• Diamon. L'ordre du Dragon.1-2

    1805…

    Une Institution ou Ecole de Prestige pour jeune de la haute société faisait parlé d’elle. Elle avait pour but de faire de ces jeunes aristocrates un peu désabusés ,peu enclin à prendre part à la vie réelle …préférant vivre pleinement leurs jeunesse dans ce qui se faisait de plus en plus dégradent…qu’importe la lie,pour eux nantis n’ayant qu’un billet à ordre à signer et, les voila plongé dans le vice , le jeu ou en un soir on pouvait perdre jusqu’à sa chemise.

    Certains y laissèrent leur demeure ou pire leurs liberté. trois jeunes de haute naissance avaient eu ce genre d’incident,heureusement la famille s’était mise en branle faisant éclaté la réalité de ces jeux ou l’ivresse, le stupre, la drogue, faisaient perdre la tête à de jeunes freluquets…

    C’était normale au vue de ce que pouvait affirmés certains hommes bien nés…tablant sur le fait que « la jeunesse doré ce devait de brûler la chandelle , dans profiter avant que le couperet du mariage, les enferment dans le lit douillet certes mais, certainement moins extravaguant.

    Ainsi certains eurent leur vie complètement raté, se retrouvant à servir un maître fort peu enclin à la clémence…Ceux qui avaient leur famille derrière eux furent sauvés grâce à cette nouvelle institution. Elle fut fondée par Napoléon 1er alors 1er Consul.

    Installé d’abord à fontainebleau ( château de Fontainebleau) En 1808 elle est transféré à saint Cyr par décret dans le bâtiment de la maison royale de saint Louis. Lorsque l’école reçoit son drapeau, il ne porte aucune inscription. En 1805 le ministre de la guerre ordonne d’y ajouter la devise  » L’Empereur des français aux élèves de l’école impériale militaire .
    « Ils s’instruisent pour vaincre ».
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    1810.
    Mon Grand-Père vient de mourir.
    Après les jours de deuil, j’appris que j’allais moi aussi faire partie intégrante de cette prestigieuse école. Je suis fils de commandant de la Garde Royale et petit fils de Haut Générale des armées de sa très Glorieuse Majesté. Servant de Napoléon. Je suis aussi le dernier représentant d’un peuple qui fut massacré par ceux qui avaient demandé leur aide.

    Je venais d’avoir 17 ans,mon grand-père, le haut Général Vladismas Diamon de Neurval, fils du Premier Consul Martimort Diamon de Neurval et petit fils de Vladismas Neuvil Diamon de Neurval qui, sauva lors de la tragédie du Carrosse de sa Grande Majesté, la vie du petit Empereur.

    Ce qui,lui valu la très haute distinction et la médaille Suprême qui, ouvre toutes les portes à celui qui porte cette médaille. Les souvenirs, sont ce qui plaît le plus et mon grand-père , me confia cette médaille qui, je l’avoue ressemble plus à un bijou de très haute valeur.

    Un cristal en forme d’étoile en son centre, un éclat de diamant bleu,le tout enchâssé par une résille d’argent et d’or. La chaîne est un alliage méconnu de nous…ce qui veut dire; que ce bijou reste un souvenir d’une époque lointaine ou, un pacte fut scellé grâce à cette médaille…et, j’en suis aujourd’hui le gardien.

    Ce qui reste en l’état tout à fait approprier. Saint Cyr,école de prestige ou seul l’élite a le droit et le devoir de passés par ses portes, de connaître son enseignement et de faire d’elle, la responsable des fils qui un jour, feront de la nation…une fierté aussi grande et puissante qu’une armée.

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    Les portes seront ouverte à tous ceux qui auront reçu, l’enseignement fait à Saint Cuy. La belle affaire…je suis d’origine noble mais, je n’ai pas la fortune qui va avec ( enfin si,mais cela reste un secret).Ce qui veut dire, que malgré le souhait de mon grand-père…je ne serais jamais un Cyrard! Oh mais c’est mal connaître ce Haut Général. C’est qu’il en avait dans la tête mon grand-père.

    Il alla frappé à la bonne porte et en cet instant, j’ai en main un document que vient de me remettre un porteur en livré, jaune-noir et or. Donc ce billet, document vient d’un haut noble! Eh bien! Ma mère me fixe de son superbe regard azur. Une flamme brille au fond de ceux-ci. Ses joues sont légèrement rosées, ses narines frémissent, de la joie chez ma mère? Quelle chose extraordinaire.

    Elle se frottes les mains, d’un mot sec…elle revoie la douce Maniette sa dame de compagnie qui, n’est autre que sa cousine. Maniette peinée se lève d’un pas lent, le menton droit, se dirige avec grâce vers la porte qu’elle referme avec douceur derrière elle. Ma mère, souffle bizarrement signe évident d’une colère qui monte.

