• L'Invitation était sans équivoque...

     » rejoignez notre bacchanale à pied et déguisés en arbre! »
    Invitation:

    Ser Henri Lestrew 3 e du nom.

     » Cher ami, vous êtes cordialement invité en notre humble demeure, afin de profiter avec nous d’un amusement sans conséquence; Sis au Château de Laubrebourg,
    Saint-Quentin -du- Padellac. »
    suivi d’un

    ps:
    « Vos amis sont nos amis. Venez nombreux, buffet froid, boisson offerte. une clause significative cependant… » venez déguiser en arbre. La porte ne sera ouverte qu’à ceux et celles qui nous honorerons à cette simple condition.

    Votre très dévoué Claude Caledebourg duc de Lambrebourg.120 allée de la Prison Grand-bois, Treille du Sud, Trouée Nord.

    Henri fut fort étonné et appela son  ami. Le répondeur fut son interlocuteur.
    Voici son message
    : » Cher ami, qui que vous soyez, nous vous prions de vous présenter à l’adresse qu’il vous a été transmise par voie de poste En toute sincérité Claude. bip, bip, bip…
    Interloqué Henri rit de bon coeur et amusé au plus haut point, convia ses autres amis à le suivre en cette fin de semaine qui…s’annonçait des plus délirante.Il leur lut  bien entendu la condition. Certains s’en offusquèrent, d’autres furent ravis de l’offre. Henri leur dit ceci …( il leur lut l’invitation dans son entier).

    Ils s’y rendirent, ce n’était vraiment pas une bonne idée. Ils avaient crus que cette idée serait originale. Ils pensaient que l’arbre symbole de vie, de longévité avait sur ceux qui animeraient cette surprenante fête  en avaient une réelle fascination eh bien non. L’endroit était glauque à souhait.

     

    Oh! il y avait bien quelques silencieux déguisés en arbre, mais, quelques malins c’étaient crus drôles en venant en habits de bûcherons. La blague n’était pas des plus apprécier. Il fut incroyable à certains qu’on les laissa entrer.
    Puis, les invités arrivèrent en masse compact à croire qu’il venait d’y avoir un lâché de cèdres, de hêtres, de bouleau,   de Châtaigner , de Marronnier,de Cyprès, de Mélèze et d’autres encore.

    Il y eut quelques petits feuillus tel que…des noisetiers, des houes, et l’un des chênes eut l’idée éblouissante de venir avec une vieille chouette perchée sur sa grosse branche. Il eut du succès car…la chouette était des plus vivante et ses  hou ou,hou étaient fort apprécier. Ce qui était drôle, c’était de voir ces arbres ou déguisements  avec des jupes froufroutantes, des pantalons de smokings et pour certains…des kilts. Ceux qui fumaient été envahit d’un panache soit gris, soit blanc….des arbres en feu!
    Le dirigeant amena soudainement la discussion et tous entendirent  celui-ci y prêtant une grande attention. Il leur expliqua ceci: » Chers amis il m’a été dévoiler cette triste affaire. La  » Chaînerais du sud, » va être abattue et le bois acheminé en Chine pour une entreprise de meuble en bois brute. » Il y eut une explosion de colère générale.

    Les arbres s’entrechoquèrent les uns contre les autres, se mélangeant au mieux et l’on vit des mains qui essayèrent tant bien que mal de sauvegardée l’apparence et la majesté de leur symbole qu’ils ou qu’elles représentaient. Le silence revint soudainement, tous étaient dans l’attente. Une musique entraînante leur parvint, qu’allait-il se passer? Des exclamations, des oh! des ah! et des  ola-la-la retentirent puis…des-  » éh que se passe t-il donc?

    -Dites, allez quoi dites nous ce qu’il se passe! Nous, nous ne voyons rien! Quelques mots furieux puis une haie d’honneur se fit et là…les rires fusèrent. Une dizaine de petits arbres  tous de couleur différentes firent une belle devant les yeux exorbités de la foule adulte. Ils se mirent à chantonnés une comptine, c’était si adorable que la colère quitta le coeur des hommes et des femmes qui symbolisaient la forêt dans son ensemble.

    Les touts petits représentaient alors le renouveau leur expliqua l’orateur, bien que cruelle, la chaînerais devait disparaître…mais, son coeur ne mourait pas car, d’autres plus jeune, plus vigoureux reprendraient le flambeaux et chaque jour durant; celle-ci serait de plus en plus forte. Les petits s’en furent en riant et la soirée pu vraiment commencer. Le vin, le champagne, les alcools doux coulèrent à flots ce qui noya le chagrin de certains.

     

     

    On rit, on parla beaucoup, on se chamailla et on oublia la belle chaînerais. Un journaliste qui s’était glisser dans la file des hommes arbres, relata ce fait dans un entrefilet de son journal. L’intrigue fit tant de bruit que ceux qui y participèrent se tinrent pour quelques temps en dehors de tout rendez-vous masqué ,
    de peur de finir par faire la risée de toute une population friande de ces ragots de bas étages alors qu’ils voulaient œuvrer pour le bien de la planète!  » - »Sûr « comme le dit ce fabuleux journaliste qui lui-même, se cacha doublement… » je considère que l’homme peut œuvrer au bien de tous sans pour autant se masqué, l’argent qui circula ce soir-là, a t-il besoin d’être caché? »

    Un autre journal fit écho à cette cabale sous le titre: » Des enfants qui jouent à l’arbre, sont-ils digne d’être écoutés? » Il ne faut pas oublier que derrière ce carnaval masqué, se cache des banquiers, des courtiers, des hommes et des femmes qui tiennent commerce et qui ont bien souvent la dent dure!

    Quand vous rendrez visite à votre banquier, à votre avocat, à l’homme de loi ou à votre médecin, posez-vous la question suivante… »Se déguise t’il pour une quelconque  bacchanale? Mets-il un masque et se fiche t’il de moi? »

    Quelques jours plus tard, il y eu un défilé et l’une des chaîne télévisé relata le fait, ce qui cloua le bec de ceux qui avaient espérés créé une forme de cabale.Il ne faut pas oublié que…

     
     » l’homme qui joue, garde dans son coeur son âme d’enfant. »
    A bon entendeur …Salut.
    y-l.
    Une idée de P.Perat.


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