• Un Secret dans le grand Ouest.

    Mon dernier diplôme de linguiste en poche, je m’offre l’un de mes voyages coup de coeur prévu depuis longue date. J’ai raclé les fonds de tiroir … j’ai mangé pas mal de pâtes et de patates qu’importe.( euh c’est faux bien entendu) Depuis quatre jours, je ne tiens plus en place.

    J’ai enfin reçu mon billet d’avion et surtout mon passe pour mon hôtel. Ouais je sais, j’aurai dû prendre une assurance mais…pas assez d’argent pour ça. juste le minimum et c’est déjà pas si mal. Sur le net , je trouve mon hôtel, je vois aussi que lors de mon passage, il y aura un grand rassemblement.

    Des gens de toutes les régions vont y venir afin de fêté une drôle de cérémonie. Ok, on en dit pas plus…j’aurai la surprise et moi, j’aime par -dessus tout les surprise. J’ai 23 ans, je suis linguiste …je parle plus de vingt langues et quelques dialectes.

    Ce que je sais de source sûr, c’est que quand je serai de retour; j’aurai une place de choix offerte par la plus grande Ambassade qui soit à mes yeux…celle de la France. J’ai plus qu’à faire mes bagages et je suis fébrile. Pas de quoi fouetter un chat mais quand même…c’est loin l’Amérique profonde…Mon rêve, voir le grand canyone puis les grands espaces, voir certaines peuplades et passer du temps avec eux.

    Me prenez pas pour une bille, je sais que ceux qui restent sont aussi intelligent voir plus que nous autres visages pâles mais bon…Quoi! Vous croyez que je ne verrai rien? Bof, c’est bien possible tout est si carré aujourd’hui…tans pis, j’aurai quand même la joie de visiter ce fameux parc ou des hommes et des femmes, font revivre le vieux far-west pour l’été.

    Et ça, j’ai bien l’intention de l’immortalisé. Mes belles économies ont volées en éclats et mon père Sir Wallace Jhon m’a gentiment fait comprendre qu’une fille de mon âge se devait d’être uni à un mari et ne pas s’en aller au diable vaut vert pour y chercher il en était sûr les pires ennuis qui soit.

    Passe encore ma folie pour l’enseignement des langues anciennes, mortes ou encore pour ces dialectes de barbares…il n’était pas question qu’il m’offre un schilling pour ce foutu voyage et _
    _Ahhh si ta mère était encore avec nous, tu peux être sûre que tu serais déjà unis à Sir Léopold Van Dougal. Et patati et patata. Pourtant père était fier de moi, sa moustache frisait toute seule dès que l’Ambassadeur Adamson Esqueze passait pour me soumettre l’un des innombrables documents qu’il recevait et qu’elle gloire pour mon père quand, moi sa fille, j’était congratulé par Sir Adamson.

    Cette gloire le faisait se sentir si grand. J’ai encore deux jours à passés à ressasser ce que j’aurai pu oublié. Ma tête va explosé. Maria ma nourrice mes suit dès que je sorts de ma chambre et ses pleurs me perturbent pourtant le bateau reste le moyen le plus sûr de voyager de nos jours.

    _Ah miss Célia avec vos yeux vert , votre teint de porcelaine, votre beauté nordique, vous allez me prendre l’un de ces sauvages dans vos filets sirène que vous êtes, et, vous allez disparaître de nos coeurs…qu’allons nous devenir votre saint père et moi?
    _ Allons, allons Maria, je serais de retour pour le quinze de ce mois de juin, donc rien à craindre vraiment, ne vas pas mettre cela en tête à mon pauvre père sinon gare à toi compris? Mon ton sévère n’y fait rien. Elle larmoie encore plus. Les derniers jours s’envolent et enfin je suis au pied de la passerelle.
    y-l. à suivre.


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