un appel vers la gendarmerie de mon quartier et avec beaucoup de tac,ouais « j’en manque souvent »
    je demande au préposé s’il y a une quelconque alerte enlèvement ou s’il y a une personne âgée d’au moins 20 ans portée disparue.Un brin agacé par ma demande,il me répondit qu’aucun renseignement de ce type n’est donner par téléphone, que si j’ai en ma Possession des informations capital…je me devait de rappliqué illico presto. En bref, je devais d’après lui être une bonne citoyenne et venir me perdre pendant deux bonnes heures dans une gendarmerie ou l’humeur des mecs étaient réputés exécrable…alors là…non les gars,très peu pour moi.
    Un peu comme s’il avait suivit mes pensées,il me dit: » Madame, il se peut que votre appel soit pour nous une piste,une piste qui pourrait nous mener à un tueur en série, il faut nous dire ce que vous savez, s’il vous plaît Madame. » C’est ce s’il vous plaît qui me força à admettre que j’avais peut être une info et que j’allais venir de ce pas pour voir avec lui. Je lui demande son nom car pour moi,il est important de rester avec celle ou celui qui vous mets ou vous à mis en confiance. Il me répond un peu froidement: » Vous pouvez demander Eugène, je suis de garde jusqu’à six heures,je vous attends.
     » La-dessus,il raccroche, je pense que des appels comme le mien, il doit en recevoir à foison lorsqu’il se passe un fait divers et que ces gens-là,en ont plus qu’assez,je peux me mettre à sa place. Je m’engage vers la porte d’entrée,mon téléphone sonne de nouveau,il faut vraiment que je change la sonnerie,elle est barbante.Toujours pas de numéro,j’enrage. Je décroche quand même…on ne sait jamais. Une voix tendue m’appelle: » Sol,il arrive viens vite, Sol j’ai peur!_Ou êtes-vous? Je lui souffle cela de peur que ma voix lui fasse comprendre qu’elle n’a pas la bonne personne au bout du fils.
    _Un hangar Sol tu le connais, il se situe dans la zone de… »merde Sol » il est là,viens…Un frisson de peur m’étreins l’échine. Qui est-elle et de qui a t’elle peur? Ou se trouve ce fichu hangar…là,je me hâte,j’enfile mon cardigan il flotte dehors, mes pompes vont être dans un triste état quand je vais rentrée mais bon, j’ai pas le temps de changer,tans pis pour le daim. mon téléphone en poche,on sait pas hein!!! je m’enfonce dans l’ascenseur,six étages plus bas, je fonce sur ma voiture,une petite citadine qui paie pas de mine,mais pratique pour se garer dans ce fichu quartier.Dix bonnes minutes plus tard, je suis devant la gendarmerie et mon coeur s’affole,je déteste cet endroit.
    La pluie redouble…pas de parapluie, bon mon brushing est foutu lui aussi et merde.Au pas de course , je me ru sur la grande porte vitrée et pensant qu’elle va s’ouvrir bingue je me la prend en pleine figure. « Que j’en vois un rire et gare! » Un beau mec tout sourire appui sur un clavier, mon regard ne lui fait ni chaud ni froid,j’enrage pourtant et ma patience atteint presque sa côte de limite à ne pas dépassée.
    _Ah Madame! Désolé pour vous, nos portes restent fermés…on a eu certains soucis avec des…bon, vous voyez ce que je veux dire n’est ce pas! C’est vrai que cette gendarmerie de quartier a été plus d’une fois cailloutée et plus,la dernière fois c’est une voiture bélier que cette pauvre porte c’est prise…oui mais la porte elle, elle n’a rien eut, alors que mon front à moi doit déjà virer au bleu. Flute! Entrez donc Madame…Concilient m’en foutiste et rigolard ce gendarme ne se formalise pas du fait que mon langage plus que fleurie lui offre un beau panel de tout et de rien, bref…_Bonjour,je voudrais parler à Eugène s’il vous plaît!
    _Z’êtes sûre de vous Madame?
    _Oui, c’est ce qu’il m’a dit!
    _Qui vous a dit de demander Eugène Madame? Perte de temps,non mais je rêve là!
