• Chamane.1-6.

    C’est bon, je viens de trouver l’endroit, je sais qu’il est là. Je reste un long moment à ne savoir que faire, pourtant, mon coeur tambourine fortement dans ma poitrine…si fort qu’il doit l’entendre. Avec un puissant soupir, je regarde la lune qui lentement cède la place.


    Dans quelques instant le flemmard de soleil pointera sa face; je dois être à l’intérieur de cette maison avant que ses rayons ne traverse la baie vitrée. Debout face à la porte de derrière, je frappe trois coups sonore.Personne ne bouge, ils dorment encore quoi que de petits gloussements se font entendre donc…tous ne dorment pas.
    Je frappe de nouveau,plus fort encore si cela est possible…la porte tremble et j’entends enfin un: » Dis gros, il y a quelqu’un dehors , écoutes! » Un rire masculin lui répond et elle grasille un peu plus de plaisir._ Oh! Les tourtereaux, je suis ici moi!


    Un mot un peu grossier fuse puis, un bruit de pas lourd résonne soudainement.La porte s’ouvre en grand et un torse puissant recouvert d’un large tee-short ou maillot…un boxer et rien d’autre me fait face.
    _ Quoi !gronde l’énorme. Vous voulez quoi à cette heure matinale?
    _ Je veux entrer d’abord et parler ensuite Sgrolk.
    _ Hein!



    _ Je peux et le faisant reculer, j’entre à mon tour…le soleil doucement se lève et je claque la porte. Je regarde autour de moi, les volets sont encore clos et à certaines fenêtres, il y a des rideaux, c’est tout bon pour moi ça. Furieux de mon intrusion, il va pour me prendre par la peau des fesses et me jeter dehors manu militari.



    L’escalier grince, une belle femme, grande, blonde, aux yeux de biches me  regarde et son sourire est triste mais chaleureux en même temps. C’est bon, je ne me suis pas trompée.
    _ Bonjour, je cherches Slen, il est ici?
    _ Oh! c’est lui que tu veux voir ?me demande la blonde.
    (Ben c’est ce que je viens de dire, non! ça c’est ce que je pense dans ma tête hein, je ne lui dis pas ça)
    _ Oui, je suis ici pour lui.
    _ Le gros me foudroie de nouveau de son regard puis,il lève le bras vers le haut. Ok, il est dans sa chambre, c’est sûrement ça qu’il veut me dire …La belle blonde sourit de nouveau et avec un doux accent  me donne les indications nécessaires car dit’elle-il y a quand même cinq chambre dans la maison alors pour trouver la bonne quand on ne connait pas!


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    A mon tour je lui souris, mon regard accroche le sien et elle a un sursaut._ Veux -tu boire un café? me demande t’elle. Je fais un signe de tête négatif, j’ai besoin de rester propre et je dois faire vite._ Je vais avoir besoin de vous deux, c’est possible?
    _ Quoi là maintenant! rugis le gros.
    _ Oui,maintenant , suivez-moi,vite le temps presse. Inquiet et surpris du fait qu’ils se trouvent obligés de me suivre sans  me posés plus de questions , ils se regardent, hochent leur tête et me suive ou plutôt elle me précède et lui, me suit en bougonnant. ( l’a pas prit son café le gros hein!)



    Trois portes sur la droite, deux sur la gauche et je sais que c’est la dernière sur la gauche. La blonde toque doucement contre la porte, pas de réponse, elle va pour recommencer mais, je ne lui en laisse pas le temps et d’un ton autoritaire-je lui dis: » ouvres la porte,vite, c’est urgent là. » Sans un regard vers moi, elle ouvre la porte et se glisse à l’intérieur.
    _ N’allumes pas, n’ouvres pas les rideaux, restes à côté de lui et toi ordonnais-je au gros balourd, tu te tiens à ses pieds. Dès que je vous le dirais, vous exécuterez mes ordres si vous tenez à lui. C’est compris? Mon ton autoritaire ne plait pas du tout à Sgrolk.
    _ Tu te prends pour qui là? Je ne lui réponds pas,pas le temps pour ces futilités. Je soulève le draps qui couvre le corps de Slen e mon regard se fixe sur le point à traiter. Urgence…il y a urgence. Pourquoi donc ne s’est’il pas fait soigner? Sgrolk me tance vertement et veut remettre le draps sur le corps à l’abandon de Slen._ Tu crois Sgrolk que c’est normal que Slen ne réagit pas à notre intrusion?