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    _D’accord mère le billet. J’ouvre la missive et lentement , je la lie. Ma mère tremble/bien._Je vais vous la lire mère. que je lui dis. Mais accordez-moi juste le temps de bien comprendre ce qui est inscrit ici, voulez-vous?

    Elle hoche sa belle tête bien faite…elle boue littéralement…j’exulte presque.Son arrangement ne bouge presque pas Maniette a bien travailler. Je respire un grand coup puis, je fais signe à ma mère de prendre place dans l’un des petits canapés. Je m’assois en face d’elle et d’une voix grave, je lui dis: » Voici le contenu de ce document , je vois bien qu’il fait office de document officiel au vu de la signature.

    Ma mère serres ses mains. Elle s’énerve vraiment.
    _Cher Vladismas Diamon de Neurval, je vous informe que le porteur de ce document , sera accepté ou qu’il désire aller au vu de service rendu à l’état
    Qu’il se présente de lui-même ce jour à l’heure ou ceux qui sont choisis entreront dans le prestigieux établissement. Tout lui sera fourni mais, qu’il prévoit ce qui lui est nécessaire pour son propre bien être ou plaisir.

    Je me porte garant de lui et lui offre ma protection. Il sera soumis aux tests et suivant ses aptitudes, sera dirigé vers l’enseignement digne de lui complaire. Il sera admis en ce jour avec 15 autres jeunes nobles. J’espère, qu’il fera parti des vainqueurs. Je vous sais parti pour ce voyage d’ou l’on ne revient pas…mais, ma dette ne sera jamais réglé .Tant que vivra un Neurval…la parole accordé restera en vigueur. Bien à vous par le biais de votre petit fils.

    Je fis voir à ma mère la signature au bas du document. elle frémit puis se levant, elle me fit signe de la suivre. Je compris. Quant elle prit la direction Ouest. La tour Ouest était la partie réservé à mon grand-père. je n’aimais pas la tournure que cela prenait, ma mère, ne souriait jamais du moins pas à moi et cela, depuis ma naissance.

    c’est mon grand-père qui m’a prit sous son aile, m’apprenant presque tous ce que je sais aujourd’hui. les meilleurs tactiques de guerre, je les connais, la façon de faire parler un ennemi, cela aussi je le connais. La géométrie, les sciences, les astres, les calculs savants, lire le grec, le latin,même certains hiéroglyphes.
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    Je parle l’Anglais, bon je suis rouillé mais cela, ne s’oublie pas vraiment n’est ce pas? les langues brutes et autres petites choses à tenir au secret. mon grand-père m’apprit même à être un parfait sournois, sans principes moraux mais toujours avenant, serviable, sachant même se faire désiré.

    A neuf ans, lors d’une grande réception au château, je fus presque enlevé par une haute Duchesse qui, m’avait aimé dès le premier regard. Comme elle ne pouvait avoir d’enfant et voyant son époux je pus comprendre pourquoi…Elle jeta donc son dévolu sur moi. je fus sauvé de justesse. Ma tante Valentina compris que la haute Duchesse me voulait alors…elle fit en sorte d’alerté mon grand-père( pas d’esclandre en cette soirée ou des petits complots voyaient le jour)

    Mon grand-père donc réagit de façon sublime. Il l’enveloppa de ses bras et la fit tournoyé , tournoyé jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Je fus ramené à ma mère qui, demanda sitôt à ma tante Maniette d’aller me couché moi qui voulait lui conté mon histoire. Je fut rudoyé vertement et c’est là je crois…que je compris réellement que ma mère ne m’aimait pas .

    Le choc fut terrible.
    Un peu plus tard, mon grand-père m’admit dans ses appartements là encore, je compris que ma mère ne voulait plus s’occupé de moi. Prise entre les réceptions et invitations divers,je devais la géné.
    Son esprit ne me donnait aucune place dans sa vie. Mon grand-père devint mon percepteur,mon guide,mon père, ma mère,mon enseignant. Il m’apprit toutes les ficelles possible afin que ma vie soit aussi riche que possible.

    J’étais de ce fait, un maître dans l’art des intrigues, l’art de la guerre, la stratégie,la finesse d’esprit face à des gens obtus, mon adresse dans les lettres, les arts et les armes…tout,il m’apprit tout. Je ne voyais jamais ma mère(,quant à mon père présumé! ) la toute dernière fois, fut celle ou elle m’invita à prendre un objet ayant appartenu à mon grand-père et là, devant les portes de ses appartements…je sentis mon coeur bondir dans ma poitrine.


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