• Eïnann La Perle des Sables du Désert de Eïltr.

    _ Petit!
    _ Oui Messire.
    _ Tu n’as pas oublié quelque chose , dis moi?
    _ Non Messire, non…j’avais tout préparé mais…et d’un doigt tremblant, il me montre la pièce haute.
    _ Bien, je prends le prochain tour petit et j’espère que mon cheval n’est pas passer le dernier car, là petit…tu auras affaire à moi c’est clair!



    _ Oui Messire. Je voudrais pas vous mettre en colère me dit’il tout doucement … mais …faut pas passer après  » Morve, Gros tas de Merde ». Je ris et l’enfant qui doit avoir quoi… dix ans à peine, ose une crispation de sa bouche qui peut s’apparenter à un sourire.
    _ Pourquoi ça petit?
    _ Il chie, il pisse, il glaire, il pu…
    _ d’accord, d’accord petit je crois comprendre.



    L’enfant secoue sa tête et sa tignasse épaisse suit le mouvement et, j’ai un doute…fille-garçon?
    A cet âge là on a bien du mal à le voir.
    _ La pièce haute, le linge, le baquet tout sera pourri après son passage Messire.
    _ Ouais mais moi j’ai besoin de me laver tu sais ça petit!
    _ Oui attendez, j’emmène de l’eau chaude et un petit bac, comme ça vous ferez ça dans votre chambre. Le cheval il est très beau, ses yeux sont doux…il m’a fait un câlin- c’est rare de la part d’un sang pur comme lui Messire- vous l’avez bien dresser et là-dessus, il se sauve et j’attends.



     

    Il doit me montrer ma chambre. Cinq bonnes minutes plus tard-il remonte avec un autre enfant  plus petit qui tient un baquet et il me fait signe de le suivre. Mais avant-il renvoie le petit puis, il ouvre la porte et me fait voir le un  spectacle indigne de ce nom.


    L’homme est grand, gros, gras, flasque… il pète  à tout va et éructe sans façon. Il semble s’adresser à quelqu’un-mais là ou je suis, je ne vois rien. Soudain…il braille-petit! viens là! Il se tourne, fait déborder son cul, s’abaisse un peu et laisse aller ses excréments puis…il se retourne, se tient le gras et pisse allègrement sur le sol en riant à gorge déployé.
     
     


    Je pousse un peu la porte pour lui dire ma façon de penser face à ses sales manières. Ses yeux s’étrécissent. Je regarde et l’odeur me prend à la gorge tant ça pue. Mes yeux se posent sur une enfant et sa peur se lit sur son doux visage. Elle subit le tout sans un cri et-elle de sa famille?



    Soudain…je reconnais le bracelet qu’elle porte au poignet droit et mon sang ne fait qu’un tour. L’enfant me pousse avec violence et je perds un peu l’équilibre. Je me tourne pour le houspillé mais…mes mots me restent dans la gorge.
    L’enfant est cloué à la porte…une dague noire au manche à la forme d’un crâne planté dans sa petite gorge. Le peu de vie qui lui reste, se reflète dans ses yeux et ceux-ci me montre l’immonde sortant si doucement du baquet que sans cet avertissement, je l’aurai vu que trop tard.



    Ma lame siffle, le frappe entre les deux yeux, la deuxième trouve son coeur et le fait éclater. Ma troisième, le frappe plus bas…là ou l’homme pisse-il s’effondre sans un mot. Je ferme les yeux du petit et je me tourne vers l’autre enfant. Elle n’a rien dit…elle reste prostrée-incapable de crier?



     

    Trop peur? Non c’est autre chose mais quoi! Je ne cherche pas, je prends mes lames, les essuies sur le drap, je reverse le baquet sur l’énorme et j’appuie sa tête flasque sur ses propres immondices. ça, c’est pour le petit…puis parlant doucement, je dis: » petite,viens, grimpe sur mon dos, il nous faut fuir. Ici, bientôt ce sera l’enfer. Je regarde le petit-je ne peux plus rien pour lui et mon coeur se serre. Soudain-un corps se blottit contre le mien non pas au-dessus de mon manteau mais…en -dessous. 