    Regardes -le, dis moi donc si tu trouves sa respiration normale, si la couleur de sa peau te semble normale, si cette marbrure à l’aine est normale, hein, dis moi donc Sgrolk?
    _Mince, c’est quoi cette horreur? beugle t’il.
    _ Vas -y doucement , c’est pas non plus une horreur, il y a du beau à regarder lui sussure la blonde._ Hein! Eh ça va toi t’es à moi , pas à lui fais gaffe,non mais dès fois sourit’il à la douceur qui lui fait face. Bon t’as raison,il est balaise et très beau le saligaud.



    Alors c’est quoi cette affaire  hein! Visiblement il ne sait comment me nommer et c’est tans mieux, qu’il cherche dans sa tête bien pleine et peut-être qu’il trouvera. C’est vrai qu’il est beau lui aussi, un grand balaise tout en muscles, des vrais muscles, ceux qui sont travaillés chaque jours, un corps sculpté grâce à un entrainement intensif et à une vie saine.



    Il est grand, d’ailleurs il doit-être le plus grand de la fratrie. Des yeux d’azur, un nez un peu épaté, une mâchoire carrée, des cheveux de bronze, une taille fine,des cuisses épaisses, fermes et musclées. Un dos et une poitrine large le tout sur un bon mètre quatre-vingt-dix à vue de nez. La femme qui l’accompagne n’est pas en reste, elle est grande elle aussi, une tignasse blonde,longue, douce au toucher, un visage un peu anguleux,un bouche rouge un peu charnue, des yeux en amandes,une belle plante sur un bon mètre soixante-quinze au-bas mot.

    Cerise sur le gâteau…elle en est folle.Je les trouve splendide tout les deux. Je pose mon nécessaire sur une petite table. Je retrousse mes manches, puis-je pose mes mains sur le corps de Slen qui réagit à mon toucher.
     

    _ C’est bon ici, il n’y a rien. Je continue, mes mains parcours son corps sous l’oeil goguenard du gros. J’arrive à son entre-jambe et j’entends un …
    _Hum hum, tu comptes aller là?
    _ Oui je souffles, l’intensité du moment me fait souffrir et je commence à transpirer. Sgrolk s’en aperçois et c’est à cet instant qu’il comprends que son ami à vraiment un gros problème.
    _ Dis Chamane, il a quoi Slen?_ Tu poses ta question maintenant?
    _ Ben,oui!
    _ Pas le temps pour ça gros,pas le temps. Je  l’ai vexé je le sais, je le sens,il vient de se tendre, son visage se durcit mais la blonde lui murmure doucement un: » écoutes là mon trésor,elle répondra après, ta question est bonne, juste pas le bon moment, regardes comme elle est concentrée sur ce qu’elle fait, ça doit-être très dur,difficile,elle souffre, regardes bien Sgrolk.




    On voit après pour les questions tu es d’accord mon trésor?
    Il souffle tel un buffle des marais, il est prêt à ruer mais les paroles de sa douce font lentement leur chemin et il reprend  doucement contact avec ce qui l’entoure et là; son regard ne me quittera plus._On fais quoi nous?_ Là! je cris ces mots.