    _ Celui que j’ai eu au téléphone il y a de ça dix,non quinze bonnes minutes maintenant,j’aime pas perdre mon temps Monsieur. Là, il reste sur ses gardes…
    Vous êtes celle qui a reçu un coût de fil d’une personne inconnue?
    _Wouais l’ais futé lui…_Oui Monsieur, je viens comme promis,mais s’il n’est pas là,je reviendrai plus tard,j’ai pas trop de temps là!
    _ Non,non attendez Madame, c’est sûrement très important…il fini à peine que mon phone sonne de nouveau,à l’écoute cette fois,il me scrute de ses yeux noisette. _ C’est elle?
    _ Oui.
    _ Que dit-elle?
    Je lui fait signe de se taire et j’écoute, la voix est faible, elle parle très doucement, j’approche du gendarme et je lui colle mon téléphone dans la main…il écoute et son visage perds de sa couleur. Il marmonne quelque chose que je ne comprends pas, ses yeux se posent sur moi, son sourire a disparu ainsi que son air suffisant. Ce doit-être important, elle doit -être importante. Il raccroche,l’appel est fini.
    2
    Son regard se posa sur moi, son air me fit frissonner.
    _Quoi? Qu’avez-vous entendu Monsieur?
    _Elle va essayer de rappeler, elle est morte de peur, sa voix était faible ou elle parlait doucement et je parierai plus sur ce fait là, je ne sais pas qui il est mais…elle le craint c’est certain.
    _Bon, moi je fais quoi là! Je vous l’ai dit j’ai des choses à faire et si Eugène n’est plus là,ben, je vous laisse mon téléphone,vous m’en passer un pour me dépanner et je file vous …
    __Sûrement pas jeune dame, Eugène va venir et il prendra cette affaire avec vous, restez là,je reviens.
    Marre quoi! je déteste les flics,tous les flics, ils sont tous pareils. Pour eux, vous devez vous soumettre merde alors,on n’est pas au temps de l’inqui hein! M’en vais moi, je veux pas être mêler à cette histoire, c’est pas que je n’ai pas d’empathie hein! non c’est pas ça,mais j’ai pas envie de vivre ce que cette fille est en train de vivre.
    Et merde mon téléphone qui sonne à nouveau et je suis seule là! Je fais quoi moi? Troisième sonnerie et l’autre qui n’est pas là,m’en foutrais moi du attendez j’arrive avec l’Eugène… Je décroche et ce que j’entends me hérisse les poils de la nuque.
    _Je sais que t’es là petite, je vais pas te faire de mal, viens donc me voir qu’on discute après tout c’est ce qu tu voulais non! Ce rendez-vous c’est toi qui me l’a fixer,alors viens donc me dire bonjour, après je te raccompagne chez toi…
    Le souffle rauque de l’homme, sa voix grinçante, le raclement d’un objet quelconque sur le sol semblant accompagnés ses pas me fiche une trouille bleu. La jeune personne ne dit rien mais j’entends son souffle…il est court comme-ci elle respirait par à coups ne voulant pas se faire repérer.
    _Allez j’ai pas que ça à faire aujourd’hui,j’ai d’autres rendez-vous t’es pas la seule, bon t’es la seule dans ce coin et j’ai vraiment envie de te connaître. Nos petits moments du soir me conforte dans l’idée que t’as envie de passer du bon temps avec moi et ça…c’est toi qui me l’a dit n’est ce pas gentille Florence? Aller…tu nous fais perdre un temps précieux petite et tes parents vont s’inquiéter tu pense pas?
    Bon je t’ai menti j’ai pas dix sept ans c’est pas grave et ça sera bien mieux avec moi tu verras. Bon ça suffit,amènes-toi morveuse j’en ai marre là.Grondin! Viens là le chien, cherche la fille,cherche là Grondin.
    Un grondement féroce, un objet qui tombe sur le sol, un bruit strident puis des cris, des cris qui restent longtemps dans mes oreilles et qui me font grincé des dents.
     
    Des larmes coulent le long de mes joues et je me sent mal,j’ai envie de vomir quand j’entends un crac puis des bruits un peu comme si on traînais… un corps!!! Je peux pas crier,le téléphone est encore allumé ce con d’Eugène perd un temps précieux pourquoi?