    Elle me dit: » Ainsi, ils ne verront pas que tu emportes un autre enfant et…je suis bien là ou je suis Chevalier.
    _ Petite! Tu ne peux rester là voyons…j’ai fait un très long voyage, je devais prendre un bain ou me laver…chose que je n’ai pas faite. Mon corps porte sur lui la poussière, les odeurs des feux et, sa propre odeur qui est ma fois très forte je le sais…je la sent … même mon cheval à du mal à la supporter pour te dire… alors  …reste en-dessus du manteau …personne ne te verra je te le promet petite.
    _ Non Chevalier des Sables, je reste là. Laisse-moi,j’ai si sommeil.
    Que vas-tu dire à ceux qui sont en bas?




    _ Ah! Écoutes  bien petite-écoutes bien et dévalant les escaliers en hurlant telle une furie, je crie…c’est horrible, c’est horrible…l’enfant…il a tuer l’enfant, c’est le monstre qui a fait ça avec sa lame…c’est lui.  Le monstre, gros,gras, affreux le puant    …Je hurle encore quand deux mains puissantes me saisissent par les épaules …l’homme semble très en colère: » Que dis-tu femme, que viens-tu de dire là?



    _ Le monstre, le monstre,il a tuer le petit,il l’a cloué sur la porte parce qu’il ne venait pas assez vite,le petit est mort.  Et un homme fort, noir comme la nuit la plus sombre a tuer le gros puant avec ses lames et sanglotant de nouveau, je répètes…il a tuer le petit. Personne ne fait plus attention à moi et, je me faufile dehors.

     



    Des cris, des hurlements, une petite frimousse baignée de larme me tient et me tend les guides de  » Tonnerre ». Merci Messire pour ma soeur, elle était si douce avec moi, elle ne devait pas mourir comme ça. Merci Messire,pour ma soeur et ses sanglots devinrent plus fort alors…l me baissant, je l’entoure de mes bras et je lui glisse un éau d’argent dans sa toute petite main. Tu feras ce qu’il faut pour ta soeur mon tout petit puis, deviens un homme fort-grandis et rejoints moi.
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    Grandis petit et rejoins moi, un jour je sais que tu me trouveras. Je lui donne une pièce de métal, gardes la pour toi, dès que tu me trouveras montre moi cette pièce. Toi, ou ton fils et je saurais qui tu es, il tremble mais fier soudain, relève la tête et me toise de ses yeux larmoyant d’or et de brun qu’ils sont un bon présage pour lui._ Oui Messire…je le ferais » puis il s’enfuit en hurlant… »



    l’homme noir, l’homme noir, il a prit un grand cheval gris, il est parti vers le château du Duc de Lamberq. Le monstre père, le monstre. Je monte sur Tonnerre et je parts lentement. Il ne faut pas faire de bruit. La petite est toujours blottie contre mon dos.
    _ Tu vas bien petite déesse?
    _ Oui Messire Chevalier je vais bien. Je vais dormir, tu es un changeur?_ Non…pas vraiment, mais je peux prendre pour un très court instant l’apparence que je veux…ce qui me permet bien souvent de me tirer de ce genre d’affaire. Un léger ronflement me répondit. Souriant bêtement, je dis à Tonnerre: » nous voila avec charge d’âme mon petit, notre route sera longue.



    Tonnerre crisse des dents signe qu’il comprend et qu’il est d’accord avec moi. Mon bon cheval, que ferais-je sans toi! Après trois bonnes heures de marche, je descends de Tonnerre. Une double charge même pour lui reste fatigante. Je l’emmène vers le grand torrent et là, il boit jusqu’à plus soif. Je remplis mes gourdes, je pêche, je façonne un petit feu …un qui ne se voit presque pas de loin et je mets les poissons à cuire.