    Je reprends plus doucement, là! Puis je leur explique ce qu’ils doivent faire._ Bon, il faut que l’un de vous le tienne fermement par les épaules, le mieux, Sgrolk c’est que ce soit toi qui fasse cela, toi la blonde tu lui tiens fermement le bassin, il ne faut pas qu’il bouge et quand je dirais… là! Il faudra le tenir très fort, et ne pas douter,il va souffrir, il va se débattre, il va hurler mais c’est nécessaire vous verrez que je ne ment pas, d’ailleurs, je ne peux mentir.
     

    _ Moi c’est Sandra si cela t’intéresse! La voix est douce,pourtant, il y a un fond de dureté à l’intérieur, je frissonne non qu’elle me fait peur non, mais je sais qu’elle sait. Je lève la tête et je fixe cette belle femme, elle ne tremble pas, juste un soupçon de peur rentrer, mais ses yeux me rendent mon regard._ D’ac Sandra, excuse-moi, pour la blonde._ Je sais, toi tu le dis d’une façon que je peux accepter car tu penses du bien de ma personne alors…excuses acceptés. Elle me sourit et je lui rend son sourire.

     
    Mes doigts parcourent lentement le ventre de Slen et j’arrive à son intimité. Son sexe reste plat, signe d’un fort dérèglement.
    _ Sgrolk, depuis quand n’a t’il pas euhhh! je rougis un peu et Sgrolk lui devient carrément rouge tomate._ Euh, ben, je sais pas en fait!
     
    _ Ok, je sent que c’est pas loin. Soudain je crie
    -Là! Ils le tiennent fermement alors je suis le sentier et je descends lentement entre l’artère,le canal est fragile, je dois faire très attention, je sent que quelque chose bloque le fluide, je comprime plus fortement encore et je descends encore, encore, j’arrive enfin à sa cheville.

    D’un geste sur, agile, je fends celle-ci avec mon scalpel, un trait de sang coule rouge vif puis un mélange de sans et de pue s’écoule  Slen hurle et se débat.
    Sandra le tient fermement et je vois qu’elle à compris. Sgrolk hurle avec son ami et ses yeux reflètent un peu de peur,il gronde, il souffle et je sent qu’il va poser sa question.
    _ Pas le temps gros, après. Il faut le tenir plus fort encore, le mieux se serrais qu’il soit  sur un surface dure.Alors une voix ensommeillée se fait entendre.


    _ Dites…vous faites quoi à Slen là? Une petite brunette juste vêtue d’une nuisette blanche se tient sur le pas de porte derrière elle un autre mâle regarde et cherche à comprendre ce qui se passe dans cette chambre. Ouf un vrai plaisir pour les yeux ce mec.

     

    Sgrolk est super canon, mais là, ce mec lui est à tomber raide. Un simple boxer montre ses atouts qui ma fois son puissant, il est pareillement musclé, du vrai muscle encore une fois, ses yeux de brume se posent sur nous,ils se chargent d’une humeur qu’il faut vite calmer sinon ce sera la bagarre et j’ai pas le temps pour ça. La brunette se colle contre lui, mon regard sur son homme ne lui a pas échapper pourtant, j’en veux pas de son mec, non, j’en veux pas même s’il sent très bon le bougre.

     

    Elle est belle, menue et bien dans son corps. Ses yeux lavande  son très beaux. Son petit visage de poupée prête l’homme ou la femme à se sentir bienveillant à son encontre pourtant…c’est une vraie furie. A manier avec précaution.


    Un autre mec fait son entrer, C’est pas possible, comment donc la mère a t’elle fait pour en avoir quatre aussi beaux, lui, il est blond, ses yeux vert foncé se posent sur l’assemblé et il reste stoïque dans l’attente d’une réponse, réponse qui ne viendra pas,pas le temps. Il est petit un mètre soixante quinze peut-être soixante dix-huit, à voir, il a en lui une puissance dévastatrice mais…il ne le sais pas, pas encore et c’est tant mieux.

