• Lucy "d'Air" La chute des Anges.

    Un
    Lucy »d’air est une jeune fille très singulière
    elle a pour Père un être du néant.
    Aussi beau que puisse être ce géant des premiers âges,
    possédant la puissance et l’avantage sur des êtres


    peu méfiants et ayant abusé allègrement de son statut d’ange,
    ayant droit d’aller ou bon lui semble et de faire ,
    faire aux plus petits ses sales besognes et cela sans vergogne;


    il n’eut pourtant pas à subir comme certains anges la  déclassification.Il garda toute sa puissance,

    perdant juste le droit immense de se présenter devant son Père.
    Jalousant alors son frère pour le droit que lui …vient par sa faute de perdre.
    Sa haine devient alors brûlante et il l’a poussa à son plus haut niveau.
    *****
     
    Au premier temps.

    Les Anges se promenaient partout en ayant certes une mission à accomplir, mais, leur temps était doux et leur Père aimait tout ses enfants d’un même amour.


    Pourtant, l’un deux se trouva de par sa splendeur recherchait l’attention de son  Père, voulant de ce fait écarter tous ses frères et il y parvint presque, mais…
     

    Les Anges donc pouvaient aller et venir ,se promenant sur la terre et effectuant toutes les missions ordonnés par leur Père. Ils savaient que rien ne devait changer,

    les hommes évoluaient à leur rythme et ceux qui avaient sur eux l’oeil du Père se voyait non pas bénéficier d’atout en plus, non, juste une part de responsabilité plus grande que les autres.
    *****

     
    L’Ange qui commençait à voir d’un autre oeil ces petits humains, se dit que : »  D’un ils pourraient servir d’appâts et que deux, par eux il parviendrait à ses fin.
     
    Cela se fit, du moins un peu, que ceux qui se souviennent de l’histoire, ceux qui gardent certain livre et autres grimoires  ne se formalise pas du fait que : » je travestisse un peu cette histoire ».
    Bref, revenons à notre récit.

     
    Cela se passait il y a si longtemps, qu’à part  des érudits, certains livres et grimoires, peu d’hommes connaissent encore cette douloureuse histoire.
    Le mélange des êtres contribua plus tard à ce que nomme la grande histoire,  » La Chute Des Anges ». Le chaos .
     le Père chassa de son royaume les dissidents, bannissant tous ce beau monde à l’entre deux ciel.
     
    *****
    Deux
    Ainsi, ces Anges déchus et leur chef ne pouvaient plus nuire au reste du royaume , ni à la race pure des Anges.La plus grande famille qui soit, se trouva protégée des sombres dessins du  sacrilège.


    Lucy »d’air connaissait cette grande épopée à en avoir la nausée. Quand son père venait lui rendre visite, ces derniers temps, il prenait un singulier plaisir à venir sans même le lui dire.
     

    Combien de fois fut-elle surprise dans son intimité. Et de le voir bien installé dans son petit deux pièces cuisine , l’air de rien, l’agaçait prodigieusement.


    Il semblait attendre avec patience son retour lorsqu’elle s’absentait et il dardait sur elle son étrange et pénétrant regard.

    Fixant ses vêtements et son maquillage, mais se gardant bien sûr d’émettre un simple commentaire. Lucy »d’air détestait cette manie qu’il avait prise et cela la rendait plus furieuse encore.
     
     
    *****

    Quand avec nonchalance il lui demandait de sa voix puissante et pourtant douce
    : « dis moi ma fille, tu étais absente hier, pourtant la réunion était importante…puisqu’elle était axée sur ta vie.



    N’as tu vue aucun de mes lieutenant?
    Dis moi…aucuns ne te plaît?
    J’avais pourtant cru que Vigorze te plaisait plus que les autres!



    Vos ressemblance en matière de jeux, de façon de vivre loin des autres, vos envies communes de décider de vos propres choix,
    d’aller et venir sans en avertir qui que ce soit, de ne pas répondre aux invitations plus que pressente de votre dieu… 
    tout cela me fit croire que… tu éprouvais pour lui un noble sentiment .( Et là, il se mit à rire, un son si étrange qu’il valait mieux ne pas l’entendre et Lucy »d’air se renfrogna).
    Si je peux m’exprimer ainsi. » 
    _ Tu veux et tu peux rire Père. Un noble sentiment de ma part et de sa part à lui!
    D’où te viens cette manie de venir me voir sans mon accord?