    3

    Je tremble tellement que je n’entends pas la porte. Puis, je sent une odeur qui me fait un drôle d’effet…c’est quoi cette  » merde »? Je veux ouvrir la porte d’entrée,marre d’attendre l’Eugène s’il veut pas me voir…fallait pas me dire de venir. Je cherche dans ma pauvre tête cet endroit ou le Sol sait ou la petite Florence se trouve. Un local commercial?
    Un lieu ou seul les jeunes se retrouvent? Oui! mais ou? Je ne vois rien qui puisse par ici faire office de lieu de rendez-vous…ou les intrus ne sont pas convier. C’est sûr cela doit-être… »mince » La vieille usine . Ouais, ça doit-être ça…un vieux truc désaffecté depuis trois ans maintenant.Je m’échine sur cette fichue porte et un détail me reviens. Je peste le gendarme à ouvert cette fichue porte grâce à un code pour le coup, il faut taper ce code pour qu’elle s’ouvre de nouveau.
    J’ai envie de hurlée et je le fait._ Eh! ça commence à bien faire, ou vous m’ouvrez cette saleté de porte, ou je porte plainte non mais, vous avez pas le droit de me retenir contre mon gré…fais « chier là « . Une voix grave, me fait sursauter._ Vous voulez partir maintenant?_ Mais c’est quoi ici? Vous m’avez fait peur…ça vous amuse peut-être mais pas moi._ Je ne cherchais pas à vous faire peur, Je voulais vous prévenir mais…vous tempêtiez trop fort pour m’entendre,j’ai préféré à mon tour attendre que le calme revienne pour me…
    _Ouais c’est ça! En attendant la petite Florence est sans doute dans les mains de ce pervers et il lui fait un tas de saloperie…l’est ou ce mec là l’Eugène? Me faire venir pour glander pendant plus de quarante minutes si c’est pas perdre un temps précieux faut me préciser car moi je vais me barrer d’ici…ouvrez cette fichue porte je vais perdre mon futur travail à cause d’un mec que je ne connais et d’ou vient donc cette odeur?
    _ Vous sentez quelque chose vous? Je regarde ce gendarme,plutôt mignon le gars, un mètre quatre vingt cinq ,yeux noisette, visage carré, front haut, nez presque droit et surtout une belle fossette au menton, un mec qui se sent bien dans ses grolles ça c’est sûr, baraquer mais sans plus, du muscle pas de la frime, il me reluque à son tour et je sent mon visage qui prend soudainement une belle couleur brique._Votre téléphone fonctionne encore?
    Hein! La bourde,j’en ai oublié la pauvre fille…_Oui. J’entends des raclements et le chien l’a chopée c’est sûr elle à crier quant il l’a attrapé._Vous l’avez entendu?_Oui bazar,je l’ai entendue et si je vous le dis c’est que c’est ça qui s’est passé, dites il est ou l’Eugène?
    _ Eugène c’est moi.Bon là,je crois que j’ai fait fort…_Ahhh! Eh bien Monsieur Eugène je vous donne mon téléphone et vous b-vous débrouillez avec l’histoire. Pensez à voir la vieille usine qui se trouve à la sortie est de la ville,je ne vois que cet endroit mais…si c’est dans une autre ville, là…_Je ne peux prendre votre téléphone Madame…Il attend quoi?
    Oh…mon nom bien sûr que je suis gourde des fois…_Je me nomme: » Améthise Langueloit » j’habite au 23 rue Stanislas Girardin près de la gare. J’ai un rendez-vous important pour un travail et là…oh bon bazar je suis franchement à la bourre!_ Vous ne pouvez partir Madame Langueloit,j’ai besoin de vous pour la suite des opérations, votre aide nous sera précieuse.
    _ Ben quoi! je suis pas flic moi ,ni détective privé alors que pourrais-je faire pour aider?_ Vous posséder malgré vous des informations capitales, je suis navré pour votre futur emploi. La vache de flic quand je dis que je les détestes hein!
    y-l à suivre.
     

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