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    Lui aussi souffre et son mal doit être guérie et ce rapidement. Un lutin s’approche de lui et ses bras entourent la taille fine du super mec.  Presque aussi grande que lui, toute en ligne, ses longs cheveux auburn entoure un fin visage.Ses yeux bleu marine se posent eux aussi sur l’étrange assemblé réunis là. Je vois son petit ventre et je plisse le nez. Merde encore un souci par-là.


    Sandra prends la parole avec rapidité.
    _ Bon là on n’a pas vraiment le temps pour papotais d’accord! Alors on va faire court, Slen souffre le martyr , elle, c’est une Chamane et elle est là pour le sauver donc…on fait ce qu’elle dit et fissa! Elle a besoin d’un truc long et dur pour poser Slen dessus, qui a une idée?

     

    _ La brunette me regarde fixement et me dit: » La table du salon fera l’affaire,non! » je souffle un: » Bonne petite,merci…oui ça fera l’affaire il faut faire vite. »
    _ Elle bougonne un: » m’en vais te le faire ravalais ton » bonne petite « tu vas voir, non mais et puis quoi encore hein! »


    Puis elle lance: » Marie c’est comme ça que je m’appelle compris? »Alors je braille un  » merci à toi Marie ». Bon les hommes il faut faire en sorte que Slen arrive en bas sans à coups c’est possible ça?_ Ben on va essayer de faire comme si répond beau mec trois.

    _ Non, on fait pas comme si les mecs, c’est important et je peux pas aider là alors doucement ok!_ Bien sûr me dit Sgrolt t’inquiète pas on va faire très doucement. Un bruit de vaisselle, un vacarme inquiétant venant d’en-bas force la belle liane à aller voir ce qui se passe.


    Les hommes prennent chacun un bout mais comme le constate Sandra il manque un homme. Son regard se fixe sur Slen puis sa décision prise, elle prend le dernier bout et aide les autres.
    _ Aller les hommes, on y va en douceur dans l’escalier.Après quelques secondes de doute, Slen est enfin poser sur la table. Sur la pelouse on peut voir que le tapis et tout ce qu’il y avait sur cette table, se trouve un peu en vrac dehors. Marie me regarde fixement. Je hoche la tête et je reprends mon travaille.
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    Sur la pelouse on peut voir que le tapis et tout ce qu’il y avait sur cette table, se trouve un peu en vrac dehors et personne ne songe à s’en offusquer.Marie me regarde fixement, je hoche la tête satisfaite de son idée et je reprends mon travail. Ils sont là autour de moi et cela me pèse. J’ai besoin de calme, de me concentrer mais, leurs peurs titillent mon esprit et cela me déconcentre.


    Farouche,je gronde un » ceux qui n’ont rien à faire ici, du balaie et fissa, j’ai besoin de calme,votre peur me déstabilise. »
    _ Ben quoi braillotte Sgrolk
    ._ Pas toi gros, ni Sandra,mais…
    _Ok rugis Marie on a compris, venez on les laisse faire, si tu as besoin de quelqu’un Chamane ( cela dit d’un ton un peu acerbe, mais…je vais te faire taire Marie,attends un peu!)!



    _ Je râle un Ouais,je sais ou vous trouvez. Sandra se positionne contre Slen et là, je sens comme un tiraillement en moi, ça va pas du tout.  Je regarde Sgrolk puis Sandra, hum ouais, c’est la plus menue des deux y a pas photo mais hors de question qu’elle chevauche Slen. Elle sait et son sourire s’élargit puis dans un murmure elle me dit: » C’est pour la bonne cause Chamane, rien que pour la bonne cause ».