    De vouloir depuis quelques décennies régentait ma vie?Depuis quand aspires tu à ce que je sois présente à tes côtés? 
    Je ne t’ai rien demander et je veux que ma vie continue telle qu’elle est à présent. 
     
     
    *****
     
    Trois 

     

    J’ai beaucoup travailler pour y arriver et tes visites presque constantes commencent à me nuire. Ils ne te voient pas, mais, sache que ta présence augmente drôlement les crises de folies de certains. Ils te sentent, perçoivent ton aura et la criminalité augmente d’autant plus, ne soit pas heureux Père!

    Je veux rester sur Terre.

    Ne vient plus dicté ma conduite et encore moins te mêler de ma vie sentimentale. Je suis assez grande pour mener ma barque et oui… Vigorze me plait énormément.


    Mais depuis quelques années, il semble se détacher de moi.Je le laisse faire, sachant que tu te trouves derrière tout ça.
    Mais, crois moi Père, cela ne te rapprochera pas de moi…au contraire, plus tu contrarie ma vie- plus je te haï et n’ai aucune envie de te complaire. N’as tu pas un fils à éduquer? 
    ___
     
    Un complot. 
     
     
    _ Oh! Ton frère se porte à merveille et il semble plus que prometteur. A mes yeux de Père ( ne ri pas ma fille) il reste le lien qui pourra vous permettre de travailler avec moi en symbiose, j’en ai besoin ma fille.Oui Lucy, j’ai un grand besoin de ton aide et sache que celui que tu aimes reste sous mes ordres et qu’en ce moment il surveille étroitement ton frère.
     
     
    *****
    _ Ah je comprends mieux à présent. Vas tu me dire ce qu’il y a de si urgent pour que tu rabaisses l’un de tes meilleurs lieutenant?
    _ Je ne le rabaisse en rien.
    _ Non! Crois tu que Vigorze aime jouer à la nounou?

    _ Cela suffit ma fille! Le ton était froid, il vient de reprendre en quelques secondes ce qu’il avait laissé entrevoir à Lucy »d’air, un peu de chaleur.



    Il  cache quelque chose et c’est pour cela que j’ai besoin de toi afin que tu le fasse sortir de ses gonds et qu’il te laisse entrevoir ce qu’il mijote. Non Lucy, aucuns autres de mes lieutenants ne peux faire ce travail, il se méfie de tous et de tout, un vrai serpent glacé.
     

    _ Hum! le re voila celui-là, il y avait longtemps.
    _ Quoi donc Lucy?
    _ Le serpent. Dis moi Père a t’il en lui quelque chose de sa mère?
    _ De sa mère! Et bien… je ne sais ou tu veux en venir, mais là!

    _ S’il a un peu de sa mère, il est alors un presque humain… de ce fait, sa personnalité peu s’avérer difficile à gérer.Moi, je suis cent pour cent pure de ton point de vue, mère était la toute première à te suivre et cela lui a  permis par la suite de me concevoir, la pauvre, si elle avait su! 
    _ Suffit avec cela Fille tonna l’être de glace et de feu.
     
     
     
    ***** 
    Quatre 

     

    J’ai besoin de toi et tu vas m’aider.
    _Ah je me disais aussi, là, je comprends mieux. Tu espère qu’en me titillant comme tu le fais…que , j’en aurai tellement mare de ta présence que je ferais n’importe quoi-pour qu’enfin tu me débarrasse de ta présence.



    Et moi…idiote, qui croyez que tu appréciais ces moments de calme et que ma présence te faisait du bien.
    Qu’enfin tu intéresse à moi, à ma vie, pauvre imbécile.



    Depuis le temps…j’aurai du me dire et me souvenir que ce n’est pas possible.Je me doutais qu’il y avait quelque chose, mais, comme tu ne me disais rien et hargrrr. J’ai envie de te détruire père. Si tu savais…j’ai la rage, la haine au coeur.



