• Essai.Insupportable Trahison.

    Insupportable Trahison.

    Cela fait bientôt six ans que je te supporte.Au début, tu ne devais rester que quelques semaines qui malheureusement , ont durées deux années. Puis tu as rencontré Ondine Delpote et vôtre relation s’est si bien passé que vous,vous êtes décider à tenter le ménage à deux…ce qui je te le dis,m’a fort réjouis et là…tu reviens parce que?

    Tu ne t’ entend plus avec elle! Non mais je rêve! Il est hors de question que tu t’installe chez moi de nouveau. Avant que tu ne m’embobine l’esprit par tes excuses à deux balle…sache que Ondine m’a appelé. Elle ne comprend pas . Alors…tu y retourne et vous vous expliquez. Moi, je ne joue pas l’arbitre, c’est clair pour toi Mathias?

    Je n’ai jamais aimé cet homme froid au regard avide. Je l’ai rencontré un soir ou mélancolique, j’avais atterrie au Spectacle des frères Taloche. Le rire serait me disais je un bon moyen d’oublier l’abruti qui venait de me largué sans explication autre que…tu me donne pas assez de ta personne…
    , En gros, je couche pas donc, je suis pas bonne. Pauvre con va! Ma soirée fut un régal. J’ai tant et tant ri que mon voisin de devant s’est retourné plus d’une fois vers moi Le sourire aux lèvres.

    Après le spectacle,
    il s’est empressé de me rejoindre. J’étais encore sous le charme et le rire de ce fabuleux spectacle. Les yeux rieur, il me proposez de boire un verre afin dit’ il de se remémorer les meilleurs moments dudit spectacle. Après tout,il faisait encore jour, à coulé était encore danse…donc j’acceptais l’offre.

    La soirée s'éternise car, nous étions complice sur beaucoup de point. Il est vrai que cela me fit un bien fou. Puis, lui, il arriva. Il s'immisça entre nous. Avec aplomb il mit son bras sur mes épaules. Cela me dérangea aussitôt et d’un geste brusque je le lui fit comprendre. Il ricane bêtement disant…et bien tu n’es pas commode toi, c’est pas gagné tu vas apprendre à me connaître comme toutes les autres.

    Bah ça va toi, tu te prends pas pour de la Merde! Je ne veux pas te connaître, j’aime pas les cons…J’ai eu ma dose. Il chercha à m’attraper riant et blaguant genre…oh la meuf qui se la pète…. Seulement j’étais en colère et c’est mon verre qu’il reçu en pleine face.

    -T’es déranger toi beugla t’il!
    Pas plus que toi qui te crois irrésistible. Tu devrais de temps en temps te regarder et te voir comme moi Je te vois…
    -Sale conne.
    -Autant pour toi vieux.
    La dessus je regarde celui qui m’a si gentiment invité mais qui n’a pas dit quoi que ce soit face à l’abruti de service et je lui dit…Si un jour tu penses avoir assez de coronesse pour virer ce débile…je serais heureuse de renouvelé.
    Et sans plus, je me dirige d’un bon pas vers le métro. Je suis furax. De plus je ne connais même pas son nom.

    Des pas rapides. Je me retourne, des yeux rieur, des lèvres qui expriment tant de choses que mon coeur bat comme un fou dans ma poitrine.
    Attende…donnes moi ton numéro de tel tu veux bien?
    -Ben si u me connais ton nom déjà?
    -Oups…Vladimir Braw et l’autre idiot c’est Mathias Raver un cousin.

    Numéro échangés, rendez-vous repris pour plus tard. De fil en aiguilles, ont s’est revu …et on à fini par comprendre qu’on s’ aimait vraiment.
    Il devait rentrer chez lui. Moi, je devais poursuivre mon cursus.

    Deux ans plus tard, j’avais vint trois ans et je faisais un périple avec deux amis. On s’est arrêter dans une petite auberge et là…


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