    _ Niet Sandra et là Sgrolk nous fixe, il comprend qu’il a loupé quelque chose mais quoi! Ses yeux se font suspicieux et son beau visage prend une expression dur très dur. Sandra réagit illico.
    _ On peut demander à  Oleg de venir nous aider, il est moins lourd que Sgrolk et moi…il ferait l’affaire lui tu ne crois pas Chamane?
    _ Soufflant plus fort je lui fais signe et elle se rue vers la cuisine et reviens avec Oleg. Qu’il est beau ce mec._ Tu veux quoi Chamane? Cheveux blond, yeux vert foncés, 1 mètre 76-78, râblé, musclé,futé; il me dit: » alors tu veux quoi Chamane? Mes mains sont de nouveau près de l’aine de Slen et les yeux vert d’Oleg se posent goguenard sur moi._ Pas le temps pour ce genre de stupidité Oleg que je braille ».



    Il se raidit et se contient à peine. Tant pis pour vous les mecs mais, il faut mettre de côté vos petites idées scabreuses. Le moment et très mal choisit. Ecoutes moi Oleg, je vais faire souffrir Slen, j’ai besoin qu’il reste tranquille afin de ne pas le blesser plus qu’il ne l’est. Sandra tiendra sa tête, Sgrolk ses épaules et son torse toi Oleg, je veux que tu te positionne sur Slen, sur ses hanches et que tu l’empêches de bouger puis…tu poseras tes mains sur ses cuisses… fermement,puis ta main gauche sur le pubis de Slen…



    _ Hein! Non ça va pas la tête? Et puis quoi encore! C’est le rôle d’une fille ça…pas question que je touche au sexe de Slen…il va m’arracher la tête quand il ira mieux, comptes pas sur moi Chamane là…il y a maldonne, pas de ce bord là moi.

    Il bougonne rouge comme une cerise burlat bien mûre.  Si c’était pas urgent,je rirais mais là… j’ai envie de le frapper et il le sent. Il recule puis, prend position sur Slen mais murmure quand même un : » pas question pour son sexe, débrouilles toi Chamane, comptes pas sur moi! » Sandra pousse un profond soupir et Sgrolk gronde un: » -non ni penses même pas. » Il me regarde méchamment et me dit » Débrouilles toi Chamane, c’est ton homme après tout hein!


     » ( Bougre d’abrutis d’homme de Néandertal, fichue langue de vipère fourchue, fermes là…c’est ça que j’ai envie de lui dire, de lui crier tellement je suis en rage contre lui mais..).je sourie simplement. Pourtant, il se ratatine sur lui-même et Sandra se poste devant lui faisant de son corps un bouclier et heureusement pour lui._ Laisses-le Chamane, il est à moi, je le garde.
    _ Garde son esprit alors!
    _ Sgrolk soit plus gentil c’est toujours très difficile pour elle, je comprends pas tout et toi non plus mais faisons comme elle dit d’accord mon gros et après on verra, hein?



    _ Ouais ma biche,ouais on fait comme ça.Tout cela ne dure pas aussi longtemps que cela en a l’air, seulement , je perds un temps précieux avec leurs idées scabreuses.  Mes mains parcourent de nouveau le tracé précédent et du pu jaunâtre et rougeâtre sorts de la plaie. Il cri et se débat si fort que Sandra se mets à pleurer à chaudes larmes tout en le tenant fermement. Les deux autres en font autant, stupéfait par la force brut de Slen.



    _ Tiens le bien Oleg !que je crie. Il murmure un:faut lui dire à lui merde Slen arrêtes c’est pour toi qu’on fait ça! Chier mec,t’arrêtes de te débattre? Slen semble l’avoir entendu mais moi je sais que ce n’est qu’une petite accalmie .
    _ Ne relâchez pas votre pression,il va ruer! 0 peine dit que Slen se tendait tel un arc prêt à tirer.Le cri puissant qui sortit de sa bouche nous vrilla les oreilles et nous laissa abasourdis.
    _ C’est fini ?demande Sgrolk._ Pas tout à fait mon frère,pas tout à fait, une dernière petite chose à faire et après ça ira mieux pour lui._ Oleg, tu veux bien tenir ses cuisses?
    _ Euhhh je t’ai dit que…_ Fermes là Oleg, j’ai compris, tiens juste ses cuisses d’ac?Sgrolk murmura à Sandra un: »quoi! frère ou ça? »_ Chutt Sgrolk, chutt après!