    _  » je sais ma fille, je sais. Je sens cette haine qui gronde en toi et cela me ravie…tu le sais, colère, haine, destruction me font frémir de joie,plus tu seras en colère, plus ta haine sera intense,plus ce sera facile pour moi car alors…tu te rapproches de moi. »

    *****
     

    J’ai oubliée ce détail,
    _Bon reste que ta colère me perturbe, j’ai besoin de ton calme-pas de ta colère; alors tu prends le temps de respirer, tu comptes trois ou plus-tu inspire-expire-inspire…

    _ Père!
    _ Oh oh oh, ok ma fille ok, tiens écoutes: » je t’aime. » cela fut dit d’un ton si doux avec un sourire si tendre que je faillis me faire avoir, que voulez vous…mon coeur est si tendre.


    Mais ses yeux ne mentent pas eux.ils étaient de glace et un froid mortel couvait en eux. Ils ne flamboient qu’en présence de mon frère et là, la douleur fut atroce même maintenant mon coeur saigne.Cinq

     

     

    _ Penses à ce que je t’ai demandé Lucy, j’attends de toi une aide rapide, ainsi que ta présence à mes côtés.
    _Et si  je te dis non ,Père!
    _ Quoi, que dis tu? tu penses pouvoir me dire non! Sa colère enfla telle une allumette mettant le feu à toutes ses soeurs.
    *****

     

     

    C’est hallucinant, terrifiant et jouissif aussi. Je le connais si bien ce Père qui ne m’a jamais aimé, oui…je le connais et de le savoir à ma merci…me met soudain du baume sur mon  coeur déchiré, meurtri par tant de différence et de haine.
    Suis-je responsable moi du fait que ma mère lui a donné une fille plutôt qu’un fils? Suis-je responsable si cette même mère est morte avant que d’avoir accouchée d’un beau petit garçon ,mort avant que d’être né?

     

    Non! Je dis non, ce n’est pas ma faute,mais la sienne et il le sait. Alors! Pourquoi m’en veut-il tant?
    Oui mon coeur est meurtrie pas ses paroles , ses actes et ses non dit.Je fixe mon regard sur ses prunelles incandescentes, la rougeur de son front, le petit tic nerveux de sa mâchoire et le pincement du nez…il va explosé à tous les coups. 
     
    Et bang l’explosion…violente…tonitruante…étourdissante…fracassante, d’un bond il est  debout. Je sent la chaleur de sa colère, elle irradie et tout ce qui se trouve autour se met à fumé.
     
    Il faut que je le calme, sinon…mon appart va partir en fumé et pas que lui d’ailleurs et j’ai pas envie de tout recommencer au bout de sept explosions on se rend compte qu’à ce petit jeu là…on est perdant donc…
     
    *****
    Je le calme et j’attaque d’un
    _: » c’est bon Père arrête ta frime, pas la peine de tout péter pour un petit non, souviens toi de la dernière fois…ça ta pris combien de temps pour me retrouver? 

    Bon aller on se voit plus tard j’en ai ma claque et bousille pas tout sinon tu ne me reverras pas de sitôt fille ou pas!Je sorts …et c’est ce que je fis sans un regard ou à peine en arrière et sans un mot de plus ( si vous aviez vu sa tête à ce moment là, oui bon, vous n’auriez pas ri,mais c’est si drôle, disons pour moi,hum j’ai adoré, je ne  dois pas recommencé ce petit jeu,mais j’avoue que…) j’ouvris la porte et  je la referme derrière moi… pestant quand même contre ce monstre d’égoïsme qu’est mon père.Six

     

     

    Furieuse je vais  directement voir mon petit frère.


    Encore un que je vais mouché grave, cette petite peste se croit tout permis parce qu’il est l’héritier, je vais t’en donner moi de l’héritier et quand j’en aurai finis avec toi…
    Sans m’annonçais je fonds littéralement sa porte d’entrée, je projette ma hargne contre ses meubles.


    Son home cinéma dernier cri en a  pris cher, d’un pas pressé je vais dans  sa chambre et malgré le bruit, ce naze n’a pas bouger pourquoi? Il est encore raide? Quel daube a-il encore essayer?

    *****


    La porte vole en éclat et telle une tornade folle furieuse, j’entre et me fige. Mon petit frère baigne  par terre dans une mare de sang , il gémit blanc comme un linge. Quoi!  

