Poème.
Toi que je n’ai pas connu.
Dans ton long manteaux élimé après de si nombreux hivers,
Je t’imagine, me prenant sur ton coeur, ta chaleur bercerait
mon coeur endolori par tant de douleur.
Tes yeux cernés de
rides, ta bouche forte, et si douce me murmurerait de tendre
secrets, ces secrets d’enfants racontés à un autre enfant.
Oh, bien sûr! tu tricherais, petit clin-d’oeil d’une vie
bien remplis.
Tu me donnerais ton plus beau moment, celui que l’on garde
toute notre vie, celui que pas uns des parents ne connais.
Oui, celui-là vaut d’être raconter.
Mais, toi que je n’ai pas connu, tu es parti et je sens
mon coeur bien vide, malgré ce que je dis.
Y.L
pour Jack.
image prise chez
mamietitine.