    _ Je pose ma main gauche sur le pubis de Slen et mon visage s’enflamme. Je les entends rire sous cape, pas de temps pour eux, après oui après, je me concentre et soudain le sexe de Slen se dresse tel un serpent et claque contre ma main, une tension se fait et un liquide noirâtre sort du sexe de Slen, il pousse un hurlement strident. Il se tend et se tord de douleur puis aussi soudainement qu’il se soit tendu,il retombe sur la table Oleg le tenant toujours. Le visage d’Oleg exprime l’incrédulité et un sentiment de joie indicible illumine son beau visage
    ._ Tu l’as sauvé hein? _ Epuisée je réponds dans un soupir: »
    _oui Oleg, oui…j’ai encore du travail mais avant…il faut le mettre dans son lit puis…je dois me purifier ».
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    Je suis lasse, mes yeux se fixent soudain sur le décors, ils sont là, ils me regardent et le troisième beau gosse me parle mais chose étrange il le fait d’esprit à esprit…étonnant!  » Chamane, tu l’as sauvé hein!

     » Je branle de la tête essayant de le chasser de mon esprit,je dois rester concentrer et mes yeux furieux le lui disent, il comprend, me sourit, hoche sa belle tête en souriant, fumier il lit dans mon esprit attends tu ne perds rien pour attendre toi, je te réserve un chien de ma chienne, il est hilare mais,il me laisse. Je regarde les autres et mes yeux accrochent la petite amie d’Oleg qui se courbe contre le chambranle de la porte.

    Elle semble souffrir. Une traînée coloré longe l’intérieur de ses cuisses, pour l’instant, je suis la seule à le voir, quoi que! Elle pousse un tout petit gémissement. Fébrile,elle cherche Oleg et c’est mon regard qu’elle trouve, je m’accroche à elle et par la pensée je lui demande: » tu veux garder ce qui grandit en toi ou pas? »
    L’inquiétude voile son beau visage, elle ne sait pas,pas encore.Puis, elle me fait oui de la tête alors; je lui  explique ce qu’elle doit faire en  lui souriant afin de lui redonner confiance. » Vas dans la cuisine, mets tes jambes en l’air et même si tu as l’air idiote comme ça, ne bouges pas tant que je ne serais pas avec toi…n’écoutes pas les autres et laisses les rires, tu as bien compris? »
    Son air apeuré,ses membres tremblants, son pauvre sourire sur ses lèvres blêmes elle me fait comprendre que oui…puis,elle va dans la cuisine sans se retourner, le regard de l’autre se fixe de nouveau sur moi mais…il ne dit rien. Je suit les autres qui montent Slen dans sa chambre.
    _ On le dépose ou? demande Oleg.
    _ Au milieu de son lit ce sera bien, et, sur le côté merci. J’ai besoin d’une douche ou pourrais-je!!
    _ Pourquoi faire ça? demande Sgrolk.
    _ Pour se purifié tête de noeud lui dit Slen.Oh t’es réveiller vieux! ça hurle dans la chambre tant ils sont heureux de le voir respirer et surtout parler.



    _ Beugler pas comme ça merde, j’ai une sacrée gueule de bois, dites donc c’est quoi qu’on a bu hier soir…ça tape sec!  Tous se figent.
    _ Quoi! bougonne Slen, quoi!
    _ Ben vieux t’es schlasse depuis plus d’une semaine et c’est grâce à elle que tu te pointes de nouveau, tu comprends qu’on est heureux de te voir les yeux ouvert et la gueule aussi et là,ils se mettent à rire doucement mais…on voit ou on sent bien que la peur n’est pas loin.
    Slen pose ses yeux chassieux sur moi,ils ne fixent pas vraiment mais…ce qu’ils voient semble leur plaire car Slen m’envoie un merveilleux sourire qui ouvre mes entrailles de plaisir. Je me trémousse  puis je me tends, il y a de nouveau urgence et mon esprit fébrile l’a senti.
    _ La douche s’il vous plaît ou?