     

    Ce n’est pas possible, nous sommes invulnérables. Que s’est-il passer?Je m’avance doucement en reniflant, cherchant un  indice olfactif.



    Je n’en trouve pas, je regarde autour de moi …pas de trace, si ce n’est ce que moi je fais. Pas d’effraction personne à part mon frère qui se met à geindre comme un petit humain. Manque plus qu’il appel son Père!

     

    Et sait ce qu’il fait, non mais je rêve là! Puis il me voit, il me tend la main. il lui manque deux doigts. Là, j’appel Père. Il faut qu’il voit ça de ses yeux. Il ne peut entrer chez mon frère car, celui-ci lui a interdit l’accès à son appart. Il n’a jamais voulus me dire ce qu’il a fait pour réussir un coup pareil.

     

     

    C’est pour ça que je lui en veux plus d’autres petits détails qui, mit bout à bout, m’ont  fait voir rouge. Mais là, il faut que Père vienne et je l’invite à entrer. Suspectant quelque chose de pas ordinaire, il reste sur le pas de la porte maugréant à part lui.

     

    ____________
     
     
    Sept
     
     
    Puis, ses yeux se posent sur son fils qui gît à terre. Oui,  je l’ai laissé par terre, il peut crever mais, Père bondit et sa fureur enfle de nouveau

     

    ._ Bon Père je t’ai appelé car là, il y a un problème que je ne comprends pas. Ton fils saigne. Quelqu’un l’a visiblement agressé et violemment. Il a perdu deux doigts à la main gauche et il geint comme s’il a mal! C’est quoi ce cirque Père ? 
     
     
    Il porte son précieux fils dans ses bras. Mon Père me jette un regard brûlant de haine et serrant les dents il sus sure.
    _Tu ne pouvais pas le relever? Lui apporter les premiers soins…non…il faut que tu le laisse à terre comme un chien?

     
    C’est ton frère Lucy, tu dois   l’aider, l’aimer, le surveiller._ Et puis quoi encore? C’est ton enfant, c’est à toi de l’aider, l’aimer, le surveiller comme tu dis…pas à moi sa  demi-soeur. Je ne suis pas sa mère! D’abord ou est-elle cette mère hein!



    Qu’en as tu fais Père?
    La voix de mon Père devint glaciale et l’appart aussi, mais je n’en ai cure, ceci n’est pas de mon fait. J’allais partir quand la force de mon Père me cloua sur place.


    Il vint vers moi et grinçant des dents me dit: » Suis-moi Lucy, ne discute pas mon ordre. » Et nous nous retrouvons chez lui. Vaste salle illuminée par d’innombrables cheminées toutes en fonctions.
     
     
     
     
     
    ________
     
    Des énormes bougies sont elles aussi allumées, des tapis de prix s’étalent soit sur les murs à la pierre si sombre que personne ne peut dire d’ou elles provient sauf mon Père bien sûr…ou encore sur le sol. J’ai remarqué au fils des siècles qu’aucun d’entre eux ne prit jamais…feu. une protection spéciale!



    quoi que… les flammes elles mêmes craignent les colères de mon Père. 
    Une table monumentale, des chaises à haut dossiers de couleur lie de vin et sur celle-ci, un plan complet de la planète. Villes, villages, bourgades, avec leur mer, rivière, lac et étangs… fleuve grands et petits monuments bref, tout y est.
     
     
     
    ****

    Un petit bijou et un jeu grandeur nature pour psychopathe. Un peu plus loin se trouve un trône, immense, recouvert de peaux de bêtes …tout ce que le monde animal recèle de bêtes à poils étaient représenté ici sur ou sous, ou à côté de ce monstrueux trône.Ce qui me déplus souverainement. Par contre, une immense peau d’ours blanc gisait sur une méridienne et sur celle-ci…une femme splendide – qui n’était pas la mère de mon frère.
     
     ****
     
    J’aurais bien emmenée la peau en lui laissant l’autre vieille peau-elle sut aussitôt ce que je pensais, son air débonnaire changea instantanément. Elle se fige et un rictus mauvais l’enlaidit d’une telle façon que même père le lui fait remarquer d’un claquement de langue.
     