    Je reviens vers Tonnerre, j’ôte la selle, les couvertures…il a transpiré le pauvre. Je lui donne sa ration de grains et je le brosse avec vigueur. Il aime ça. J’oublis ma charge-mes mouvements active ma transpiration…tant pis je verrais cela plus tard. Soudain…elle glisse le long de mon dos et éclate de rire devant le regard de Tonnerre qui vexé tourne la tête.


     

     

    Je fais les gros yeux à l’enfant et  pince sans rire je dis: » Tonnerre voila l’enfant qui va nous accompagné quelques temps. Pour être honnête Tonnerre, nous devons la ramener au temple de la Haute Vallée de Sable. Tonnerre regarde l’enfant qui  à son tour semble plus qu’étonné et Tonnerre hennit doucement. Une sorte de rire en somme._ Tu sais?_ Oui, bien sûr que je sais…



    Perle du Désert, personne ne doit savoir que tu voyage avec nous. Nous ne sommes pas assez nombreux pour ta sécurité mais…nous ferons tout pour te protéger c’est promis._ Tu es un drôle d’homme, homme des sables, tu es le premier qui cherche à me protégeait pourquoi? Mon regard devint froid et mon visage se figea. Je parle sans vraiment être moi-même: »




    Notre enfant doit nous a été voler, notre déesse à subie l’outrage de mains profanatrices . Elle doit nous  être rendue…sinon la Grande Plaie du Désert va s’abattre sur le Monde des hommes semi-libre. La Perle du Désert doit revenir au Temple avant la grande fusion du soleil ,de la lune, de la terre. Hommes du Désert, j’en appel à votre courage à votre force. La Perle du Désert doit revenir ».



    _ Oh, je voie, tu fais parti de ces êtres du semi-monde?
    _ Les êtres du semi-monde? Non je je ne crois pas, mes parents étaient forts et ils vivaient près du premier Grand Temple avant qu’il ne s’effondre. Ils sont morts de la peste du désert…j’ai réussi à survivre grâce à un gros chien des sables.
    _ Ou est ce gros chien des sables?
    _ Il est mort il y a cinq ans de ça. Un ours des glaces l’a emprisonner dans ses pattes, le temps que j’arrive…il était trop tard.



    J’ai trouvé Tonnerre gisant dans une mare de sang, l’ours voulait voulait le dévorer c’est pour ça que Flasia l’a défendue. Ma pauvre Flasia, elle a juste oubliée qu’elle était très âgée. J’ai tué l’ours, j’ai gardé sa peau et Flasia dort dedans à l’abri du froid. J’ai soigné Tonnerre et il est rester avec moi, voila! _ Pourquoi Tonnerre? _ Hum des questions, bon…Tonnerre parce qu’il raclait de ses sabots sur la glace et cela faisait avec la voûte qu’il avait au-dessus de sa tête,un bruit de tonnerre, c’est tout…c’est ce nom là qui m’est venu à l’esprit._ Et toi, tu t’appelles comment? _



    Ah! nous y voila…tu sais tu pouvais posé la question sans passer par toutes les autres. Rosissant, la Perle du Désert me fixa de ses yeux mauve et son petit nez se plissa.
    _ Tu pu homme des sables, ton odeur est âcre. Il fat que tu te lave.
    _ Bien, je vois que le mordant n’est pas loin…mais tu as raison déesse, je sent mauvais, très mauvais même Tonnerre me l’a dit, c’est tout dire et en riant, je dépose les poissons sur une pierre plate afin qu’ils restent chaud. Si tu as faim mange, je vais prendre un bain.Je sorts de mon paquetage une chemise propre, des herbes moussantes et odorantes et d’un bon pas, je vais vers le torrent. Je sais  ou il y a des trous d’eaux assez profond pour un bain. Bon…elle va être glacer.

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    En effet l’eau est glacée nous sommes , à l’entrée des Roches Froides…tans pis, il le faut mon odeur me soulève  presque le coeur. J’ôte mes vêtements, je garde mon long pantalon…celui que je porte sous mon pantalon de monte en cas ou la petite viendrais voir…et, j’entre dans l’eau.