    _ Prends la mienne,il y a tout ce dont tu auras besoin pour te purifier, va!
    Sans attendre les idioties des autres ,je file et enfin libre des regards, je me laisse glisser lentement. Un instant, juste un instant puis, je me dresse et vive je scrute la salle d’eau. Bien, Slen à raison, les choses sont bien là. Des flacons, des gels, des onguents tiens donc! Un drap de bain blanc propre semble me tendre les bras.



    Je laisse l’eau me purifier puis avec des gestes doux, je me lave lentement pressant doucement sur les points de mon corps qui restent sensibles. L’eau a toujours cette douce vertus sur moi elle me lave, me détend, me rend forte, l’eau froide fini le massage.
    Je me glisse dans le drap de bain et me sèche.Soudain je tempête. » Bête que je suis, mmerde….Alors une voix gronde doucement contre la porte.
    _ Chamane tu as un problème?


    _ J’ai besoin de vêtement très propre et j’ai rien…
    _ Quoi tu râles pour ça! et merde Chamane on a cru que t’étais ben on sait pas trop mais…bordel pour des fringues gronde t’il! Puis la voix de Slen retentit.
    _ Viens là Chamane, j’ai ce qu’il te faut,viens.


    Avec le drap j’ouvre la porte et mes yeux regardent  tout autour de moi, les autres sont légèrement dubitatifs. Slen reprend la parole » si elle veut des vêtements propre c’est parce qu’elle a pas fini ici, c’est ça hein!
    _ Oui, j’ai besoin de propreté et j’ai rien prévu pour…j’allais dire elle mais mon regard c’est posé sur Oleg et je sais qu’il n’est pas au courant je dois le préserver. Je pose les yeux sur Slen et mon corps réagit violemment, merde va falloir que je me contrôle un peu mieux.
    _ Regarde dans mon placard tu vas trouver des tee-shirt assez grand pour te servir de robe, et un caleçon fera l’affaire pour ton bas et là…il se met à rire doucement et les autres le suive sauf Sandra qui d’un mouvement de menton me fait signe de la suive ce que je fais. Elle au moins elle me donnera des fringues de filles. Ben non. Elle ouvre son dressing et me laisse regarder. Slen est là à mes côté.



    _ Elle peut pas toucher à tes fringues Sandra,tu dois lui sortir un tee-shirt sans vraiment le toucher tu piges?
    _ Slen que fais-tu là, vas te recoucher et vite tu n’es pas assez fort pour rester debout va vite te coucher que je braille.
    _ Ouais, tu m’accompagne poupée!
    J’en meurs d’envie mais pour rien au monde je le lui dirais. Slen oh Slen, tu ne te souviens même pas de moi alors!!! Mon regard le fait sursauter.
    _ Tu es si triste Chamane, pourquoi?



     Son doigts glisse doucement le long de ma joue enfin cela donne cette impression car, il ne me touche pas mais, le tracer est brûlant et son corps à lui réagit, il bondit en arrière et me jette un regard ou la faim se dispute avec un milliards de questions. Sandra me ramène brutalement à la réalité en me disant d’un ton brusque.
    _ Tiens je crois que là ça fera l’affaire et j’ai pas mis mes mains dessus Chamane.
    _ Je regarde les vêtements et un sourire pâle se dessine sur mes lèvres. Une longue robe blanche, un foulard, une culotte blanche, un soutien gorge à balconnet blanc pas à ma taille le soutif et en le regardant elle me sourit l’air de dire » désolée,mes seins sont plus menu que les tiens hein! »
     

    Elle regarde derrière elle et me tend un autre soutien gorge en dentelle à ma taille.
    _ Il est propre Marie ne l’a pas mis…elle le garde pour une super occasion alors tu peux.
    _ Non, Sandra,je ne peux pas,laisses ça va aller,la robe est superbe merci Sandra. Tu peux m’aider? Et là, elle comprend,…tu ne peux rien toucher, c’est ça, sinon tu seras souillée?
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    , je n’ai pas tout mon temps, le savez-vous ça! J’ai à faire avec vous et là encore, je dois faire vite pour vous aidez. Si vous ne voulez pas de mon aide, je comprendrais après tout…je ne suis ici que pour Slen. Ainsi, ma mission sera terminée…j’aurais accomplit ma mission.