    Huit

     

    Elle se lève très lentement nous mettant mon père et moi en dehors de sa sphère vitale et s’approche langoureusement de mon père.Voyant cela, je dis: » bon je te laisse avec ton jouet, pense quand même à soigner ton fils…il continu de se vider de son sang tchao!



    et je disparais en mettant autour de moi autant de protection  que possible, celle que père connait je les évites… 
     
    Le hurlement que j’entends n’est pas dû à un acte charnel non, plutôt à celui d’une bête qu’on écorche vive.



    Cela je l’avoue me fait sourire. je prends quand même le soin de plonger dans une sphère temporelle. J’entraperçois deux monstres de père, ils sont à ma poursuite. Courez, courez, courez gros ballots…vous ne m’aurez pas et sur un rire de hyène je disparais pour me retrouver deviner un peu! En plein dans le mille.

     

    ****

    Un char, un char avec des hommes déguisés en femmes fatales, quelques femmes masculinisés, de la musique à fond, de la couleur, de la brillance, de la lumière.

    Un pâle soleil, des hommes, des femmes,  des enfants, font une fête monstrueuse, dans une grande ville.L’un des éphèbes  habillé de rose pale et maquillé, coiffé, monté sur d’énormes chaussures à talons aiguilles se dandine sur la folle musique. Il me regarde et, il éclate de rire, me montrant sa merveilleuse dentition bien blanche, bien droite.
     
     
    Il émane de lui une force sauvage qui me mets en transe. il approche lentement tout en dardant ses prunelles bleu de mer, de vrai lagon à eux seuls, puis; il me sus sure: » hello ma jolie, je crois que tu t’es trompée de décor…je ne sais d’ou tu sorts, mais ton costume, ton maquillage, bref toute ta foutue personne en jette un max!Moi! c’est Maxime, max pour les intimes et toi?


    Je tourne autour de lui et mes yeux de feu se braquent sur ses lagons et en dardant ma langue que je passe sur mes lèvres, je lui réponds: » Lucy-d’air…
    _Ouaps, pas commun ton nom, mais classe. tu appartiens à quel groupe?
     
    ****
    _  Le feu et toi?
    _C’est l’air. Son rire franc, venu du plus profond de son être, me remue les entrailles. Il enchaîne ( hum j ‘aimerai l’enchaîner,oh ça oui!!!)

    _ Non, je n’ai pas de groupe mais dis moi…. il est ou ton groupe?
     
     
     
    _ En clair, j’en sais rien, mais je veux bien rester avec toi Maxime. Il me fit non de la tête et je sent la colère  qui monte en moi puis, il reprend…


    _Tu le sais Lucy, chaque char , chaque groupe, c’est la règle mais, on peut se voir après la présentation…enfin, si tu es libre à ce moment là? Mon sourire revient instantanément et avec un clin d’oeil, je lui dit : »
     
    Neuf

     

     

    _ Oui, je suis libre…on se retrouve ou?

     
     

    _ Écoutes, mon char s’arrête à la porte est, presque face à Notre-Dame, on peu si tu en as l’opportunité se rejoindre là! Je t’attendrais 10 minutes…mais pas plus, les plans foireux c’est pas pour moi, t’es ok?

    _ Ouais Max, je suis tout à fait ok. Et là-dessus, je disparais, mais j’ai le temps de voir sa tête. Oups! un écart de conduite à éviter. Pauvre Max, il n’est pas près pour cela. 
     

    J’ai hâte …alors je regarde les chars fleuris ou, ornés de poupées vivantes, toutes habillées de couleurs variés et gaies et, je m’aperçois que certaines de ces poupée  ont de très drôles de manières les unes envers les autres. Je fronce le nez et un doute m’assaille…Max serait-il comme ces hommes qui aiment les hommes? 
     

    Le doute me tarabuste alors, sous le  couvert de l’invisible…je me perche sur le haut du char et je regarde Max. Il danse, il rit, il s’amuse, mais aucun geste déplacé de sa part, ni de la part des autres. Tous sur ce char s’amusent comme des fous et pourtant… certains dans la foule ont des regards qui en disent long et, d’autres fixent méchamment le défilés. A surveillé.