    Son contact est glaciale, mes membres protestent contre cette agression douloureuse alors…je respire lentement et, je chauffe un peu cette eau trop froide. Satisfait de cette petite chaleur, je me lave avec vigueur. Tout y passe, cheveux, corps deux fois et je mets sous mes aisselles un peu d’herbes sèche du désert…celle qui sent la menthe poivrée. Un bruit un peu bizarre me surprend, me levant je fixe l’horizon.


    Des nuages aussi gros que ceux des orages de sable semblent s’avancer rapidement vers nous. Tonnerre frémit et je comprends, je sort rapidement de l’eau. Je prends tout ce qui traîne par terre.  J’efface avec des herbes mes traces et lentement je reviens au campement. La Perle du Désert est debout, ses yeux sont     hagards, elle tremble. J’ôte les poissons , les emballent dans le reste des herbes.



    Je les mets dans les fontes. Tonnerre s’approche, je lui met sa couverture, la selle. Je mets les couvertures et je tends la main à la petite qui…ne bouge pas. Je mets mon manteau. Elle se glisse alors dans mon dos avec un frisson glacé. Je la sent qui se blotti tout contre moi. Elle est si froide. Qui lui fait peur ainsi? Je monte sur Tonnerre et  nous fixons le nuage sombre qui avance trop rapidement.


    Nous ne pouvons fuir. J’entends la petite qui grelottant me murmure: » que vas tu faire chevalier? » Je lui explique mon plan elle le trouve étonnant mais, pas réalisable  du moins pour elle. Pour moi, c’est un jeu d’enfant. Je murmure à Tonnerre dans la langue du désert » la bulle Tonnerre, la bulle, en haut, en bas, de chaque côtés, la bulle Tonnerre. Plus aucun bruit Tonnerre, la bulle ». Puis, nous attendons. Les Hommes sombre du Nord du Désert sanglant passent mais…l’un d’entre eux s’arrête.



    Il renifle, il goûte l’air avec sa langue fourchue, il tourne autour de nous, scrute le sol à la recherche de traces, de nos traces? Heureusement, dans la fougue qui est là leur, les cavaliers ont effacés nos propres traces du moins…celles qui auraient pu nous trahir. Pourtant, il reste là et les autres reviennent piétinant encore les traces de Tonnerre.


    Les hommes se mettent à rire et regardent autour d’eux à la recherche d’une proie…les rochers peuvent cachés des lapins des neiges ou des renards sanglant…une belle prise pour ceux qui y arrivent. Mais…l’homme ne semble pas satisfait. Sans un mot, il donne des ordres précis et le ballet commence. Petit à petit, l’étau se resserre autour de nous. Qu’importe…je sais ou passer l’eau grondante du torrent. Alors…doucement, je fais avancer Tonnerre vers le lit du torrent.  » La bulle Tonnerre, la bulle, en dessous -au dessus -sur tous les côtés et Tonnerre écoute ma voix.



    Il ne bronche pas,Il ne 
    renâcle pas… il ne flatule pas, ne chasse pas de sa queue puissante les insectes carnivores qui, nous dévorent en nous piquant, nous mordant allègrement. La Déesse est à l’abri, elle ne craint rien, elle dort doucement serrée contre mon dos qui sent…la menthe poivrée. Idiot que je suis…les feuilles sèches devaient encore avoir un bon pouvoir odorant, stupide je n’ai pas envisager une seule minute que cela se produirait…comme quoi, il faut  toujours se maintenir en état d’alerte. Voila pourquoi ,  le Limier Noir…car s’en est un, c’est arrêter… c’est  à cause de l’odeur de menthe poivrée. Je sais ce que je dois faire et vite.