    En plus, Slen

    et moi, nous serons libre. Plus rien ne nous liera…libre l’un et l’autre de faire ce que l’on veut…plus d’entrave et pour moi, plus de souffrance. Alors?

    -Qui vous a liés Slen et toi?
    Sgrolk me fixe…son regard et doux malgré sa force… ce bonhomme sait se montré d’une infinie douceur pour ceux qu’il aime.

    Quand Slen et moi étions très jeune, Morsea nous lia. Elle ne savait pas encore à l’époque que son pouvoir était phénoménal… Ni que celui ci allait faire des ravage avant qu’elle ne comprenne qu’il ne fallait pas jetés des sorts sans y réfléchir avant.

    Ce soir là, nous étions assises Morsea et moi à la table du Grand-Café. Nous, nous comportions comme des ados que nous étions en fin de compte. Alors, nous regardions les filles , les garçons et d’un battement de nos cils, d’un sourire, nous savions ce que l’une pensait d’un tel où d’une telle.

    Nos fous rires faisaient rire les autres et les regards des garçons et des hommes présent, ne cessaient de se posés sur nous et c’est là que j’ai croisé le regard de Slen. Morsea à suivi mon regard…elle a sourit, battus de ses mains si fines et avec douceur, elle a prononcer ces paroles

    :-avec le coeur, avec ardeur, l’amour comblera vos jours. Je vous lies pour l’éternité. Rien ne pourra entravée cette vérité .Que ma voix perce les nuées, ombres et forêt, terres et mers, ciel…soyez les témoins et aimez les.

    Là dessus, elle ria si fort que je ne sus ce qui se passa réellement car, le tonnerre fit tremblé les fenêtres la porte s’ouvrit seule, une bourrasque de vent vint nous caresser…des gouttes d’eaux nous aspergèrent…les plantes vertes ondulèrent…le ciel s’embrasa puis…le silence se fit après que la terre trembla légèrement.

    Nous étions pétrifiés … Morsea elle, elle gloussait comme une dinde. Son visage reflétait la joie. Elle me fixa, regarda Slen qui s’avançait vers nous. Elle rougit puis murmura un…Mer de…je crois que j’ai fait une énorme bourde . Viens vite Lily, cours vite. Elle m’empoigna et je fus catapulté vers la sortie par une Morsea folle d’inquiétude.

    Quant enfin elle ralentit,le souffle court les joues rouges, le coeur au bord des lèvres…elle comprima sa poitrine. Remit de l’ordre dans sa chevelure d’ébène voilant ses yeux d’ombre, elle me cloua au mur de la venelle…ses mains posées sur mon torse qui cherchaient de l’air allaient et venaient en rythme.

    -Oh ma Lily je suis vraiment désolé pour toi si tu savais!
    La panique m’envahit car jamais elle ne s’excusait. Qu’avait elle fait de si horrible?-De ce jour ma Lilly tu ne seras plus jamais seule, l’amour dans l’ombre te soutiendra…il marchera à tes côtés sans jamais t’entravé…aime-le, chéris-le c’est mon cadeau pour ton éternité. Et la…j’explose de colère…la suite vous la connaissez n’est ce pas?
    _ Ben non gronde Sgrolt.

    _Laisses mon coeur, elle va tout nous dire hein Chamane? Ben voyons…
    y-l à suivre.

     


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