     
    Alors, je reste sur le char et je me trémousse au son de la musique, bon c’est pas mon style mais…je pourrais m’y faire. Enfin le char s’arrête devant une espèce de tribune ou hommes et femmes semblent prendre des notes. Des flashes crépites, des ovations puis, le char repart sous les accords fracassant de la musique.
     
    ***** Les uns et les autres se congratulent fier de leurs prestations, des jeunes femmes montent à bord et elles crient leurs joies puis, l’une d’elle s’approche de Max.


    _ Max tu viens avec nous?

    _ Non Camille, ce soir j’i un rendez-vous que je ne veux pas manqué mais, on se verra lundi au bureau et, vous me direz les gars et toi le score qu’on aura fait. A voir la moue déconfite de la jeune personne, je gage qu’elle espérait que Max passerait au moins la soirée avec eux tous.
     
    Les autres se mettent aussitôt sur le mode questions et attendent des réponses mais, Max se met à rire doucement et d’un bond fort plaisant à regarder car…tous les muscles visibles me laisse très rêveuse et la jolie fille aussi.


    Dix

    Je l’entends dire: » encore un mec, je suppose! » et son proche voisin de la saisir vigoureusement par le bras, le regard farouche qu’il pose sur elle me laisse perplexe.


    _ Arrêtes de dire n’importe quoi, c’est pas parce qu’il ne veut pas de toi qu’il est gai. Ne fais pas ta salope avec Max!
    _ De quoi tu te mêle Hect!_ De ce qui me regarde Kat, de ce qui me regarde, on est encore marié ne l’oublie pas. Alors, refréné tes élans et sache que Max ne sera jamais à toi, il te connaît bien trop pour se laisser prendre dans tes filets.



    _ Laisses moi Hect, laisses moi, je veux lui parler, je veux savoir avec qui il va aller se vautrer dans la fange.
    _ Tu ne comprendras jamais Max Kat, non tu ne le comprendras jamais. La dessus la jolie femme se dégagea furieusement des bras d’Hector et fonça pour retrouver Max.


    _ Bien! Tu veux voir fillette! Alors…tu vas voir, attends toi à quelque chose de spectaculaire. Soudain…je sentis l’air autour de moi se mouvoir et me piquait le nez. Je bondis et  disparais pour réapparaître devant l’église…Max était déjà là. Planquait à l’arrière d’un véhicule la jolie femme…Kat… le mangeait des yeux. J’apparue presque devant



    -elle et la fixant…je lui murmure à l’oreille: » Kat, regardes moi, elle me fixa ,ses yeux s’agrandirent et la colère ombra ceux-ci juste un instant puis, un rictus souleva sa lèvre supérieure.

     

    Oh! tu veux la joué comme ça! Bien, devant elle je me changeais jean, polo blanc, petites ballerines noires et pochette assortie, léger maquillage et parfum fleuri. Elle écarquilla les yeux puis, sembla happée l’air autour d’elle
    _ Que… mais…t’es quoi toi!



    _ Moi! ton pire cauchemar si tu essaie seulement de te mesurer à moi. Tu peux me croire fillette, t’es morte. Cela dis si doucement qu’elle hésita juste une seconde avant que de foncer sur moi en glapissant

    _: » Espèce de sorcière de mes deux, si tu crois me faire peur, tu te goures lourdement, tu peux me croire toi aussi…j’en ai maté plus d’une. Ce mec sera à moi, je l’ai bien mérité depuis le temps que je me farcie des pauvres cons, celui-ci lavera toutes les saloperies des autres.



    Alors, c’est pas une midinette à peine dégauchie qui va m’en priver. Ou tu dégages, ou je te troue et crois moi, tu seras pas la première…fois de Camille!

    _ Camille? Pourquoi ils t’appellent tous Kat !

    _ Parce que je le veux, compris petite!

     

    Onze.