    J’emmène Tonnerre encore plus près de la rive et là…un parterre de menthe poivrée s’étale presque à perte de vue. Presque sauver…il faut un peu de vent pour que les fleurs de la menthe…ce qui en reste…diffuse leur parfum entêtant.Hourra! le vent se lève un peu comme s’il m’avait entendu. Tonnerre semble heureux et je crois bien que je le suis aussi.



    Pour l’instant du moins…car…l’un des cavalier de la rive et hume l’odeur poivré. Il jacasse-éh je prends un peu de cette menthe! J’en mettrais dans mon manteau, ça sentira meilleur…j’ai pas le temps pour un bain chef? _ Dégage de là Herlaz…je veux sentir ce parfum…tu as tout piétiner avec ta grosse bête. Le cheval de Herlaz gronde sourdement et cela hérisse mes poils. Tonnerre ne bronche pas.

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    Tonnerre ne bronche pas. Quel est donc cette espèce? I
    l se tourne vers moi, un peu comme s’il avait senti mon odeur ou perçu ma pensée.Oui!


    C’est ça…il a perçu ma pensée.Alors…je tente le coup: » Noble cheval des temps anciens, toi qui revient des rives de  Leldonkire, toi qui a combattu pour de nobles causes…écoutes ma voix. Prêtes moi ta sagesse, ton honneur, je protège celle pour qui un jour, de l’autre temps tu aurais chevauché avec le vaillant Commandant et de ta noblesse, tu aurais protégé de ta vie, la vie de l’enfant. Elle est précieuse noble coursier, elle porte en elle l’espoir pour tous. Nous protégeras tu noble animal?



    J’attendis puis, un puissant hennissement me répondit.


    Cela me glaça le sang et la Perle du Désert s’éveilla alors…elle murmura: » Strentis! Strentis c’est toi? Le cheval sauvage frappa trois fois le sol avec l’un de ses sabots mettant tous les autres chevaux au garde à vous prêt à entendre l’ordre du Commandant et l’ordre fusa telle  une épée tranchante. Tous les chevaux partirent au galop entraînant avec eux des hommes qui ne saisissaient pas la menace. Le seul à se débattre avec rage contre son cheval fut le limier.



    Il tenait fermement la bride mais, l’étalon sauvage mordit fortement et j’entendis un « crac ». Il venait de briser son mors. L’homme se cramponna à la longue crinière en poussant de forts jurons et en menaçant celui ou celle qui était parvenu à faire échouer son plan. Il beugla longtemps mais, je n’en tint pas compte…j’avais autre chose à faire. Je conduisis Tonnerre là ou l’eau n’était pas profonde  et nous allions quitter la berge  quand Tonnerre émit un cri plaintif.


    L’eau était glacée, j’avais oublié cela …je lui demandais alors de faire vite afin que je puisse l’aider. L’idée que Tonnerre soit prit de crampes m’horrifia. Pourtant, je savais que cela pouvait arrivé. Pauvre Tonnerre, il traversa le plus vite possible et je bondis. J’attrapais la couverture et je séchais les antérieurs et les postérieurs de mon ami en y mettant autant de chaleur que possible. Au bout d’un moment, il ne trembla plus mais…je savais que je ne pouvais le monter alors; j’éveillais la petite en lui expliquant ce qui venait de se passer. Elle se contorsionna sous mon manteau puis, elle sembla prendre sa décision.: » Chevalier dont je ne connais pas le nom!




    _ Ah!!! Oui mon nom…Eïnann._ Oui j’aurai du le deviner marmonna t’elle. Eïnann du Désert Homme des Sables, je ne vois qu’une seule solution afin que nous allions plus vite. Je vais me souder à toi, es tu d’accord Eïnann?
    _ Te souder à moi enfant?Comment cela?
    _ Donnes moi d’abord ton accord ou pas Eïnann, je ne peux rien faire, ni expliquer si je n’ai pas ta permission! Alors fier chevalier du désert, acceptes tu? Eh bien…ne sachant ce que veut dire cette prosition, je vais te faire confiance…comme tu m’as fais confiance. Je suis avec toi Déesse des sables.
    y-l. à suivre.


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