     

     La-dessus j’éclate de rire et, je lui montre qui je suis vraiment. Elle chancelle, goulue ment elle happe l’air, les yeux lui sortent de la tête, c’est pas beau à voir. Elle est si blanche…pauvre chose. Je reprends doucement mon aspect  de jeune fille comme il faut et ainsi je lui laisse le temps de bien voir ma métamorphose. Elle n’en rate rien. Elle bave…boue c’est moche. Soudain, elle glisse lourdement, bon pas si lentement que ça non plus, bref, le sol semble l’attiré et, elle ne fais rien pour l’éviter.

    c’est  pas moi qui vais l’aider ça non, faut pas pousser. elle respire ok, je la laisse-là bien à l’abri puis, je file vers mon rendez-vous. Il a dit  cinq minutes voir dix  mais pas plus alors…je fixe ma montre et voila qu’à cause de cette idiote…je suis en retard. Personne autour de moi…zou, je me glisse dans le temps pour apparaître trois secondes avant le temps écoulé. Je le vois de loin l’air de chercher quelqu’un et mon petit coeur s’emballe ( si j’en ai un) alors, je le hèle sans vergogne.

    Il se retourne et oulà son sourire est ravageur. Il se déplace avec une espèce de nonchalance qui met mes sens en éveils. Jeans moulant, polo blanc ( tricheur va), lunette de soleil, gourmette en or, botte de motard…tiens! serait-il du genre moto? Bah! pourquoi pas. Il enroule ses bras autour de mes épaules et ses lèvres frôlent les miennes….je sens un désir violent m’envahir, je m’accroche à lui et je lui rend son baiser.

    Aussi surpris que moi par l’intensité de nos réaction…il me regarde et une moue mutine éclaire sa bouche que je meure d’envie d’embrassé de nouveau._ Bonjour belle inconnue! Je me nomme Maxime, mais je crois que j’ai envie que tu m’appelles Max. Je ne sais pas ce qui se passe jolie demoiselle, mais mon pauvre coeur s’emballe rien qu’en te  savourant légèrement. Je suis curieux de voir comment il va réagir si nous allons plus loin qu’un simple  petit baiser pas toi? 

     Douze.

    Cette question me fait frissonné mais pas de froid – non,  de désir intense. Du désir fou de sentir les mains de cet homme sur ma peau, de le goûté à mon tour, je salive rien que d’y penser et mon intimité se nimbe d’une douce moiteur. D’une voix un peu plus grave, je lui répond: » Hum, j’en meurt d’envie moi aussi, que faisons-nous?

    _ Quoi! La tout de suite?

    _ Oui hum que faisons-nous…on nous regarde. Et de fait, une petite dizaine de gamines fixent sur nous un étrange regard. Elles étaient plantées là devant nous et elles attendaient visiblement la suite. Mon rire fit tressaillir tous ce petit monde et les joues aussi rouge qu’une pomme bien mûre, elles frissonnèrent puis gloussèrent et firent demi-tour  sans pour autant cessaient de gloussées et de lancer de rapides regards en arrière.

    sait -on jamais, hein! Mais elles ne virent rien de plus que Max qui me tient par la main et qui sourit devant la scène. puis, il m’entraîne vers le centre de la ville ou un monde fou semble s’y être agglutiné

     

     
    ._ Viens me dit-il on va voir quelques potes, puis, on filera à l’anglaise promis, jurer, cracher. Cela me fit sourire…car il venait à l’instant même de ressembler au petit garçon turbulent qu’il avait été. Terriblement sexy ce Maxime. Plusieurs têtes féminines et masculines se tournèrent sur notre passage. ô joie, nous devions être beaux, j’allais enfin connaître  le bonheur et ressentir un peu de la joie que connaissent tous les amoureux de la terre.

    Mais, de nouveau, je perçu cette aura défaillante mais puissante dans l’air, des coups de sonde pour me contacter. Je détestais d’office celui qui allait apparaître car…il était mon âme soeur dans mon autre vie et, il n’y avait que lui qui pouvait me faire revenir …heureusement j’avais  un tour dans mon sac et sans vergogne je le pris.

    Après plusieurs verres, boutades en tous genre, gentil passage de mains sur mes fesses afin de voir si elles étaient vraies, après des essaies pour avoir un ou plusieurs baisers à me volé, Maxime devint de plus en plus grognon, alors… je pris les devant car, je ne voulais pas qu’il se fâche avec ses amis pour moi. Je prends sa main et me rapproche de lui je lui murmure : » et si on allait boire un verre chez toi? »

     


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